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Question posée Le lundi 18 Avril 2016.

Monsieur Contrucci,

Milles excuses,
Loin de moi l’idée d'avoir voulu ajouter une énième façon de prononcer votre nom comme l'avait souligné l'éminent linguiste Médéric Gasquet-Cyrus.
Victime de ces machines que l'on appelle ordinateurs,une mauvaise manipulation m'a fait écorcher votre nom.
Je suis sincèrement désolé pour cette impardonnable faute de frappe.
Je vous prie,si cela vous est possible, de bien vouloir corriger,cette coquille impardonnable.
Avec tout mon respect.

Marius Pegomas, Très maladroit détective marseill
marius.pegomas@outlook.fr

Cher Monsieur Pigomus,
Cette machine est ainsi faite qu'il n'est pas possible de corriger un texte fautif. La seule échappatoire pour effacer un lapsus calami est de le détruire en entier. Je ne vais pas le faire tout de suite, de manière à ce que les autres puisse vous faire honte, mais personnellement je n'en suis pas offusqué. Vous avez donné à mon patronyme (qui commence si grossièrement) un petit côté roumain qui me dépayse.


Question posée Le dimanche 17 Avril 2016.

Monsieur Contruccu,

Merci pour le merveilleux moment que vous nous fîtes passer hier au soir au Tcm et ce grâce à vos amis qu'ils en soient également remerciés.

Gilles Ascaride a su mettre en valeur vos textes et ce fut un vrai régal.Il faudrait renouveler l'exercice. Il constitue à lui seul un spectacle.
Mais je voudrais revenir à l'extrait de 'La poisse' lu par votre complice Jacques Bonnadier. Très émouvant aussi. Vous égratignez quelque peu le métier d'enseignant. Je m'élève en faux et après avoir crié haut et fort QUEL BEAU METIER PROFESSEUR, pourriez-vous me confirmer l'anecdote suivante concernant une jeune stagiaire : Le rédac' en chef n'a pas voulu de son papier, car il était trop long. Par contre, lui fit-il remarquer, Léon fait de somptueux papiers.





Marius Pegomas Détective Marseillais
marius.pegomas@outlook.fr

J'égratigne le métier d'enseignant (si peu récompensé de ses efforts!) sans doute parce je suis comme le renard de la fable: je débine ce que je n'ai pas été capable d'atteindre.
Je ne connaissais pas les aptitudes du jeune Léon (ou Léa?). En revanche dans le milieu de la presse circulait au temps de ma jeunesse folle une anecdote attribuée à François Mauriac qui, exaspéré par les innombrables coquilles saupoudrant ses chroniques du Figaro, avait eu l'imprudence d'en écrire une nouvelle au récriminatoire, qu'il avait intitulée "Mes coquilles!".Hélas, un regrettable "sauton" avait privé le mot de la lettre Q qui lui donnait tout son sens...
Très cordialement


Question posée Le jeudi 7 Avril 2016.

Maître,

Il paraît que vous projetez de vous donner en spectacle le 16 avril prochain en la compagnie d'une bande de bras cassés dont je préfère taire les noms, tant ils me sont odieux !
Le tout dans un théâtre que Notre Sainte Mère l'Église désavoue.
Maître, avez vous perdu la tête? Ou le reste ?

Abbé Résina (mitré)
overlitteraturenlmm@orange.fr

Monsieur,
La bave des crapauds n'atteint pas les étoiles.
Si vous êtes un homme retrouvez-moi samedi 16 avril à 19h30 au Théâtre de la Comédie. C'est à Marseille, au n° 107 du boulevard Jeanne-d'Arc. Un nom qui doit convenir à un intégriste de votre trempe. Nous y serons en joyeuse compagnie.


Question posée Le samedi 26 Mars 2016.

Cher Monsieur,
Étant un homme d'affaire extrêmement pressé dont le temps est plus que précieux et ne saurait se dispenser en fariboles, voici mon dilemme: on m'a dit beaucoup de bien de vos romans mystérieux mais comme je suis un homme d'affaire extrêmement pressé dont le temps est plus que précieux et ne saurait se dispenser en fariboles, je n'aurai jamais le temps de les lire, pourriez-vous je vous prie, m'en résumer la teneur en quelques phrases (les douze tomes svp) ? Merci.

Aymon Cusset-Dupoulet
gilles.ascaride@orange.fr

Monsieur,
Le Maître n'ayant pas plus que vous même de son précieux temps à gaspiller en fariboles, vous prie de vous reporter au jugement impartial qu'Émile Zola émit, après lecture attentive des 4317 pages des Nouveaux Mystères de Marseille : "Oh, la vache! Quel talent, ce type! Mais comment y fait? Moi, j'y arrive pas!", s'écria l'immortel auteur des Rougon-Macquart, non sans une once de jalousie confraternelle, attitude habituelle des Aixois envers les Marseillais.
Espérant avoir satisfait votre légitime admiration, le Maître vous prie de recevoir l'imposition de Ses Mains.
pour Jean Contrucci, son secrétaire particulier,
Jean-Neyrien Nâfoutre


Question posée Le vendredi 18 Mars 2016.

bonjour,

Je suis une grande fan de vos livres, truculents, ensoleillés, témoins d'une époque pas si lointaine mais hélas révolue.... bref un régal. Comment être informée de vos futures parutions ?

Dominique
dominiquecraspail@yahoo.fr

Puisque vous me donnez les moyens de vous joindre, vous serez informée à temps.
Merci de votre message.


Question posée Le vendredi 18 Mars 2016.

Monsieur Contrucci,

En tant que descendant patenté de bàbis de bon aloi, je déplore votre refus d'affronter la réalité, à savoir que le macaroni, le ravioli et même le cannelloni (véritable cigarette de bordille, comme l'a affirmé Cigalon le Grand) font désormais partie intégrante de notre culture toute provençalo-marseillaise. Votre refus conservateur, pour ne pas dire réactionnaire, de tout nterculturel nous privera donc de mystères gastronomique et cela me navre.
Votre dévoué,

Pépino Belnazo
gilles.ascaride@orange.fr

Quand vous aurez lu un de mes meilleurs romans: Mortelle mortadelle, paru aux éditions Ficanaso (hélas, épuisé), vous changerez d'avis à on endroit.
À mon envers aussi.


Question posée Le dimanche 13 Mars 2016.

Bon, suite à votre écriture de la main gauche je l'ai lu,"Le Mystère de la soupe au pistou", je trouve que ça manque de sel.
Sans vous commander, vous voulez pas écrire, "L'énigme des macaronis"? Je me sentirais plus proche.
Sans vous commander, bien sûr.
Votre dévoué,

Dottore Égidio Ascaride
gilles.ascaride@orange .fr

Monsieur,
Je vous trouve bien irrespectueux. Je ne suis qu'un écrivain du sud (sans majuscules) je ne bénéficie pas du label "importé de Germanopratie" réservé aux grosse légumes de la littérature romanesque, mais je suis un écrivain FRANÇAIS, Monsieur! Jamais je ne m'abaisserai à évoquer dans les titres de mes oeuvres des plats de pauvres élaborés par des cuisiniers métèques. Donc ni macaronis, ni pizzas, ni osso buco, encore moins de saltimbocca. Les titres de mes prochains ouvrages fleureront encore ce parfum de terroir qui a fait ma réputation: La daube qui tue, Mortelle bouillabaisse et Les pieds-paquets diaboliques. N'y revenez pas, je vous prie.


Question posée Le samedi 12 Mars 2016.

Je vous ai découvert par hasard dans un vide grenier ( la Cathédrale Engloutie ). J'ai tellement aimé que j'ai profité des Automnales du livre, à st Loup, pour prendre et vous demander une dédicace pour Le Guet Apens de Piscatoris. Je me sens devenir accroc...
Je ne sais si vous allez le prendre pour un compliment mais je retrouve le même type de plaisir que j'ai eu à dévorer tous les Pierre Magnan. Le terroir, l'imagination, une certaine atmosphère. Ma mère était des Basses Alpes. Et moi j'ai passé toute mon enfance entre le cannet et << le village >> de st Joseph. Merci

Robert AVILES
robert.aviles@wanadoo.fr

Oh oui, je prends comme un compliment que vous pensiez à Pierre Magnan quand vous lisez mes romans. Il y a de plus mauvais compagnons! Il n'est plus là pour nous dire si la comparaison le flatterait ou non, mais nous avons toujours des relations d'estime réciproque. Donc je ne risque rien à dire que nous appartenons à la même "famille" dans notre désir commun de raconter avant tout des histoires qui "parlent" au lecteur en dehors des modes et de l'esbroufe.
Très corsdialement


Question posée Le lundi 7 Mars 2016.

je suis journaliste à l'agence Reuters et auteur - Où pourrais-je vous envoyer le PDF etc..de mon dernier roman, Retour à marseille ? En vous remerciant

Gérard Bon
gerard.bon@thomsonreuters.com

Répondu par courriel


Question posée Le mardi 9 Fevrier 2016.

Bonjour Monsieur, je voulais vous demander ceci, est ce que c'est difficile d'écrire des livres?
Voilà ce que je voulais vous demander.

Gilles Ascaride
gilles.ascaride@orange.fr

Non, croyez pas ça. C'est très facile d'écrire des livres. Tenez, moi qui vous cause, je réponds à votre message avec la main gauche, tandis qu'avec la droite j'écris la page 325 du "Mystère de la soupe au pistou", mon prochain chef d'oeuvre. Évidemment, c'est pas donné à tout le monde. Il faut être ambitieux et ambidextre: qualités rarissimes par les temps qui courent, mais c'est à cela qu'on reconnaît les écrivains d'élite (ceux qui emploient le passé simple l'air de rien, comme si c'était à la portée du premier venu).
Je vous salue bien bas.


Question posée Le jeudi 14 Janvier 2016.

Bonjour Monsieur

Quand comptez vous sortir le TOME 13 de la série "les nouveaux mystères de Marseille" ?

Merci pour votre réponse

Yves HASSAN
yves.hassan@education.gouv.fr

Je vous renvoie aux diverses réponses que j'ai déjà faites à ceux qui s'impatientent. Il faut le temps de le faire. Merci de votre intérêt et de votre sympathie.


Question posée Le lundi 11 Janvier 2016.

J'allais vous questionner au sujet de vos sorties prochaines, mais en fait je lis votre réponse à Christiane Latil, aussi je vais m'armer de patience et attendre votre mel pour annoncer la bonne nouvelle.
Comme c'est la saison jusqu'au 31 je vous présente mes meilleurs voeux pour 2016 et écrivez nous encore de beaux romans.

MICHEL Yves
ygmichel@yahoo.fr

Je m'y emploie, cher et fidèle lecteur. Mais comme dit l'autre "ça ne se fait pas tout seul". J'ai quelque chose sur le feu, mais il est encore trop tôt pour fournir un calendrier. Je ne manquerai pas de tenir le fan's club au courant.
Merci pour vos voeux. Soyons modestes, contentons-nous de souhaiter être tous au rendez-vous lorsque naîtra le prochain opus.
Très cordialement,


Question posée Le vendredi 18 Decembre 2015.

bonjour monsieur juste une petite question mon grand pere qui aurait aujourd'hui 110 ans me faisait peur avec une histoire d'enfant mort qu'on aurait retrouve aux grottes loubiere ainsi que la maison de maldorme(nous sommes d'endoume) qu'ila toujours appele la maison du notaire !!! alors est ce qu'il y a un peu de fait divers d 'antan!! nous sommes marseillais depuis au moins 1534 . en tout cas je me languis de votre nouveau livre depechez vous et excusez moi de ces questions. emma

emma lupo salles
pioupo@hotmail.com

Bonjour chère lectrice
Si vous avez lu "L"affaire de La Soubeyranne" (ce qui me paraît être le cas), vous savez que le héros, Raoul Signoret, trouve l'entrée de la grotte murée, précisément parce que onze ans auparavant, le corps profané d'une fillette y avait été découvert. Il s'agit donc bien d'un fait-divers réel, puisqu'en 1915, le coupable (jamais inquiété) a confessé son crime sur son lit de mort. C'est cette histoire vraie qui a inspiré la mienne.
Quant à la "maison du notaire" à Maldormé, (qui se réfère à l'épisode Les diaboliques de Maldormé) c'est une pure coïncidence entre une invention romanesque et les souvenirs de votre grand-père. Il n'est pas rare que la fiction rejoigne la réalité.
Très cordialement.


Question posée Le dimanche 6 Decembre 2015.

Nous sommes avec mon mari des inconditionnels de vos livres. A quand le prochain. Je suis née à Marseille et je retrouve les quartiers que j'ai connu
Merci

Christiane
c.latil25@Orange. fr

Le prochain viendra en son temps. Quand il sera prêt. Les romans se récoltent quand le fruit est mûr. Patience. Merci de votre fidélité.


Question posée Le mercredi 2 Decembre 2015.

Ce n'est pas une question mais l'expression d'un régal qui m'étreint depuis près d'un an que j'achète tous vos livres des mystères de Marseille.
Les ayant découvert vers un age avancé et marseillais depuis quelques générations, je retrouve dans vos descriptions et votre faconde les différents "villages" de Marseille où j'ai vécu : Saint Julien, Malmousque, La Belle de Mai, etc.
Et ne parlons pas de la cuisine que vous décrivez qui nous donne des frissons, comme les pieds et paquets de Saint Marcel...
Je viendrai le 8 vous faire dédicacer le dernier livre acheté près de l'endroit où je suis né, la rue des Orgues et dans l'école où j'ai commencé ma vie scolaire : la mairie d'arrondissement d'aujourd'hui.

Jean-Michel Ricard
alastar@orange.fr

C'est une excellente idée. Nous serons entre gens de proximité. Je vous y attendrai.
Cordialement


Question posée Le dimanche 29 Novembre 2015.

Bonjour Monsieur,
Je vous écris car chaque Noel depuis plusieurs années j'offre à mes grands parents de 90 ans, un ou deux de vos livres. Ils vous adorent et vos ouvrages les aident à s'échapper de leur quotidien. Afin de rendre ce Noel un peu plus special pensez vous qu'il soit possible de me faire parvenir un de vos livres dédicacé?
Si vous pensez que c'est possible mille mercis !

Anne Sophie
annesophie.icard@gmail.com

Répondu par courriel


Question posée Le samedi 31 Octobre 2015.

je viens de passer trois jours de lecture en découvrant "L'Affaire de la Soubeyranne" sur le présentoir des romans policiers de la Bibliothèque pour tous à Six fours
J'ai donc vécu quelques heures, tenu en haleine, mais heureusement entrecoupées de recettes culinaires dont on sent l'odeur rien qu'en tournant les pages. Et sans me lasser aux côtés de ces héros récurrents le journaliste Raoul Signoret et le grand flic Eugène Baruteau, toujours content de les retrouver depuis que je lis avec assiduité, les nouveaux mystères de Marseille. Je sors de mes profondeurs marines, de mes épaves et de mes dernières amphores grâce à vous Monsieur Contrucci. Merci et surtout...continuez.

Loridon Gérard dit Le vieux Scaf'
loridon.gerard@orange.fr

Merci de votre fidélité, cher Vieux Scaf.
De mon coté, j'admire votre vitalité. À croire que le monde du silence conserve ses amoureux.
Cordialement,


Question posée Le jeudi 15 Octobre 2015.

Je voudrais vous remercier pour votre serie les nouveaux mysteres de Marseille j ai lu tous les livres a la suite et attends la suite avec impatience j oublie tous mes soucis lorsque je lis les aventures de Raoul SIGNORET encore merci pour ces moments de bien etre

christine Lacombe
christinefloyo@hotmail.fr

Ne me remerciez pas, votre fidélité est la plus belle des récompenses.
C'est moi qui vous remercie.


Question posée Le mercredi 14 Octobre 2015.

Monsieur CONTRUCCI,avec ma famille dont une partie est à Marseille et l'autre à Paris, nous avons créé un site pour les personnes retraitées dynamiques et un peu "décalées": Mercipetit.fr .Ce site fonctionne comme un journal avec des infos sur Paris et sur le Sud ainsi qu'une News Letter.C'est justement dans cette NL que nous désirerions passer toutes les semaines certains de vos textes notamment vos rubriques dans le Provençal ou de courtes Nouvelles.Comment devons nous procéder ?Merci de prendre le temps de me répondre.Une bonne journée.Andrée DESANTI

Andrée DESANTI
andredesanti@orange.fr

Répondu par courriel


Question posée Le lundi 5 Octobre 2015.

bonjour, Marseillaise depuis quelques mois, j'ai découvert il y a peu de temps avec bonheur les aventures de P Signoret. Elles me font découvrir l'ancien Marseille avec délectation. D'autant que d'un de vos opus vous parlez de la rue Crillon ou je viens d'emménager, j'y ai appris le pourquoi des 3 pièces marseillais...Mais dans une de vos pages vous parler du couvent du refuge jouxtant la Conception. Je croyais le couvent du refuge dans le Panier...Merci encore infiniment de vos récits.

Danielle Raine
danielle.raine1@gmail.com

Bonjour à la néo-Marseillaise
Le couvent du Refuge se situait, en effet, dans un premier temps, au coeur du quartier du Panier, dans la rue à laquelle il a laissé son nom. Ensuite, quand la ville s'est étendue, il a "déménagé" en 1838 pour la rue Paradis, (angle rue Sainte—Victoire) puis, dix ans plus tard, pour le boulevard Baille, pratiquement à l'angle de la rue des Vertus (décidément...). Je l'ai connu alors qu'il était encore "en activité". On y accueillait les filles dites "repenties" ou en difficulté. C'est à dire, pour les soeurs du Bon Pasteur qui les avaient en charge, sur la voie du salut (si l'on peut dire...).





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