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Question posée Le vendredi 16 Avril 2021.

Bonjour,

Dans le cadre de la préparation d'un documentaire, je souhaiterai échanger avec vous. Pourriez-vous m'écrire en mp ?

Merci d'avance, cordialement,

Allemand Clément
clement.allemand1@gmail.com

Répondu par courriel


Question posée Le mardi 16 Mars 2021.

Bonjour Monsieur Contrucci,
Je n'ai pas de question à vous poser, mais juste l'envie de vous remercier.
Il n'est jamais trop tard pour découvrir de nouvelles oeuvres. C'est mon cas, concernant les Nouveaux Mystères de Marseille. J'ai d'abord été attiré par la couverture d'un de vos livres, puis je l'ai lu... Et ma foi, je continue de le faire. Je crois même que je vais intégrer une nouvelle collection dans ma bibliothèque.
Merci beaucoup.

Bruno Bourdet
bruno.bourdet@wanadoo.fr

Bonjour cher monsieur,
C'est moi qui vous remercie. Voilà une nouvelle qui ne peut que réjouir et flatter l'auteur. Je n'ai qu'un conseil à vous donner: continuez!
Avec ma vive sympathie.


Question posée Le dimanche 14 Mars 2021.

Bonjour
Passionnés par vos livres, nous voulions commander sur le site de la FNAC "La révolte de Marseille contre Henri IV", il apparaît en 2 formats poche et broché mais avec 2 couvertures différentes. Est-ce le même livre ?
Nous préfèrerions format poche car moins cher.
Cordialement. R et H Allio

Allio
allior@orange.fr

Bonjour,
Oui, c'est le même livre, au mot près, n'ayez crainte.
Mais pourquoi ne pas l'acheter chez un vrai libraire? Nous avons besoin d'eux, lecteurs comme auteurs. Faisons-les travailler de préférence aux sites.
Cordialement,


Question posée Le vendredi 15 Janvier 2021.

Bonjour Monsieur. C'est avec plaisir que j'ai pris connaissance de votre livre "C'est arrivé à Marseille", très bien documenté et d'une écriture agréable à lire. Vers la fin des années 1940,un couple a été assassiné devant leur fillette, à L'Estaque, au Fort de Corbières. Reconnu par l'enfant, l'assassin a pu être arrêté, condamné et exécuté. Une collecte de fonds avait eu lieu et devait être remise à la petite fille lors de sa majorité. Avez-vous eu connaissance de ce fait et de ce qu'il est advenu de l'enfant ? A-t-elle reçu les fonds collectés ? Tout jeune homme à ce moment-là et habitant le quartier, je n'ai jamais oublié ce drame qui m'a marqué. Si vous pouviez m'éclairer sur les suites, je vous en saurais gré. Je vous en remercie par avance. Bien à vous.

Henri DESCALES
michele.breteau@orange.fr

J'aurais bien aimé vous venir en aide, mais hélas, je n'ai rien du côté de mes archives personnelles sur ce fait-divers tragique. Vous pourriez sans doute en trouver trace dans les journaux de l'époque qui ont dû en parler longuement. Ils sont en principe consultables à la bibliothèque de l'Alcazar, ou bien au service archives de la Chambre de Commerce (Palais de la Bourse) mais il faudrait auparavant que vous tentiez de retrouver les dates des faits (ou du moins vous en rapprocher) car vous ne pouvez pas tenter une recherche à l'aveuglette dans les journaux "de la fin des années 40", vous y passeriez trop de temps.
Cordialement,


Question posée Le jeudi 14 Janvier 2021.

Bonsoir Monsieur,
Je lance une bouteille à la mer...qui sait, peut-être arrivera-t-elle à bon port ?
Je suis la fille d'un journaliste avec qui vous avez travaillé à Provence Magazine dans les années 60 et que j'ai peu connu car parti trop tôt dans un accident de la route.
Si vous avez des souvenirs de cette période avec lui mais ça me ferait un plaisir immense que vous les partagiez avec moi en MP. Je vous remercie par avance. Bien à vous,

Herbaut Magali
Mherbaut@hotmail.com

Répondu par courriel


Question posée Le mercredi 13 Janvier 2021.

Bonsoir, le Premier Salon du Livre de la ville de Berre l'Etang est prévu le dimanche 13 juin 2021. Nous souhaiterions compter sur votre présence. Le parrain de cette manifestation sera Jean-Paul Delfino. Si vous êtes intéressé et disponible ce jour là, pourriez-vous s'il vous plait nous communiquer votre adresse mail de contact afin de vous expliquer plus en détails les conditions de votre venue et rémunérations selon la Charte des auteurs. Merci par avance, l'Equipe coordinatrice de la Médiathèque Edmonde Charles Roux Deferre
Mmes CAILLAULT-DIAZ Anne (Directrice)ou GERAUDIE-SASTRE Laurence (Responsable Secteur Adulte): 04.42.74.93.85. ou par mail l.geraudie-sastre@berre-l-etang.fr

GERAUDIE-SASTRE Laurence
l.geraudie-sastre@berre-l-etang.fr

Répondu par courriel


Question posée Le dimanche 10 Janvier 2021.

Bonjour Monsieur Contrucci..........Juste ce petit message pour vous presenter mes voeux pour cette nouvelle année ...Bien sur la santé pour vous et toute les personnes qui vous sont chéres ,ainsi que de la joie ............bien cordialement

jeannine ferranti
soleil.mediterranee@bbox.fr

C'est vraiment très aimable à vous. Souhaitons que cette nouvelle année nous aide à sortir du cauchemar sanitaire qui nous éprouve tous.
Fidèlement,


Question posée Le mercredi 30 Decembre 2020.

Bonjour monsieur Contrucci,je vous ai découvert en lisant l'affaire Mouligas... J'aimerais tant avoir un autographe de vous,comme vous je suis de Marseille. Voila ma requête même par courrier postal,comme vous le désirez. Mes sincères salutations. Frédéric Berben.

Berben Frédéric
berbentiradofrederic@gmail.com

Répondu par courriel


Question posée Le mercredi 30 Decembre 2020.

Je n'ai pas vraiment de question à vous poser. Je voulais seulement vous dire que je viens de terminer "N'oublie pas de te souvenir" livre acheté au salon à Fuveau en sept ainsi que "la nuit des blouses grises". j'ai lu aussitôt le dernier. Tous les livres de cette série m'ont procuré beaucoup de plaisir. J'appréhendais d'ouvrir le livre se situant à ces années de l'occupation. Maurice Gouiran m'avait auparavant convaincue de lire "Train bleu, train noir" et "le diable n'est pas mort à Dachau" ... C'est pourquoi j'ai tardé à ouvrir "n'oublie pas de te souvenir". Ce livre m'a beaucoup touché, vous avez un style et un pouvoir d'évocation qui nous font vraiment partager les difficultés des marseillais à cette époque.
Je suis une de vos fidèles lectrices et je vous remercie pour tous ces moments de bonheur que me procurent vos livres.
Au plaisir de vous rencontrer comme chaque année au salon de Fuveau.
Christiane - 1940 !

Christiane MERCIER
mercier_bergeret9095@orange.fr

En ces temps difficiles où le contact direct entre l'auteur et son lectorat est devenu quasi-impossible, pareil message réchauffe le coeur, chère Madame.
Soyez-en remerciée et espérons à bientôt, quand la vie normale aura repris son cours. En attendant, tous mes voeux vous accompagnent.


Question posée Le vendredi 11 Decembre 2020.

bonjour Monsieur
je suis historien retraité et je travaille sur un personnage : Joachim de la croix de Pisançon qui commandait une galère qui s'appelait l'ECLATANTE.
vous parlez de cette galere dans un de vos ouvrages .
avez vous trouvé des informations sur ce bateau pouvez vous me donner des pistes , éventuellement des cotes d'archives ...
ce qui pourrait me faire avancer dans ma recherche
merci par avance pour votre aide
bien cordialement

Robert Aillaud a Vizille dans l'Isère
robert.aillaud@orange.fr

Cher Monsieur,
On ne se méfie pas assez des romanciers: ce sont des imposteurs. Ils laissent croire aux vrais chercheurs (dont vous êtes) qu'ils ont un savoir, alors qu'il n'en est rien.
Je connaissais seulement l'existence de Joachim de La Croix de Pisançon car une rue du 1er arrondissement de Marseille, proche du port - où il vécut au n° 29 - porte son nom. Grâce au "Dictionnaire historique des rues de Marseille", de feu Adrien Blès, j'ai appris qu'il avait été lieutenant-général des galères et que, par testament, il avait légué tous ses biens à la Ville. Mais mon savoir s'arrête-là. Quant à "L'Éclatante", je ne connais guère que son nom. Pour des plans éventuels sans doute devriez-vous vous tourner vers le service historique du Ministère de la Marine.
Très cordialement,


Question posée Le mercredi 25 Novembre 2020.

bonsoir je suis à la recherche d'un fait divers qui s'est passé à l'hôtel de Bordeaux et d'orient boulevard d'Athènes Cet hôtel appartenait à mes arrières grands parents et je cherche tout ce qui y ramène. j'ai vu passé ce fait divers il y a quelque temps mais je ne sais plus où..peut être dans un de vos livres...
merci beaucoup

florence Heitzler
flo.heitzler@gmail.com

Bonjour,
Je vous avoue tout net que vous me posez une colle. La seule chose dont je sois certain est de n'avoir jamais utilisé ce fait-divers dans l'un de mes romans.
Je suis désolé de vous décevoir.
Très cordialement,


Question posée Le lundi 26 Octobre 2020.

Monsieur, Lors d'un passage à Marseille, j'ai découvert vos livres. J'ai passé de très bons moments avec les familles Signoret/ Baruteau. Mon seul regret est de ne pas avoir pu vous rencontrer lors de la fête du livre cette année à Fuveau
Bien cordialement.

Pascale Vidal
viadgo@free.fr

Merci de ce message amical en passant. Pandémie oblige les salons et les rencontres avec les lecteurs se raréfient et je ne peux présager de l'avenir. Espérons que Fuveau 2021 pourra se tenir et ce serait l'occasion de rattraper notre rencontre manquée.
Très cordialement


Question posée Le jeudi 15 Octobre 2020.

Jean Contrucci bonjour !

Je suis journaliste et animateur à Marseille. Nous nous sommes rencontré lors d'une de vos conférences à la Maison des Associations sur la Canebière à Marseille il y a quelques années. Vous m'aviez dédicacé l'un de vos ouvrages " Dominique Piazza, un destin marseillais".

Je prépare actuellement un reportage vidéo sur l'histoire de la Canebière, un retour sur quelques unes des salles de spectacles mythiques et sur l'épisode tragique de l'incendie des Nouvelles Galeries en 1938.

Je souhaiterais votre participation à notre reportage dans les mois qui viennent, en fonction de vos disponibilités, pour évoquer le Marseille de la Belle époque et l'évolution de la Canebière jusqu'à aujourd'hui.

Je vous laisse mon mail et coordonnées.

Merci et bien à vous.

Franck Deleyrolle

Franck Deleyrolle (06 68 35 23 32)
deleyrollefranck@gmail.com

Répondu par courrriel


Question posée Le jeudi 24 Septembre 2020.

Bonjour,
Je possède tous vos ouvrages de la série "les mystères de Marseille" au format poche mais pas le treizième qui apparemment n'a pas été édité au format poche. Pouvez-vous me dire quand il sera édité dans ce format ?
Bien cordialement.

Gaby LE BIHAN
gerardgaby@orange.fr

Bonjour,
J'ai posé la même question à mon éditeur JCLattès. Sa réponse a été surprenante: l'édition au Livre de Poche de La nuit des blouses grises est reportée à juin 2021... pour cause d'épidémie. Je cherche encore le sens de ces mots. La logique commerciale des éditeurs me dépasse...
Très cordialement


Question posée Le jeudi 17 Septembre 2020.

Bonjour Monsieur Contrucci ....Impatiente de vous lire je me permet de vous demander quand il y aura un nouveau livre? .........Bientot j'espére

jeannine ferranti
soleil.mediterranee@bbox.fr

Bonjour Madame,
Il vous faut patienter jusqu'au début de l'année prochaine. Très cordialement


Question posée Le mercredi 9 Septembre 2020.

Bonjour Monsieur Contrucci,

dans le cadre d'une collaboration avec les Excursionnistes marseillais, nous souhaiterions emprunter un paragraphe de votre ouvrage « Dominique Piazza. Un destin Marseillais », (Éditions HC., 2009) pour un fanzine que nous nous préparons à éditer pour la biennale de création contemporaine Manifesta 13. Seriez-vous prêt à nous autoriser à utiliser ce paragraphe?

Très cordialement,
Joana Monbaron

Joana Monbaron
joanamonbaron@manifesta.org

Bonjour Madame,
La question dépasse l'auteur que je suis. C'est à l'éditeur qu'il faut demander l'autorisation. Adressez-vous à HC-Éditions, 32 rue Lafaurie de Montbadon 33000 Bordeaux.
Très cordialement


Question posée Le jeudi 3 Septembre 2020.

Bonjour, Jean Contrucci!

Sans doute serez-vous intéressé par le DICTIONNAIRE DES PARLERS RÉGIONAUX DE LA FRANCE MÉTROPOLITAINE que je viens de mettre en ligne sur Internet et dans lequel vous êtes, je crois bien, l'auteur le plus cité. Intéressé, par exemple, par l'origine que je propose pour cette expression bien connue chez nous de

L’AN PЀBRE

An pèbre. - gr. n. (Provence.) 1° Ça date de l’an pèbre, Ça remonte à l’an pèbre : ça remonte à des temps immémoriaux. « Tante Fine parle de l’An Pèbre ! Moi aussi je l’ai connue, cette source, mais elle a dû se perdre. » Marcel Pagnol, Jean de Florette. • « Nous, nous sommes ici depuis l’an pébré. » Pierre Magnan, La naine, p. 139. • « Tout existait déjà depuis l’an pèbre. » Claude Courchay, Quelque part, tout près du cœur de l’amour, pp. 13-14.
2° Par extension, l’expression peut renvoyer aussi à un futur lointain, tout à fait improbable. S’il se* la marie*, ce sera à l’an pèbre : à la saint-glinglin, quand les poules auront des dents. « Bon ! On va pas rester là jusqu’à l’an pèbre. » Jean Contrucci, Double crime dans la rue Bleue, 26.
Signifie littéralement : « An poivre. » D’après Robert Bouvier (Le Parler Marseillais), ce fameux an pèbre serait 1848, où une maladie des vers à soie appelée la pébrine (« car la maladie se caractérisait par de petits points noirs, comparables au poivre moulu ») dévasta les élevages du Midi.
Cette explication, malheureusement, ne m’a jamais paru très convaincante : cette date de 1848 est trop précise et trop récente pour une expression qui renvoie manifestement à des temps immémoriaux. An pèbre est plutôt une altération d’empèri « empire ». Avant son rattachement au royaume de France (1481), la Provence était sous la domination du Saint Empire Romain Germanique. En témoigne le Château de l’Empéri à Salon, construit du IXe au XIIIe siècle. Frédéric Mistral (in TDF, à l’article empèri) et Alphonse Daudet (in Lettres de mon Moulin, En Camargue, I) nous signalent que les mariniers du Rhône avaient gardé l’habitude de désigner la rive droite (la France) du nom de reiaume « royaume » et la rive gauche (la Provence) du nom d’empèri. Dans la région lyonnaise, on continue d’ailleurs d’utiliser ces appellations de « côté royaume* » et « côté empire* », comme nous le rappelle Gilbert Salmon dans Le parler du Lyonnais, Editions Bonneton, 2010. Une lecture attentive de l’article de Mistral est encore plus révélatrice. On apprend que le mot empèri, dans la bouche des mariniers (lesquels perdaient sans doute un peu de vue ce que c’était que cet empire), avait déjà commencé d’évoluer en empèire (le rapprochant ainsi à tort de pèire « pierre », empeira « empierrer »), puis, par déglutination, en pèri, forme dialectale de péril sur les bords du Rhône. Il est donc vraisemblable de penser que le terme a continué de s’altérer avec l’épenthèse d’un b, comme dans les mots chambro, chambre, qui viennent du latin camera, ou noumbre, nombre, du latin numerus. D’autant plus que ce mot pèbre semble avoir apporté à l’expression une touche amusante inattendue bien dans l’esprit galéjeur méridional !
Bien cordialement.
Y. H.

Yves HONORAT
yves.honorat@neuf.fr

Cher Monsieur,
Je ne suis pas seulement intéressé, je suis carrément en admiration devant la colossale somme de travail que représente votre DICTIONNAIRE et la qualité de vos analyses. Je suis flatté d'y avoir modestement participé par les citations que vous avez bien voulu puiser dans mes "Nouveaux mystères de Marseille".
J'invite tous mes lecteurs à aller visiter votre mise en ligne comme je viens de le faire et vous remercie de l'avoir mise à la portée de tous. Elle sera une aide puissante pour combler nos ignorances. Toutes mes félicitations.


Question posée Le lundi 17 Aout 2020.

Bonsoir,
J'ai suivi avec passion les mystères de Marseille, et j'attendais avec impatience la suite mais je vois que vous allez arrêter à la série. Quel dommage!!!Pourquoi ne pas avoir écrit un dernier livre ou à la fin on fêtait le départ en retraite du commissaire Baruteau?
j'ai aussi tous vos autres livres et vous m'en avez dédicacé un lorsque vous êtes venus à Banon.
J'ai beaucoup aimé "n'oublie pas de te souvenir". Cordialement,
Micheline

Oizel Micheline
laufreale@hotmail.fr

Bonjour, chère fidèle
Si vous avez bien lu le tome 13 (et dernier) des "Nouveaux Mystères de Marseille", vous aurez remarqué qu'il y est fait allusion à plusieurs reprises au "prochain départ" en retraite du commissaire Baruteau. Et à la baisse de son moral. Je n'ai pas voulu écrire la cérémonie du départ. Je craignais que la tristesse l'emporte. J'ai préféré laisser le lecteur l'imaginer à sa guise.
Je suis heureux que vous ayez aimé "N'oublie pas de te souvenir". C'est un livre qui me tient à coeur.
Très amicalement,


Question posée Le vendredi 14 Aout 2020.

Bonjour,

j'ai une question concernant la série "les mystères de Marseille", je souhaiterai savoir quand paraîtra le prochain tome. Le dernier, la nuits des blouses des grises terminait sur la disparition d'un protaganiste et j'aimerai vraiment connaître la suite. J'ai découvert cette série avec l'affaire de la Soubeyranne et cela m'a tellement plu que du coup j'ai lu tous les tomes.

Espérant vous lire à nouveau très prochainement

cordialement

Ketty
ketty_@hotmail.fr

Je pense que je vais vous décevoir, chère lectrice. J'ai décidé - en possession de toutes mes facultés et sans avoir subi de pression extérieure, bref, en toute lucidité de mettre un point final à la série avec ce treizième tome, non par superstition mais parce qu'il faut savoir écrire le mot fin. Je l'ai déjà maintes fois écrit ici même (voyez ci-dessous). Je suis heureux d'apprendre que cela vous a plu.
Très cordialement


Question posée Le samedi 25 Juillet 2020.

MONSIEUR CONTRUCCI, MERCI de ME FAIRE CONNAITRE L'HISTOIRE DE MARSEILLE, AUTREMENT . JE VIENS DE TERMINER L'INCONNU du grand hôtel!!!!quel plaisir !!!!!!!!!!!!!!!!!! ; j'habite les 5 avenues depuis 14 ans, et de lire , entre autre sur le palais Longchamp .....
Amie de Clodette Berard, qui vous a connu en temps que journaliste, , je lui ai fait part de mon admiration pour votre écriture ,

Ma question : quand faites vous une conférence sur le sujet que vous souhaitez ???????????????????????????votre verbe est tellement stimulant que quelque soit la conférence, j'aimerai venir vous écouter .
et vous faire dédicacer le livre qui me plait beaucoup

bien à vous

Véronique Van Themsche
vero.van.themsche@gmail.com

Merci infiniment, chère lectrice de votre enthousiasme et des compliments que vous me prodiguez. Pour l'instant, les conditions sanitaires ne nous permettent pas d'envisager des réunions-conférences en lieux clos. Espérons des temps meilleurs à venir.
Très cordialement,





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