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Cathédrale engloutie

 " La Cathédrale engloutie vous rappelle-t-elle quelque chose ou quelqu'un ? Et ce nom : Magnan, Claire Magnan ? "

Pour Frédéric More, un seul être au monde a pu écrire ces mots : Claire elle-même, dont l'amour illumina sa jeunesse dans le Marseille des années soixante. Il y a vingt-sept ans, il ne savait pas, en écoutant le célèbre prélude de Claude Debussy avec elle, qu'ils passaient leur dernière soirée ensemble. Or, voici que l’image de la jeune amoureuse surgit de l’abîme du temps, par le biais d’une lettre que Frédéric n’attendait plus.

Peut-on prétendre reprendre sa vie où on l’avait laissée un quart de siècle auparavant ? Frédéric More en est persuadé puisque la Bien-Aimée lui est revenue. Mais pourquoi retarde-t-elle l’instant des retrouvailles ? Que signifient ces faux-fuyants au téléphone ? Comment expliquer ces trous de mémoire dans la maille des souvenirs ? La vie, finalement, c’est ce qui vous arrive quand on avait prévu autre chose.

La Cathédrale engloutie est l’un des premiers romans de Jean Contrucci ; épuisé depuis de nombreuses années, il paraît ici dans une version revue et corrigée par l’auteur.


Revue de presse

“ Les deux visages du Midi, la clarté et les ombres, sont peints avec une grande justesse de ton. Il y passe l’esprit de la vieille cité, l’air salin, l’odeur des épices, celle des pinèdes rescapées de l’urbanisation, celle du poisson frais rapporté au Vallon des Auffes.

(Les Echos)

“ Roman de toutes les folies et de toutes les impasses, cette histoire d’un amour cru perdu à jamais et qui ressuscite semble d’abord des plus banales, des plus “ claires ”, mais elle est constamment troublée par la réalité et surtout par l’espoir – l’illusion ? – d’un retour à ce qui fut. Mais est-il possible de renaître en faisant “ comme si ? ”

(Le Magazine Littéraire)

“ Dans ce roman tout rayonne d’intelligence. D’abord une construction impeccable. Géomètre et horloger J.C. ajuste ses rouages avec une minutie sans faille. Logique suprême, exigence absolue de chaque élément mis à sa place et entraînant un autre engrenage. Préparez-vous à trembler et à admirer ce maître de l’Amour et de la Peur.

 (La Voix du Nord)

“ La télé qui cherche toujours de bons “ sujets ” devrait se pencher sur les romans de J.C.. Ses histoires, découpées comme des scripts, sont épatantes, avec ce mélange de suspens dur et de psychologie douce qui rappelle les bouquins de Guimard, de Vautrin ou de Cauvin. ”

(Jérôme Garcin)

“ Amour fou, amour mystère et grand livre ”

(Télé7 jours)

« Très beau et riche roman. Fort en émotions, couleurs et musique (…) D’une écriture vive, alerte et sensible. L’auteur nous laisse en ultime page rouler sur le tapis vert “ tel un dé lancé d’un cornet que d’autres maniaient à (sa) place ”. Une grande réussite. ”

(Var-Matin)

“J.C. témoigne ici d’une habileté consommée de la construction romanesque avec trois récits enchâssés (…) L’incontestable réussite est de nous faire participer entièrement à une aussi sentimentale aventure sur le fond de deux passions chères à l’auteur : la musique et Marseille.”

(La Marseillaise)

 

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