bannière Double crime dans la rue Bleue
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Un matin de janvier 1903, en faisant sa tournée, Albert Rastègue, allumeur de réverbères de son métier, découvre le cadavre atrocement mutilé d’un homme, placé devant le portail de la manufacture des tabacs de la Belle-de-Mai, dans la rue Bleue. Il n’y aurait pas là de quoi mettre sur les dents Eugène Baruteau, chef de la Sûreté Marseillaise, ni son neveu, Raoul Signoret, reporter au Petit Provençal, si une semaine plus tard n’était découvert un second cadavre, non découpé mais placé au même endroit comme si on voulait donner un avertissement à quelqu’un parmi les cigarières ou les employés de la Manufacture. Dans ce quartier populaire où grouillent voyous et trafiquants, tout est possible, mais la mise en scène de ces morts est troublante. Suffisamment pour que débute une nouvelle enquête des héros des Nouveaux Mystères de Marseille. Ils iront – à leur habitude – de surprise en surprise jusqu’à ce que la vérité éclate dans le coup de théâtre final auquel sera mêlée la belle Cécile, épouse légitime de notre héros…

Revue de Presse

C’est un rendez-vous que, depuis 2002 l’on ne manquerait pour rien au monde. Une fois par an, Jean Contrucci, l’héritier phocéen d’Eugène Sue, nous invite à rencontrer, autour d’un verre de Noilly blanc, les criminels de la belle Epoque et la pègre du Vieux-Port. (…) Plus c’est noir et sanglant, plus c’est drôle et théâtral. Appelons ça, avec l’accent, l’esprit marseillais

Jérôme Garcin ( le Nouvel Observateur)

Digne descendant des Gaston Leroux et autres feuilletonistes, Jean Contrucci travaille jusqu’au mimétisme la forme de ses écrits et dans la plus pure des traditions, agrémente chaque nouveau chapitre d’un titre incitatif que ne renieraient pas ces illustres prédécesseurs. Jugez-en plutôt : « Chapitre 10 - Où l’on fait la connaissance d’une veuve de la variété « joyeuse », qui a bien connu le mort de la rue Bleue ».
Mais là s’arrête la ressemblance, car pour notre plus grande joie, Jean Contrucci, rompt avec la malédiction qui vouait le roman d’énigme au rôle, peu enviable, de suppôt du conservatisme. Montalban disait de Manchette qu’il s’agissait de l’unique cas d’auteur français de polars à être spontanément de gauche. Montalban n’avait pas lu Jean Contrucci

Luis Alfredo (Le Rayon du Polar)

Je livre aux scénaristes de la télévision française une nouvelle idée de héros récurrents : l'attelage Signoret-Baruteau. Il y a dans ce livre des accents de sincérité qui devraient lui permettre de connaître le succès, bien au-delà des rivages méditerranéens.

Patrick Poivre d’Arvor (Nice-Matin)

Dans leurs conversations canailles, Eugène Baruteau et Raoul Signoret n’échangent pas que des couillonnades, mais des pistes. A lire absolument, avé, l’accent.

Julie Malaure (Le Point)

Le commissaire est bon enfant. Et le roman l’est aussi. (…) C’est Rouletabille chez Eugène Sue.

Bruno d’Epenoux (Télé Z)

Double Crime dans la rue Bleue, publié chez Lattès, confirme et précise le trait des trois premiers tomes des Mystères de Marseille. Il était fatal que les Marseillais se ruent sur le cette série, parce qu’elle restitue l’histoire de leur ville, et qu’ils en sont friands. Mais le succès a fait tache d’huile. Paris, Strasbourg, Quimper ou le bout du monde apprécieront cette suite parce qu’au delà de la chronique locale ces romans sont d’abord des romans.

Hubert Huertas (France Info)

On peut s’en remettre à l’habileté de notre confrère, expert ès mystères marseillais pour nous fournir de nouvelles sueurs froides.

(Var- Matin)

Ce que je vous garantis c'est que, à ce quartier de la Belle de Mai, le romancier confère une présence extraordinaire, tant il est habile à en restituer le climat de l'époque, entre Manufacture des Tabacs et Caserne Saint-Charles, entre Couvent des Victimes et Petit Lycée. On y croit ! On y est !
Comme on croit à son intrigue feuilletonesque, diablement bien ficelée, riche de rebondissements et de véritables surprises. Il y a d'une part une espèce de rigueur implacable dans la construction de cette histoire et en même temps, dans la manière de la raconter, une élégance, une souplesse de style, une alacrité, grâce à quoi le lecteur caracole sans relâche vers le dénouement, tout en respirant ici et là au passage quelques bouffées bienvenues d'humour et de tendresse.

Jacques Bonnadier (Radio-Dialogue)

A la façon des feuilletons de l'époque, Contrucci, connaisseur hors-pair des petites histoires du Marseille d'antan, nous livre un thriller palpitant dans le quartier de la Belle-de-Mai. En ces temps lointains, l'endroit n'accueillait pas des acteurs de soaps télévisés, mais des vrais gens, cigarières, artisans et voyous, autour de ce monument d'omnipotence qu'était la manufacture des Tabacs. L'auteur fait vivre ce petit peuple avec talent, truffant ses chapitres d'anecdotes et de rappels historiques. Au fil des 372 pages de ce roman qui coule d'un trait, il tisse une intrigue prenante, bien qu'assez transparente, qui lui permet d'évoquer une fois de plus un Marseille disparu et fascinant.

Gilles Rof (L’Hebdo Marseille)

Les troublantes énigmes des « Nouveaux mystères de Marseille » sont toujours portées par cet art qu’a Jean Contrucci, contempteur ironique de la haute et arrogante bourgeoisie phocéenne, de faire parler, chanter et pleurer les gens du peuple. Si Raoul Signoret est le héros de la Belle de mai, Contrucci, grâce à ses livres, est devenu celui d’une ville dont il n’en finit pas de restituer, même dans les pires bas-fonds, la diversité, l’humanité et la générosité. L’âme, somme toute.  

Jérôme Garcin (La Provence)

Toujours drôle, parfois cinglant, ce quatrième épisode des Nouveaux Mystères de Marseille se lit d’une traite comme un bon roman policier

Encrages
(Magazine du club de la Presse Marseille-Provence alpes du Sud)

 

Il fait partie des écrivains qu’on suit, qu’on attend. Parce que depuis le premier épisode des Nouveaux Mystères de Marseille, Jean Contrucci s’est bâti un univers bien à lui, fait d’une ville, d’une époque (les années 1900) nourri d’une écriture impatiente de s’encanailler avec l’argot des bas-fonds, d’endosser les particularismes de la cité phocéenne

Véronique Emmanuelli (La Corse – Votre Hebdo)

Si les rouages de cette ténébreuse affaire tiennent le lecteur en haleine, c’est principalement l’aspect social et pittoresque du roman feuilleton qui rend la lecture à la fois passionnante et ludique.

S.B. (La Marseillaise)

Ce nouvel épisode des Mystères de Marseille reste fidèle à l’esprit qui en fait tout le charme. Dans le décor des quartiers populaires, Jean Contrucci saisit le prétexte d’une énigme bien troussée pour peindre le portrait d’une époque (…) A l’écart d’un pittoresque factice, l’auteur met autant de soin à inventer une intrigue rocambolesque qu’à dessiner le portrait sensible d’une ville. Du romanesque qui se lit d’une seule traite.

F.B. (Le Maine Libre

Jean Contrucci n'a pas son pareil pour nous décrire de que fut Marseille au fil du temps. Cet héritier direct d'Eugène Sue vient de publier le quatrième volume des Nouveaux Mystères de Marseille dans lequel le tandem Signoret-Baruteau est plus attachant et efifcace que jamais. Il s'agit d'une enquête comme on les aime.

Michel Schroeder (Zeitung vum Letzebuerger Vollek - Luxembourg)

Marseille en 1900... Contrucci nous plonge dans l'ambiance à la fois tragique et pittoresque de la Belle de Mai où opère un tueur en série qui laisse derrière lui un sinistre jeu de piste. Un policier, un journaliste, une femme fatale, la pègre, le petit peuple, tout y est...

Henri Fournay (Echo d'Aujourd'hui)

Excellent polar historique, au cœur de Marseille, entre Eugène Sue et Lou Rouletabillou des grandes heures.

(Noir comme Polar)

Raoul Signoret, le désormais célèbre journaliste-enquêteur imaginé par Jean Contrucci, nous revient pour notre plus grand plaisir dans un nouvel épisode des Nouveaux Mystères de Marseille. Le charme opère une nouvelle fois (...) Une fois terminé on n’a qu’une envie : retrouver nos héros dans un nouvel épisode.

R.B. http://monpolar.free.fr.

L'affaire recèle bien des mystères, bien des interrogations et de nombreux rebondissements. Premier bon point pour "Double crime dans la rue Bleue". Deuxième bon point: Jean Contrucci a de l'humour, beaucoup d'humour

Marc Chaix (Semaine des spectacles)

Une enquête passionnante, un style agréable, plein de faconde provençale (...) Jean Contrucci n'aura sans doute jamais le Goncourt, mais ses livres sont un régal!

Eure Infos

L'humour n'est jamais absent, qui teinte de charme la tragédie sociale qui anime ces belles pages. Ces "Nouveaux mystères de Marseille", héritage revendiqué des feuilletons, s'inscrivent décidément comme une saga historique incontournable, à découvrir d'urgence si ce n'est déjà fait"

Serge Scotto (Le guide des sorties Marseille-Aix)

Comme à chaque fois, les lieux, les métiers, les atmosphères de la Marseille 1900 sont restitués avec une fidélité historique qui n'en donne que plus de valeur à ce qui est avant tout une excellente littérature de divertissement.

Pierre Echinard (Revue "Marseille")

 

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