Emma Calvé
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   Belle, ambitieuse, douée d’une voix exceptionnelle et injustement oubliée, Emma Calvé, née  en 1858 en l’Aveyron fut l’une des plus grandes divas de la Belle Epoque. Elle connut une carrière fulgurante qui la conduisit jusqu’en Amérique qui lui fit un triomphe. Devenue un objet de culte, elle effectuera des tournées géantes “ à la Barnum ” se déplaçant dans un train spécial luxueusement aménagé. Pour le monde entier elle incarna Carmen son personnage fétiche plus de 1300 fois, prêtant au personnage son incomparable timbre, son incroyable magnétisme et ses dons innés de comédienne.
   Adulée par les grands de ce monde, de la reine Victoria au Grand-duc Nicolas, elle fut l’égérie des compositeurs en vogue, Massenet qui composa pour elle La Navarraise et Sapho
, ou Reynaldo Hahn qui lui dédia sa Carmélite
   Passionnée à l’excès, on lui prête des amours tumultueuses et des engouements fougueux pour l’ésotérisme, le spiritisme, l’hindouisme.
   Son extravagance atteint son apogée dans le délire bâtisseur de son château de l’Aveyron dans lequel elle engloutit sa fortune avant de connaître une fin pathétique. Ruinée et malade Emma Calvé est morte seule à Montpellier en 1942

“  Ce livre, la première vraie biographie complète d’Emma Calvé, est un modèle du genre. Parce qu’à  partir d’une mine d’informations sur l’activité de la chanteuse autant que sur sa vie de femme, sur les mœurs du milieu musical et mondain autant que sur les arcanes de cercles plus secrets, Jean Contrucci a écrit un ouvrage qui tient autant du roman que de la chronique d’une époque. Le genre est difficile, il doit naviguer entre les écueils de l’hagiographie et ceux de l’érudition sèche; la réussite de celui-ci tient précisément à ce que J.C. sait éviter l’un et l’autre, en montrant à la fois un affection réelle pour son héroïne et une connaissance aussi bien d’historien que d’amateur de chant et une sensibilité à la légende, car la légende fait aussi partie de la vie d’une diva. ”

Alain Duault (L’Evénement du Jeudi)

“ Qu’un écrivain soit porté par la passion du personnage qu’il raconte est mouvement courant. Mais encore faut-il qu’il communique sa ferveur. Mission accomplie par Jean Contrucci dans “ Emma Calvé, la diva du siècle ”.

Louis Nucéra (Le Monde)

“ J.C arrive à faire revivre avec vivacité et brio le portrait d’une cantatrice douée d’une incroyable force de caractère et d’une voix phénoménale ”

Sergio Segalini (Opéra International)

“ L’histoire d’une femme injustement tombée dans l’oubli ”

(Prima)

“ L’histoire d’une vie, et d’amours tumultueuses qui se terminèrent dans la tristesse  et l’amertume ”

(Opérette)

“ Un ouvrage dont on ne dira jamais assez la richesse et la profondeur. A tel point que la symbiose entre le sujet et l’auteur est parfaite. ”

A.A. ( Centre-Presse)

“Dans ce livre que tous les amateurs de musique, de théâtre, mais aussi d’histoire de la Belle Epoque doivent lire, la diva Emma Calvé apparaît comme une femme exceptionnelle et ambitieuse dont la vie demeure inoubliable”

J.R. (Var-Matin)

“ L’auteur s’est heureusement comporté en romancier plutôt qu’en érudit besogneux. ”

(revue MARSEILLE)

“ C’est en même temps un récit très minutieux, pittoresque et documenté de la vie de cette grande dame. Le livre est un reportage sur l’art merveilleux, le don magnifié par le travail et la conviction de celle qui fut plus de 1300 fois Carmen ”.

G.V. (Sud-Est Magazine)

“ Un portrait éminemment sensible et précis avec, en toile de fond, une superbe évocation des années 1900. ”

(Paris-Boum-Boum)

“ Même aujourd’hui, malgré les moyens modernes de communication (…) nous n’avons qu’une pâle idée de la vénération dont fit l’objet Emma Calvé. ”

(L’Auvergnat)

“ La biographie romancée est un genre extrêmement difficile. Il y faut la patience de l’enquêteur, la subtilité du psychologue, le sens de la construction qui, sans s’écarter de la ligne chronologique de rigueur, sache bifurquer sur une digression éclairante, un récit annexe capable de nourrir et d’étoffer le texte sans jamais être superflu. En ce sens, le livre de Jean Contrucci est un modèle du genre ”

Jacques Lovichi (SUD)

“ J.C. nous rend très présente cette diva hors du commun qui fut aussi une femme sensible, souvent malheureuse et qui mourut oubliée et ruinée en 1942 à 84 ans. Un “ roman vrai ”, d’une écriture cursive et d’une lecture agréable ”

Alex Mattalia (Les Publications commerciales)

“ Cette biographie particulièrement scrupuleuse est aussi, je crois bien, un merveilleux roman d’aventures ”.

André Remacle (La Marseillaise)

“ Dans un livre tout feu tout flamme J.C. s’est pris de passion pour une “ fantoune ” du Larzac sacrée reine du lyrique. Un livre brûlant, passionnant ressuscitant une voix unique, une femme extravagante, exceptionnelle ”

Edmée Santy ( Le Provençal)  

“ C’est tout le mérite de Jean Contrucci que d’avoir su retenir l’authentique magie de cette femme et de nous en donner un aussi agréable document sur le monde musical de l’époque, saisi à travers les risques et la passion d’une grande carrière ”

F.S. (Le Généraliste)

“  Je n’hésite pas à recommander ce livre, car mises à part quelques inexactitudes de détail, est d’une grande qualité et respecte scrupuleusement la vérité ”.

Georges Girard (Conservateur du Fonds Calvé à Millau)

“ Emma Calvé revit admirablement dans les pages de son nouvel “ amant spirituel ” dont on hésite à dire qu’il est plus écrivain qu’historien ou plus historien que romancier. Sous sa plume inspirée l’héroïne renaît avec une vérité qui ne le cède en rien à celle de Georges Girard ”

Jean Stéphane (Journal de Millau)

“ J .C. fait revivre avec brio le destin hors du commun de cette femme libre, séduisante et généreuse dans l’univers fascinant de la Belle Epoque. ”

( Femme d’Aujourd’hui – Suisse)

“ La biographie de J.C. nous bouleverse par la passion qui illumine cette nécessaire réhabilitation. ”

Hugo Marsan (Le Gai Pied)

“ Cette biographie redonne plus que de l’éclat à l’une des étoiles de la Belle Epoque. C’est un acte de simple justice. Et un grand air passionné. ”

Georges Gallician (Le Méridional)

“ Biographie ? Fabuleuse histoire d’une cantatrice (oubliée) sur fond d’opéra et de prodigieuse existence ? Il y a de tout cela dans le livre de J.C. Mais il y a surtout un bel emportement qui anime l’auteur qui, sans jamais céder au dithyrambe nous fait partager cette exaltation pour un être hors de pair. ”

José Lenzini (Var-Matin)

“  Avec pour exergue un vieux dicton de l’Ouest américain “ Quand la légende prend le pas sur la réalité, c’est la légende qu’on imprime ” J.C. raconte avec verve et passion la vie extraordinaire d’Emma Calvé ”

Lucienne Lambelet (Le Matin –Suisse)

“ Je crois qu’il est difficile d’abandonner en cours de route ce volume de près de 400 pages, jamais indigeste en dépit de sa copieuse documentation. ”

Simone Serret (La Marseillaise)

“ J.C. n’a pas manqué de relever ce lien quasi charnel de la chanteuse avec sa terre rouergate. Il écrit là un véritable livre-passion pour ne pas dire une véritable livre d’amour. ”

Jean-Bernard Palet (La Dépêche du Midi)

“Contrucci ne s’est pas trompé :c’est l’aventure, l’aventure pure, qui est en toile de fond de cette vie . Et c’est avec un talent d’écrivain-explorateur, à l’écriture fidèle et légère qu’il reconstitue l’étourdissant itinéraire d’une voix ”.

André Peyrègne (Nice –Matin)

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