Bonjour Monsieur Contrucci . J'ai apprit suite à votre entretien sur France 3 Provence que vous sortez un nouveau livre ..Je m'en réjouit d'avance et j'irai le commander à la librairie de la rue fontange ..A bientot de vous lire ...Cordialement

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Bonjour,
Allez vous donner une suite au reporter Raoul Signoret et le commissaire Baruteau?
j'adore les egnimes que vous écrivez.....
Cordialement,

Bonjour,
Je suis désolé d'avoir à confirmer que j'ai mis un point final aux Nouveaux Mystères de Marseille avec La Nuit des Blouses grises. Êtes-vous sûr d'avoir lu les 13 épisodes? Sinon, ils sont tous réédités au Livre de Poche.
Très cordialement,

Cher Monsieur,

Depuis de nombreuses années, je lis les différents opus des Nouveaux Mystères de Marseilles avec un plaisir toujours renouvelé. Ni native ni résidente de la cité phocéenne, je suis pourtant profondément attachée à l’esprit méridional, et éprouve toujours autant de délice à l’immersion dans cette Marseille début de siècle que vous faites revivre avec une belle truculence.
C’est pour cela que je me dois de porter à votre attention le traitement inique que votre éditeur a fait subir à vos derniers titres (L’Inconnu du Grand-Hôtel, L’Affaire de la Soubeyranne et La Nuit des blouses grises) : je dois avouer ma stupéfaction et mon exaspération quand j’ai découvert à leur lecture le nombre incroyable de coquilles, erreurs typographiques et orthotypographiques grossières, fautes grammaticales majeures, répétitions, et, le comble, l’erreur de prénom de Youra Guller, improprement nommée Germaine au lieu de Georgette !

Cher monsieur, s’il est tout à fait normal qu’un écrivain fasse des fautes ou commette des erreurs, il ne l’est en revanche absolument pas que son éditeur le publie sans avoir fait appel à une correctrice digne de ce nom ; or c’est visiblement le cas de J.-C. Lattès. Si je remarque avec accablement que les éditeurs numériques font systématiquement l’économie de la correction (ce qui donne des textes parfois proches du charabia), je suis atterrée en constatant que ce même laisser-aller atteint des maisons sérieuses, au détriment d’auteurs tels que vous, et avec un total manque de respect pour le lecteur de surcroît !
Je tiens à votre disposition quelques captures d’écran qui vous permettront de mesurer l’ampleur des dégâts subis par votre texte. Si ces messieurs de chez Lattès s’obstinent dans leur incompétence, je serais ravie de mettre mes capacités de correctrice professionnelle à votre service afin de rendre à vos textes la qualité qu’ils méritent.

Dans l’espoir que ces quelques remarques redonneront à vos lecteurs le plaisir de vous lire sereinement,
Très sincèrement,

Agnès Jodin
Correction-réécriture

Chère Madame
Ne me dispensez pas de ma part de responsabilité dans les coquilles, erreurs ou faute plus ou moins graves qui subsistent dans les textes imprimés de mes romans: Je les déplore autant que vous-même. C'est pour cela qu'il ne me paraît pas indispensable de m'en fournir des preuves. La profession que vous exercez vous pousse sans doute à les traquer jusque dans leurs repaires les plus cachés, mais vous avez raison. Et je suis désolé d'avoir contribué à vous gâcher la lecture. Les maisons d'édition sous-payent des correcteurs ou correctrices qui lisent au kilomètre en pilotage automatique. Cela n'absout pas l'auteur, mais encore faut-il que les corrections qu'il opère avant le bon-à-tirer soient toutes reportées sur le texte envoyé à l'imprimerie. Ce qui est loin d'être toujours le cas (quand on n'en ajoute pas de nouvelles...)
Quant au prénom de Youra Guller, c'est ainsi qu'il était donné dans le numéro du Petit Provençal où je l'avais déniché quand, encore toute jeune et quasi inconnue, dans les années 1910, elle avait fait des étincelles au Conservatoire de Marseille. En fait, son premier prénom était ni Germaine, ni Georgette, mais Rose! La vie est décidément bien compliquée...
Avec mes remerciements pour votre vigilance et l'intérêt que vous portez à mes écrits.

Bonjour Monsieur CONTRUCCI,
Je suis en train de vous lire dans "la nuit des blouses grises"
Toujours un très grand plaisir de vous retrouver avec vos "digues" et vos "vouie".....
Un régal, tout simplement!
Merci beaucoup!!!!
Corine FOULON

Merci de votre fidélité et de votre enthousiasme

je suis désolé , bonjour Mr Contrucci , dans le texte précédent j'ai oublié de vous saluer.

Ne soyez pas désolé, cher Monsieur, votre fidélité vaut toutes les formules de politesse.
Très cordialement

Actuellement je suis entrain de lire ,votre dernier roman "le printemps des maudits" un pure régale, comme tous vos romans , je suis un inconditionnel de tous vos livres.
PS: ancien facteur de votre fille de la rue Ferrari.

Bonjour monsieur CONTRUCCI,
Je dévore actuellement " n'oublie pas de revenir" et j'ai une question personnelle. Vous mentionnez dans ce roman le village de Montaigu proche de Lons le Saunier, est ce par hasard ? En fait ce village où plutôt son hameau Vatagna est le lieu de naissance de mon père disparu et cela m'a rappelé de bons souvenirs d'enfance dans mon Jura.

Peut-être y êtes vous allé ?

Prenez soin de vous.

Cordialement

Vincent

Bonjour cher Monsieur,
Je suis ravi que ce roman vous plaise.
Le choix du village de Montaigu est dû à un hasard complet. C'est en consultant une carte de la région où l'héroïne est parachutée que j'ai choisi le nom ce village. je ne le connais as personnellement.
Je suis ravi que ce hasard romanesque vous ait ramené à des jours heureux pour vous.
Très cordialement,

Ps Le titre exact du roman est "N'oublie pas de te souvenir" (et non "de revenir")

Nous nous sommes rencontrés avant confinement et vous nous aviez présenté vos livres si passionnants.
Aux Girandieres 150 rue de Lodi à Marseille résidence séniors nous aimerions vous recevoir et que vous nous parliez de vos derniers écrits. Pouvez vous me dire si c'est possible et sous quelles conditions. Déja merci.

Répondu par courriel

Bonjour Jean,
Peut-être vous souvenez-vous d'un jeune rédacteur qui écrivait dans "Tout Marseille" entouré des professionnels que vous étiez, avec Pierre-Jean Vuillemin et Jean-René Laplayne , dans les années 1970...Je n'ai jamais oublié ces années-là, bien que ma vie professionnelle ait pris d'autres chemins avec Charles-Emile Loo à la Socoma, puis comme Secrétaire Général du groupe MGM sur le port de Marseille, pour terminer Directeur de Cabinet de l'ancien député-maire d'Ajaccio et de retrouver d'ailleurs Jean-René Laplayne à Corse-Matin.
Aujourd'hui à la retraite en Corse, j'ai suivi de loin vos succès littéraires ; ce blog que je découvre me donne l'occasion de vous saluer et de me souvenir.
Bien cordialement.

Répondu par courriel

Cher Monsieur,
Après avoir duivi votre conférence à Lourmarin, j'ai acheté votre livre que j'ai fini en quelques jours. Passionnant.
Je vous écris aujourd'hui pour les Amis de la Fondation pour la mémoire de la Déportation.
Nous organisons une soirée débat le 20 novembre 18h sur la vie quotidienne sous l'occupation.
En première partie, il y aura la projection d'un film de François Truffaut 'le dernier metro'.
Seriez vous disponible le 20 noveobre à 18h pour cette rencontre au Musée Jean Garcin de Fontaine de Vaucluse ?
En vous remerciant pour votre attention,
Bien cordialement
Valérie Dupont
Pour l'AFMD Vaucluse

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Je viens de finir vos deux derniers romans acquis à Riez aimablement dédicacés, même si les sujets sont différents, un pur bonheur tous les deux, vous avez bien fait de ne pas suivre votre première vocation de wattman.

À l'époque, j'ai longtemps hésité, mais finalement, je ne regrette pas mon choix. Je ne pense pas que dans la cabine d'un tramway j'aurais reçu d'aussi aimables messages. Merci pour tout.

Bonjour Monsieur Contrucci,?
Je viens de découvrir votre travail de romans depuis peu…je suis enchantée par ces lectures et aimerais vous saluer en Décembre au parc Chasnot .
Merci sincèrement pour ces merveilleux moment de lecture ,dont je vais abuser avec bonheur ….,
Bien sincèrement

Bonjour chère lectrice,
Je serai ravi de faire votre connaissance en décembre au Salon de Marseille qui se tient en effet au Parc Chanot (4 et 5 décembre). Mais je vous signale également le Salon Les Écrivains en Provence, à Fuveau, les 4 et 5 septembre.
Très cordialement

Bonjour Mr Contrucci
J'espère que vous allez bien
Je découvre votre travail avec intérêt.
Avez vous un agent avec qui prendre contact ?
En effet j'aimerais vous rencontrer avec l'envie d'adapter au moins un de vos romans à l'écran.

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Bonjour,

Libraire à Colmars-Les-Alpes (04370), je souhaiterais vous inviter en dédicace. Cela ravirait plusieurs de mes clients !

Belle journée,
Constance G.

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Bonjour Monsieur,
Pas de questions mais des remerciements pour les livres que vous écrivez.
Cordialement

Bonjour,
Permettez-moi de vous remercier de les lire!
Cordialement

Monsieur,
C'est avec retard que j'ai lu La nuit des blouses grises. Et c'est avec grande peine que j'apprends également qu'il s'agit du dernier épisode de cette série que j'ai beaucoup appréciée. J'ai beaucoup aimé tous les livres des nouveaux mystères de Marseille.J'ai lu que vous ne vouliez pas envoyer notre cher Raoul à la tragédie de la grande guerre, mais peut être pourriez vous faire des retours en arrière ... Et ainsi offrir à vos lecteurs quelques aventures extraordinaires supplémentaires ....
J'ai perdu Nicolas Le Floch suite malheureusement à la disparition de Jean-François PAROT, et maintenant c'est Raoul SIGNORET qui tire sa révérence, c'est triste.
Alors n'hésitez surtout pas à faire revenir dans les librairies de nouvelles aventures de Raoul ???
Merci encore pour ces livres.

Votre fidélité m'honore, mais tout à une fin (à commencer pour nous-mêmes!)
Je suis le conseil de sagesse que me donnait ma grand-mère paternelle: "il vaut mieux quitter la table avec une pointe de faim qu'avec une indigestion".
Avec ma bien vive sympathie.

Bonjour Monsieur Contrucci,

C'est avec grand plaisir que j'ai lu plusieurs de vos romans, ma préférence allant à "L'énigme de la Blancarde".

Je vous contacte au sujet d'un renseignement : j'aimerais me lancer dans l'écriture. Évidemment,j'ai bien conscience qu'il n'est pas donné à tout le monde d'être capable de raconter une histoire tout en captivant le lecteur. Je n'aurai pas le culot de vous demander des conseils, je pense que vous serez d'accord avec moi sur le fait que tenter l'expérience en essayant d'aller jusqu'au bout sera le seul moyen de connaitre mes capacités en la matière.
L'idée de base est en rapport avec une exécution capitale à la fin du 18ème siècle, dans le pays d'Aix. Je me demandais si vous pourriez m'aiguiller sur les moyens d'archives existants, qui me permettraient d'en savoir plus sur le jugement d'une telle affaire, sur le déroulement du procès, ou sur la description historique de cette époque.

Si vous pouviez par hasard me donner quelques pistes...
Avec mes cordiales salutations, en espérant votre présence à Fuveau en septembre prochain.

Michel Maffei

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Monsieur,

Je me permets de m’adresser à vous pour vous demander
votre conseil dans le cadre de recherches concernant un peintre juif qui a vécu à Marseille dans les années 1941/42., Rolf Hirschland.
Votre aide serait précieuse notamment sur la façon d’aborder les archives.

L’idée m’est venue de m’adresser à vous car je vous avais rencontré lors d’une conférence à Châteaugombert cela fait deux ans environ.

Je vous remercie par avance de l’´aide que vous voudrez bien
m’apporter.

Cordialement
Gérard Marchand
0648005530
gerardmarchand5@yahoo.fr

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Bonjour Monsieur Contrucci .Je n'ai pas de question mais vous dire simplement Merci pour votre dernier livre "Le Printemps des Maudits" que j'ai dévoré ...Depuis que je vous lis je ne suis jamais déçue ..............Merci .Bien cordialement à vous Jeanninne ferranti

Merci de votre fidélité. C'est la meilleure des récompenses.
Très cordialement

Bonjour M Contrucci
Raoul Signoret me manque. quand sortira le prochain roman des nouveaux mystères de Marseille?
MERCI

jp bLEYS

Bonjour M. Bleys
Je l'ai dit à plusieurs reprises ici même, mais vous avez dû manquer l'information: Raoul Signoret a pris une retraite prématurée, car la guerre de 14 approchait et il avait nulle envie de quitter Marseille et son soleil pur la boue et les tranchées de Verdun.
Et je n'avais nulle envie de l'y expédier.
Ainsi la série ne s'est-elle pas achevée sur une tragédie. Je suis sûr que vous serez d'accord avec ma décision.
Très cordialement