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Question posée Le samedi 13 Mars 2010.

Bonjour,
J'ai acheté "le vampire de la rue des pistoles" presque pour le fascicule "le Marseille de Raoul Signoret". Adepte des écrivains anglo saxons qu'elle n'a pas été ma surprise de découvrir cet Excellent polar qui plus est marseillais. Pour tout vous dire j'ai commandé "l'Enigme de la Blancarde" afin de suivre la chronologie des nouveaux mystères de Marseille. Toutes mes félicitations pour vos ouvrages.
J'aurai deux questions à laquelle vous avez probablement répondu dans vos précédents ouvrages, où était située la police en 1907, à l'évéché ? Est-ce que le Marseille de la police rayonnait sur le département des Bouches du Rhône ?
Merci de vos réponses.

Olivier Farrando Dulphy
olivier.fd@wanadoo.fr

Merci de célébrer avec pareil enthousiasme votre arrivée au club des amis de Raoul Signoret!
Pour répondre précisément à votre question, le commissariat central se trouvait dans le bâtiment situé derrière l'Hôtel de Ville, dénommé pavillon Daviel, (si vous connaissez Marseille) où se trouvait également le palais de justice et la prison qui justifiait le nom de la rue adjacente. Dans les deux premiers tome, je l'ai imprudemment baptisé "Évêché", mais il ne portait pas encore le surnom. Il le prit lorsqu'on transféra ledit commissariat central dans l'ancien palais épiscopal(où une partie des bureaux se trouve toujours), quand la Loi de séparation de l'Eglise et de l'État permit sa récupération. Dans le prochain épisode ("L'Inconnu du Grand Hôtel", le commissaire Baruteau commence à penser à son déménagement prochain).
Quand à la compétence territoriale de la police, jusqu'en 1908, elle se circonscrit à Marseille, puis c'est la gendarmerie qui prend le relais. Il faut attendre la création par Clémenceau des brigades mobiles (les fameuses brigades du Tigre) pour qu'un policier marseillais poursuivant un délinquant puisse passer les "frontières" communales. (Ce qui est en train de s'organiser dans "Le Vampire de la rue des Pistoles")
Très amicalement


Question posée Le lundi 1 Mars 2010.

Bonsoir
Je viens de découvrir votre site après avoir fait une intrusion sur Wikipédia pour voir si mon grand oncle y était cité: Dominique Piazza.
je connais pas mal de chose sur lui et toute la famille, et j'ai des photos et des documents que je pourrai scanner si vous êtes intéressé. J'ai vécu plusieurs années, entre autre, au bout de la rue d'Endoume, voisine de la cousine Mathilde ou nous nous retrouvions tous les dimanche en famille avec son frère Francis fils de l'oncle Dominique. Je vis dans les Deux-Sèvres depuis 2000, non loin de la Vendée ou j'ai retrouvé il y a quelques années le fils de Mathilde: Pierre qui s'y était installé. J'ai lu pas mal de vos livres que j'ai beaucoup aimé, mais je viens de découvrir celui de mon grand oncle Dominique Piazza.Par contre vous êtes mon ainé d'un an et je pense vous avoir rencontré,sans doute à Marseille d'après les photos. Je suis l'une des petites filles Maria Piazza, soeur de Dominique.
J'ai longtemps vécu entre Marseille et La Ciotat.
Dans ma famille, il y a un autre personnage qui a eu son heure de gloire en son temps sur les planches: Gorlett dit Pétoulet. C'était le neveu de mon grand père paternel.
Je me tiens à votre disposition si vous voulez en connaître un peu plus sur tout ce monde car j'ai toujours été attentive et intéressée sur le passé de ma famille.
Il y aurait de quoi faire un roman !
Cordialement

Claudette FABRE
clofab13@hotmail.fr

Répondu par Courriel


Question posée Le vendredi 26 Fevrier 2010.

Bonjour Jean,
Si je me permets de vous interpeler par votre prénom c'est que, depuis une quinzaine de jour, vous partagez mes soirées au travers du "Vampire de la rue des Pistoles" que j'adore et qui m'a été offert par une amie connaissant mes origines marseillaises.
Mon propos est ici, plutôt professionnel : en effet, depuis l'an dernier, avec mon organisme de formation dont je suis la gérante-créatrice, je suis "porteur" d'un programme créé par la CGPME 13? qui s'appelle "Ambassadeur de ma ville". Il consiste en un cursus de 5 lundis de formation et d'information destiné aux commerçants de Marseille pour les aider à "vendre leur ville aux touristes. A ce jour, nous avons animé un module sur Marseille et un sur Aix, qui ont été un succès. Cette année nous renouvelons l'opération sur Marseille du 19 avril au 17 mai et, comme les fois précédentes, je recherche des intervenants susceptibles de parler de Marseille. je suis à la page 240 de votre livre mais j'ai pu constater que non seulement vous aimiez votre ville mais que vous la connaissiez très bien.Donc, ma question est : accepteriez-vous de venir, au moins une journée, parler de votre ville à un auditoire d'une quinzaine de personnes ? Si vous êtes d'accord sur le principe, je pourrai vous adresser le programme détaillé ainsi qu'un article de presse rédigé par vos confrères de la Provence. Je me tiens à votre disposition pour discuter de vive voix du sujet, au 06.71.64.10.17.
Dans l'attente du plaisir de vous rencontrer,

Bien cordialement.

Luce FELINE (c'est pas une galéjade ; c'est bien mon nom...)

Luce FELINE
lffc@wanadoo.fr

Répondu par courriel


Question posée Le jeudi 25 Fevrier 2010.

Mr Contrucci,

je suis nee a Marseille, je vis toujours a Marseille, mon grand père etait un corse né au Panier en 1903. Et quand je lis vos nouveaux mysteres de Marseille, dont j'attends chaque sortie avec impatience, me reviennent en memoire les histoires que me racontaient mon grand pere (le seul changement etait que le tramway etait devenu moderne et qu'il avait remisé les chevaux a l'ecurie). Et son marseille des annees 20-30 devait ressembler a celui de raoul signoret.

Et a chaque fois que je lis un de vos romans je le relis avec l'accent chantant de ces belles expressions que seuls desormais les vieux utilisent.

Merci a vous de nous faire revivre ce marseille d'antan avec ce style d'antan=)).

Mon grand pere aurait aime vous lire j'en suis sure, mon pere aussi

Laurence Jandrot
slapstick@hotmail.fr

Je suis comme vous, ma chère Laurence: ni mon père, ni mon grand-père n'ont eu l'occasion de lire la série des "Nouveaux Mystères de Marseille". Mais ils y sont présents tout de même par ce qu'ils m'ont légué et dont je me sers pour évoquer leur temps révolu. Dans la langue de mes personnages, dans les expressions qu'ils emploient spontanément, j'entends la voix de ma grand-mère paternelle qui s'exprimait ainsi et me les a transmises.
Amicalement.


Question posée Le mercredi 24 Fevrier 2010.

je vous ai déjà écrit et vous m'avez gentiment répondu (mc Vangeel jupille belgique) je voudrais vous dire que je suis toujours vos nouvelles parutions pour votre style d'écriture et aussi pour le vocabulaire car je pratique le wallon ,langue endogène de ma région et je suis intéressée par votre vocabulaire régional

Kilou vangeel-slangen
Kilou1948 @hotmail.fr

Quel bonheur de savoir qu'on est lu si attentivement "outre-Quiévrain" comme on disait jadis en France pour désigner votre région, qui, tel le village d'Astérix résiste à la pression flamande. Ce qui nous vaut de parler tous deux aujourd'hui la même langue, en dépit des variations locales de part et d'autre.
Merci de vos encouragements et de votre sympathie.
Bien cordialement


Question posée Le mercredi 17 Fevrier 2010.

Bonjour ! je viens de racheter l'Hoel Emma Calvé à Millau, maison dans laquelle Emma a vécu les dernières années de sa vie. Je me passionne donc beaucoup pour Emma et j'essaie d'en savoir le plus possible sur elle afin de le partager avec mes clients. J'aimerais beaucoup lire votre livre sur elle mais je ne le trouve que d'occasion... Pourriez vous me dire où je pourrais en trouver un exemplaire neuf ? Et j'aimerais beaucoup aussi savoir pour quelle raison vous vous êtes intéressée à elle ? Merci beaucoup de votre réponse ! Cordialement,

Florence AVRIL
hotelemmacalve@yahoo.fr

Quelle surprise, ma chère Florence! Figurez-vous que lorsque j'écrivais le livre que vous recherchez, j'étais venu enquêter sur place pour retrouver des traces tangibles de notre Diva et je m'étais fait le plaisir de passer une nuit dans l'hôtel dont vous êtes désormais la propriétaire, sachant que la maison avait été celle que Calvé avait habitée. La propriétaire de l'époque avait poussé le sens de l'accueil jusqu'à me laisser croire qu'elle m'avait donné comme chambre celle où l'enchanteresse elle-même passait ses nuits.
J'ai vainement guetté les craquements des boiseries qui m'auraient signalé que l'esprit de la cantatrice me faisait l'honneur d'une petite visite, puisqu'elle-même croyait dur comme fer aux revenants et au périsprit qui survit à l'enveloppe charnelle et répond volontiers aux coups frappés dans la "table parlante" quand on utilise le bon code.
J'avais été un peu déçu de cette indifférence.
Pour répondre plus sérieusement à votre requête, je pense que vous pourriez trouver "Emma Calvé la diva du siècle", paru chez Albin-Michel et au Livre de Poche en allant toquer à la porte de Amazon ou de Chapitre.com
Très amicalement,


Question posée Le mardi 9 Fevrier 2010.

Cher Monsieur,

Comment jugez-vous la nouvelle presse locale à Marseille, à savoir "La Provence" ?
Vous qui avait fait carrière au "Provençal", du temps de Gaston Deferre, ne pensez-vous que notre presse à Marseille a perdu de son âme ?
Vous qui aviez connu des personnalités rares et affirmées, comme par exemple Jacques Bonnadier, Constant Vautravers, ou Edmée Santy, aujourd'hui disparue...
N'est-ce pas l'excés de rivalités et d'égocentrisme de ses journalistes qui a fait perdre de son lustre à "La Provence" ?
Et surtout cette alliance des deux anciens journaux au sein d'une publication qui ne fait que vivre sur l'héritage que ses prédécesseurs, dont vous faîtes partie, lui ont laissé après une vie de travail, n'est-elle pas regrettable si l'on s'en tient aux nombreux souvenirs que les Marseillais avaient du "Provençal", voire du "Méridional" ?

Emile Dupuis
joker88@ hotmail. com

Pardon pour le retard mis à répondre à votre message.
Vous me demandez ce que je pense de "La Provence", je vous avouerai que j'y pense le moins souvent possible. Pour moi, la page est tournée.
Je ne crois pas que l'état actuel de la presse à Marseille puisse être imputé aux journalistes eux-mêmes. Ils font ce qu'il peuvent, avec ce qu'on leur demande de faire et avec la place qu'on leur laisse pour le faire, entre deux palissades couvertes de publicités. Ce n'est pas de leur faute si on a remplacé les anciens patrons de presse par des chefs de rayons de supermarchés.
Jadis Marseille avait une presse d'opinion, on pouvait, selon ses affinités, choisir son camp. Aujourd'hui, on ne fait plus que de l'informatif. Il paraît que les lecteurs ne demandent pas autre chose (ce qui n'a pas l'air d'être votre cas, je m'en réjouis). On nous a fait croire, à l'époque qu'on "fusionnait" deux titres, jadis opposés pour en extraire un tout neuf et plein de modernité. En fait, on a assassiné deux journaux d'opinion au profit d'un robinet d'eau tiède. Pourquoi voudriez-vous que cela passionne les lecteurs?
Cordialement,


Question posée Le samedi 6 Fevrier 2010.

bonjour, j'ai découvert il y a quelques mois les mystères de Marseille et depuis je dévore chaque nouvelle intrigue.Ma famille étant originaire de Marseille(5ème),les péripéties de Raoul Signoret dans les rues de la ville me rappellent mon enfance quand on nous racontait le Marseille d'antan durant les promenades (toujours à pieds).Les bruits, les odeurs, tout me revient en mémoire. Mais où peut-on acheter "le Marseille de R.Signoret Merci pour tout

Agnès Dombry
ninou562@orange.fr

Hélas, ma chère Agnès, "Le Marseille de Raoul Signoret" n'est pas à vendre isolément. C'est un "geste commercial" de mon éditeur envers les fidèles de la série. On ne peut se le procurer qu'en achetant le tome 8, "Le vampire de la rue des Pistoles" avec qui il est couplé. Je suis désolé d'avoir l'air de vous "placer la marchandise" mais dans pareil cas l'auteur n'est pas libre de faire ce qu'il veut.
Bien amicalement


Question posée Le vendredi 5 Fevrier 2010.

Très Cher Monsieur Contrucci,

J'ai adoré votre dernier roman comme les précédents, c'était courru d'avance ...
J'étais en vacance dans ma famille et mon arrière grand-mêre, Marseillaise taillée dans la masse de 97 ans, m'a demandé quel était le bouquin qui me captivait commme ca ... Je lui explique qu'il s'agit des mystères de Marseille au début du siècle dernier.
Je lui lis les premiers chapitres et à un moment je suis obligé de m'arrêter car je vois qu'elle a des larmes dans les yeux.
Je lui demande ce qui lui arrive, ce à quoi elle me répond "Tu vois petit, ce Jean Contrucci il doit être magicien ... Pendant que tu lisais, je sentais les odeurs et j'entendais les bruits de mon quartier ..."
Elle est née et a vécu 85 ans dans le quartier du Panier.
Je tenais à vous remercier d'avoir apporté cette émotion à cette vieille grande dame que j'adore.
Bonne et heureuse année 2010

Nans Boissin
jmt1006@bluewin.ch

Vous n'imaginez pas combien votre message si chaleureux me touche. Quand on en reçoit de pareils, cela seul justifie d'écrire, d'avoir passé des mois devant son écran a inventer des histoires sans jamais savoir qui elles intéresseront. Et puis vient la preuve que vous me donnez avec tant d'émotion vraie.
Longue vie à votre arrière-grand-mère, que je vous demande d'embrasser pour moi, car je me rends compte que malgré mon âge... je pourrais être son fils!


Question posée Le jeudi 28 Janvier 2010.

Alors, vous trouvez que le nom d'"écrivain" est un peu trop large pour vous ? Ce sont ceux qui n'y connaissent rien qui vous appellent ainsi ? Je suis en train de lire mon premier Contrucci, "Le spectre de la rue St-Jacques", et je pense m'y connaitre assez pour avoir tout de suite reconnu en vous un véritable écrivain, un de ceux dont je sais déjà que je vais dévorer tous les autres bouquins.
Bien cordialement.
Et bonne année bien sûr.

Stéphane Potié
stephane.potie@axes-management.fr

Bon, si c'est vous qui le dites...
En tous cas, vous m'amenez à un constat réconfortant : je suis assuré de vous placer encore sept titres (huit, peut-être, si vous lisez aussi le prochain dont la sortie est prévue en septembre). Comme nos retraites sont ce qu'elles sont, voilà une bonne nouvelle!
Blague à part, je suis très touché de vos propos. C'est pour avoir le plaisir de lire de pareils messages d'amitié, venus de gens qu'on ne connaît pas et qui n'y sont pas forcés, qu'on écrit, vous savez?
Et une bonne année à vous aussi, bien sûr!


Question posée Le lundi 25 Janvier 2010.

Je pense qu'il n'est pas trop tard pour vous souhaiter une très bonne année , santé et bonheur et une très longue vie pour que vous puissiez nous régaler encore lontemps avec nos héros sympathiques, ou d'autres si ceux ci vous lassent. Amicalement

Brigitte Parente
brigitte.parente@orange.fr

Non, il n'est jamais trop tard pour se souhaiter de vivre avec le minimum d'inconvénients. D'autant qu'il reste 339 jours à tirer pour arriver jusqu'en 2011. Ça vaut donc le coup de se dire bonne année! Très amicalement et rendez-vous en septembre pour découvrir qui était "l'Inconnu du Grand Hôtel".


Question posée Le vendredi 22 Janvier 2010.

Je n'ai pas de question à vous poser M. CONTRUCCI je vous écris tout simplement pour vous présenter tous mes meilleurs voeux 2010 que cette nouvelle année vous apporte la santé, la joie et le bonheur pour vous et votre famille, qu'elle vous apporte également beaucoup d'inspiration pour continuer à nous régaler avec vos livres qui me comblent personnellement et beaucoup d'autres lecteurs sûrement. J'ai eu la joie et le privilège de vous rencontrer au festival du polar à VILLENEUVE LES AVIGNON.
Mes sincères pensées.
C. GRAS

Claire GRAS
claire.gras101@orange.fr

C'est vraiment très aimable de votre part. Soyez remerciée de votregentille attention et pour vous et les vôtres mes voeux les plus chaleureux.


Question posée Le dimanche 17 Janvier 2010.

Bonjour,

Merci pour tous ces beaux romans qui allient l'intrigue et l'histoire de Marseille sans oublier les aspects économiques et sociaux de l'époque. Cela nous rapellent l'importance du mouvement ouvrier dans cette région ainsi que ses mouvements anarchistes peu connus. Comme quoi, grâce à vous, on peut s'instruire en lisant un roman policier, c'est une belle pédagogie... Dans le secret du Dr Danglars faites vous allusion au "Danglars" du -Comte de Monte Cristo- ?
Bien cordialemnt,
M Topin

Michel Topin
mictop1@gmail.com

Vous avez raison et je suis content de m'être fait comprendre: on peut raconter une histoire policière sans pour autant oublier le contexte humain,social, politique, de l'époque où on la situe.
Quant à Danglars, vous avez vu juste: pour baptiser mon peu fréquentable docteur,je me suis souvenu du méchant qui envoie le pauvre Dantès en enfer (le Château d'If de l'époque devait s'en rapprocher.


Question posée Le vendredi 15 Janvier 2010.

bonjour,merci pour tous vos livres.cela me rappelle mon enfance.Mon père travaillait à (évêché)Il a était élever, par ces grands-parents, dans les vieux quartiers ,des affaires comme il disait, il en a raconté ,juste ce qui fallait bien sur.Il a été souvent dans les journaux.Le parlait Marseillais,j ai beaucoup de nostalgie de cette époque,c est surement pour cela que j adore vos livres,j espère qu il y aura d autres histoires avec RAOUL et son oncle,merci d avance

benedetti danielle
danychiola@free.fr

Il y aura d'autres histoires, si vous êtes bien sage. Je puis vous assurer qu'il y en aura moins une, puisqu'elle est écrite.
Cordialement


Question posée Le vendredi 15 Janvier 2010.

Çà y est, j'y ai pris gout !
Après le guet apens de Piscarotis, je suis passé aux vampires des pistoles...
je viens de recommander chaudement à la bibliothèque où je me sers, de continuer en ce sens.
Je découvre ainsi Marseille et ses environs à deux époques, la vôtre riche historiquement et celle, en particulier l'Estaque avec les romans de monsieur Maurice Gouiran, qui possède aussi un héros journaliste du côté du Rove.
Un vrai régal lui aussi,plus proche de notre époque.
Tous les deux vous savez nous tenir en haleine jusqu'à la fin.
De sacrés bons romans.
Et par dessus tout ça comme aurait dit Bécaud,
ces deux écoles sentent bon la cuisine provençale que je pratique avec plaisir par ailleurs
Alors vous comprendrez que je perçoive mieux, en pleine lecture, ces odeurs culinaires, car en fait là, je m'y reconnais
Et ça me donne des idées pour me plonger dans des plats s'apparentant largement à ceux que vous deux excellents auteurs,vous nous rappeler dans vos pages.
Pour votre lecteur qui recherche Emma Calvé, voir sur Priceminister il y en a deux à 3€50.
J'y suis allé fouiner pour retrouver vos anciens ouvrages.
Bonne année pour vous
Et aussi pour nous, grâce à vous qui allez encore nous permettre d'allier les plaisrs de la lecture et ceux de la table.
Que demander de plus pour être heureux cet été dans mon mazet des Cévennes...
Le vieux scaph'

LORIDON gérard
loridon.gerard@orange.fr

Bonne année également au Vieux Scaph' qui a posé son sac à terre et garde un appétit de vivre qui fait plaisir à voir et à goûter!
Merci de votre fidélité.


Question posée Le mardi 5 Janvier 2010.

Monsieur Contrucci, bonsoir et meilleurs vœux pour 2010

Conseillère municipale à Gréasque, déléguée à la bibliothèque, j'ai eu le plaisir de vous rencontrer en septembre dernier à Fuveau et je vous avais parlé de la fête du livre que nous organisons à Gréasque en Avril, mais la date définitive n'était pas ficxée.
C'est le samedi 24 Avril que se déroulera notre manifestation et nous serions très honorés de vous accueillir à gréasque à cette occasion.
Si vous êtes disponible à cette date et acceptez de participer à notre fête du livre, merci de me transmettre vos coordonnées afin que nous puissions vous envoyer une fiche d'inscription.
Au plaisir de vous rencontrer et de vous lire, Cordialement

Nathalie Ruiz Maurel
nathalieruizmaurel@gmail.com

Répondu par Courriel


Question posée Le dimanche 3 Janvier 2010.

Cher Monsieur CONTRUCCI

Je tiens d'abord à vous présenter mes meilleurs voeux pour cette nouvelle année, santé, bonheur et réussite pour vous et toute votre famille.

Je me rapproche de vous pour vous informer que lors du "Carré des écrivains" j'avais acheté et vous avais fait dédicacer votre dernier roman "le vampire de la rue des Pistoles" que j'ai lu et trouvé, comme les autres, très prenant.

Par contre je n'ai pas pu savoir l'épilogue de l'histoire car le livre s'arrête à la page 432 par le paragraphe:

(-Voila pourquoi la veuve Nipeau, au matin qui a suivi la découverte du cadavre devant la Charité, quand elle s'est approchée de l'attroupement devant le bordel, a entendu Honorine dire à Miette "on me)

Et votre roman s'arrête là. Je ne peux donc pas en savoir la fin.

Comme je tiens à conserver cet exemplaire dédicacé, pouvez-vous m'envoyer les coordonnées de l'imprimerie qui a édité vos ouvrages pour que je puisse réclamer la ou les pages manquantes, me les transmettre par e-mail ou de mamière manuscrite (solution soit dite en passant que je préfèrerai).

Je vous remercie par avance pour votre réponse

Bien sincèrement

Alain Baux
alain_048@hotmail.fr

Cher Monsieur,
L'incident me désole, mais il se produit parfois sans que personne ne s'en rende compte à temps. (Une autre fois, c'était le début qui manquait).
Réclamer auprès de l'imprimeur n'aboutira pas. D'autre part, l'éditeur n'y est pour rien.
Donc, voilà ce que je vous propose: vous allez vous rendre à la FNAC Centre-Bourse, puisque c'est elle qui assurait les ventes au Carré des Écrivains. Et vous vous le faites changer. Ils ne peuvent pas vous le refuser, puisque le cheval était boiteux. (Si par hasard ils rechignaient, prévenez-moi)
Cela fait, vous reprenez contact avec moi (je vous adresse un courriel par ailleurs). Je suppose que vous habitez Marseille ou les environs. Puisque vous tenez à une dédicace, nous prendrons rendez-vous et je vous la referai.
Tenez-moi au courant.
Très cordialement.


Question posée Le vendredi 1 Janvier 2010.

Tout d'abord, je vous souhaite ainsi qu'à tous les lecteurs une très bonne année 2010 pleines de joies et d'inspiration. J'ai passé le cap du nouvel an avec Raoul Signoret dans les diaboliques de Maldormé. J'ai lu pas mal de vos ouvrages et je les trouve de grande qualité qu'ils soient imaginaires ou basés sur l'histoire de Marseille, je les adore. Je souhaiterai toutefois savoir où je pourrais disposer de l'ouvrage Emma CALVE : la diva du siècle car il me semble qu'il n'est plus réédité. En auriez-vous par hasard un exemplaire que je pourrais vous acheter ? Je vous remercie simplement pour tout ce que vous êtes et que vous faites pour nous les lecteurs.

Mme Karine LITTARDI
Une marseillaise admirative.

Karine LITTARDI
kiken@club-internet.fr

Une bonne année aussi à vous même et aux vôtres. Avec la santé qui va avec, sans quoi elle ne vaudrait pas la peine d'être vécue.
Je n'ai plus d'exemplaires d'Emma Calvé à ma disposition. Mais je vous suggère d'aller faire votre marché du côté de chapitre.com ou Amazon, il me semble en avoir aperçus.
Bien cordialement.


Question posée Le dimanche 20 Decembre 2009.

Cher Monsieur,
J'ai reçu hier et lu avec un très grand intérêt votre ouvrage sur D. Piazza injustement méconnu.
J'attends avec impatience le moment où je l'offrirai à ma Mère qui nous a toujours parlé de ce cher Dominique et de cousine Eléonore. Hélas sa mauvaise vue ne lui permettra plus de bien voir les photos mais je lui lirai votre texte et cela ravivera ses souvenirs de l'heureux temps de la villa La Martine, du théâtre Silvain ou des bons moments passés au boulevard Longchamp...
Dans l'appartement de Maman un portrait de famille réunit D. Piazza, Eléonore, Mathilde enfant, mes arrière grands-parents et leurs filles (donc ma grand-mère et ma grand tante) et si j'ajoute que la photo a été prise à Barbentane... vous comprendrez mon émotion!
Précurseur dans bien des cas mais trop en avance sur son temps il n'a pas eu la notoriété qu'il méritait.
Merci pour vos livres qui nous transportent dans un Marseille disparu.
Cordialement.

Monique VERNET
monique.fluchere@wanadoo.fr

Merci de votre sympathie.
Si vous aviez la possibilité de scanner la photo de Barbentane, je la verrais avec intérêt.
Cordialement


Question posée Le mardi 15 Decembre 2009.

Cher monsieur,
Dans le cadre d'un projet documentaire TV , je cherche à entrer en contact avec une personne susceptible de m'éclairer sur l'histoire de la prison des Baumettes.(plus précisément une histoire de cette prison comme miroir de l'histoire marseillaise et nationale depuis sa construction) êtes vous l'homme de la situation ou connaissez-vous la "perle rare" ? Merci pour votre aide
Bien cordialement
AG

Arnaud Gobin
agobin@sfr.fr

Je ne suis pas exactement l'homme de la situation, ni comme locataire intermittent, ni comme historien. Mais vous devriez aller voir du côté du Musée d'Histoire de Marseille (Centre-Bourse)pour tenter de trouver une étude du lieu, soit parmi les thèses d'Histoire de la Faculté des Lettres et Sciences Humaines d'Aix. À moins que l'antenne marseillaise de l'École des Hautes Études en Sciences Sociales (Vieille Charité) puisse vous orienter. Bonne pêche et bon courage.





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