Aller aux pages 1 - 2 - 3 - 4 - 5 - 6 - 7 - 8 - 9 - 10 - 11 - 12 - 13 - 14 - 15 - 16 - 17 - 18 - 19 - 20 - 21 - 22 - 23 - 24 - 25 - 26 27 28 29 30 3132




Question posée Le mardi 29 Septembre 2009.

Bonjour Monsieur,
Honte à moi, je viens de vous découvrir...le vampire de la rue des pistoles m'a plongé dans mon enfance au Panier, fille d'un Baruteau j'ai vécu cette atmosphère entre "flics et voyous" au temps "des chemises grises" et je vais vite lire vos autres romans . Merci pour ces échappées.
Une petite correction a apporter au livret "Le Marseille de Raoul Signoret"sur le plan page 22, il y a une inversion entre la rue Malaucène et la rue sainte Elisabeth, celle ci est en fait en prolongation de la rue Bon Jésus -j'ai eu le bonheur d'habiter au 9 durant toute mon enfance -

Madeleine ROUZOTTE
mnrouzotte@laposte.net

Bravo pour votre oeil d'aigle! Et pour votre acuité visuelle. Il est vrai qu'ils appartiennent à une autochtone qui connaît son Panier sur le bout du pavé. J'avoue humblement que j'étais incapable de dénicher ce détail. Le plan reproduit est un plan d'époque, découvert aux archives municipales et donne l'image du quartier tel qu'il était. Il faut croire que même les topographes s'égaraient dans le lacis des rues du Vieux-Marseille. Amicalement.


Question posée Le mardi 29 Septembre 2009.

Je viens d'acheter votre dernier roman, je savais que j'allais de nouveau passer un bon moment..., et dès le début, j'ai encore été très étonné notamment quand j'ai vu apparaître mon patronyme, d'autant que je suis moi même médecin...
Questions: ce légiste sort-il tout droit de votre admirable imagination ou son existence est-elle le fait d'une certaine réalité?
Quant à ce patronyme, qui n'est pas si fréquent, si ce médecin est imaginaire pourquoi ce choix?

henri PEYTAVIN
henri.peytavin@free.fr

La question des patronymes donnés aux personnages d'un roman est affaire aussi mystérieuse que complexe, même pour l'auteur. Qu'est-ce qui fixe le choix? Je serais bien incapable de l'expliquer rationnellement. Quand on publie une série telle que celle-ci, on se retrouve au bout d'un certain nombre de volumes à la tête de près d'une centaine de personnages d'importance diverse à qui il a bien fallu donner une identité. En évitant qu'elle se retrouve d'un livre à l'autre attribuée à des personnages qui n'ont rien à voir entre eux, ce qui risquerait d'amener des confusions entre les différentes histoires. Ce que je fais souvent, au hasard de mes lectures, c'est de noter des noms qui me plaisent sur un carnet, soit à cause de leur sonorité, soit parce qu'ils correspondent à l'idée que je me fais de certaines professions, ou caractères humains. Ensuite, le moment venu je puise dans ma liste les patronymes qui me conviennent et que je n'ai pas encore utilisés pour "baptiser" mes créatures. Pour ce qui est de Peytavin, j'avoue ne plus me rappeler où je l'ai déniché. Peut-être dans un compte-rendu de procès, (j'en lis beaucoup pour me mettre dans l'ambiance d'une Cour d'assises) où défilent à la barre quantité de témoins, ainsi que des experts (médicaux, scientifiques, balistiques ou autres). Il se pourrait bien que le docteur Peytavin ait été un légiste venu faire son rapport d'autopsie dans une affaire criminelle et que j'aie trouvé que ce nom seyait assez bien à sa profession. Ce n'est pas vous qui allez me dire le contraire! Cordialement.


Question posée Le dimanche 27 Septembre 2009.

DERNIERE MINUTE

Le dénommé Victor Savournin est enfin démistifié. Après une longue et difficile enquête, la vérité est pleinement apparente.

En effet les effets pervers de cette étonnante affaire, ont affecté jusqu'aux exégètes qui ont traduit pour nous les multiples implications transmises par voies littéraires.

Victor Savournin n'est en aucun cas, le réel acteur de l'affaire du spectre de la rue St Jacques. Nos équipes de reporters ont pu reconstitué la nature du lien qui unissait Savournin aux héros de l'aventure.

En effet le Magicien s'appelait Victor Baruteau, et était le propre frère du commissaire de nos histoire.

Le public marseillais se souvient bien des multiples manifestation de ce magicien se faisant appeler VICBAR (VICtor BARuteau).

La supercherie était pourtant à moitié éventée. En effet l'image de cet individu, doué de facultés étonnantes, est longtemps restée gravée dans la mémoire des Marseillais, et son nom d'emprunt ne cesse de nous étonner. Certes ce monsieur n'était pas un saint mais possédait tout de même une échoppe à la rue St Savournin Comprenne qui pourra......

Avec la complicité d'un lecteur impétrant originaire Delisle.

MAURICE Pierre
pierre.maurice@numericable.fr

BON SANG! MAIS C'EST BIEN SÛR!


Question posée Le jeudi 24 Septembre 2009.

O joie ! Les nouvelles aventures de Raoul et de l'Oncle sont parues ! Une fois de plus, c'est un régal, un bonheur. Je me suis efforcée de prolonger le plaisir en le lisant lentement, un ou deux chapitres par jour pour ménager le suspense. Mais j'ai craqué et j'ai dévoré la deuxième moitié de l'histoire. Plus d'une fois je me suis dit : mais Audiard n'aurait pas fait mieux dans ses dialogues ! Ce dernier opus est peut-être mon préféré et je ne regrette pas d'avoir mis un peu "pati" chez les libraires de la Fnac qui n'avaient pas encore sorti le livre des cartons qu'ils venaient de recevoir !
Je n'ai plus qu'à attendre la suite. ça va être long...
Un dernier mot enfin sur un roman que j'ai lu cet été, Les Galères de l'Orfèvre, de JC Duchon Doris, où j'ai rencontré un capitaine de galère répondant au nom de Jean Contrucci. Mais que diable alliez vous faire dans cette galère ? Il m'a semblé par ailleurs croiser dans "les Mystères de Marseille" un D'Huchon Daurisse. Me trompe-je ?
Bon, zou, je cesse de barjaquer pour vous féliciter pour l'excellence de votre travail et vous remercier de tous ces bons moments passés à vous lire.



Gaele
gaelevaillard@sfr.fr

Me comparer au grand Audiard, c'est gentil, mais je ne sais pas si je mérite... En tous ca, mon seul souci est de donner du plaisir de lire à mes lecteurs. Si j'en crois ce que vous m'écrivez, j'ai atteint mon but. Et cela m'encourage à continuer, puisque vous êtes quelques uns (et de plus en plus nombreux) à persister à dire qu'ils aiment ça. Le prochain est fini. Il ne me reste plus qu'à laisser "reposer la pâte" un moment avant de procéder à un "toilettage", ciseaux en main. Il devrait paraître en principe à l'automne 2010. Son titre? Vous allez me le demander, alors autant vous le dire tout de suite: "L'Inconnu du Grand Hôtel". Mais en attendant laissons au "Vampire de la rue des Pistoles" le temps de prendre son vol.
Quant aux facéties auxquelles nous nous livrons, Duchon-Doris et moi, elles se poursuivent depuis des années à travers nos romans respectifs. Vous aurez remarqué que ce perfide magistrat a fait de moi un capitaine de galère infoutu d'éviter le naufrage à son navire. Mais je me vengerai.
Très amicalement
J.C


Question posée Le mardi 22 Septembre 2009.

Vous êtes le parrain du 5e festival du polar de Villeneuve les Avignon que pensez-vous de la déclaration ci-dessous :
Publié ce jour sur notre blog :

Villeneuve-lès-Avignon : Festival du polar

Hommage à Jean-Claude Izzo

Jean-Marc Roubaud en pointe ! On croit rêver !!!!

Du 02 au 04 octobre le 5e festival du polar se tient à Villeneuve et rend hommage à la ville de Marseille et particulièrement à Jean-Claude Izzo à l'occasion du 10e anniversaire de sa mort.

On ne peut que se féliciter que ce festival honore cet écrivain qui est notamment (mais pas seulement) le père du personnage de polar Fabio Montale.

Là où nous rions jaune c'est à la vue de la photo (parue dans Midi-Libre) où Jean-Marc Roubaud coiffé de lunettes noires plastronne au milieu des organisateurs de ce salon. Que les responsables de ce festival rendent un hommage à Izzo ce n'est que justice et c'est grandement mérité mais Jean-Marc Roubaud paradant au centre de cet hommage : on en tombe de sa chaise !

Qui était Jean-Claude Izzo ? Rebelle, écorché vif, issu d'un milieu populaire, proche des gens, discret, tolérant, engagé à gauche (il fut longtemps militant et journaliste communiste), il fut tout le contraire d’un député-maire notable, conservateur, opportuniste et membre d'une majorité qui traque les sans-papier (comme dans « le soleil des mourants », qui casse les acquis sociaux, qui criminalise les actes de résistances comme peut l'être un Jean-Marc Roubaud.

Fabio Montale le double littéraire de Jean-Claude Izzo flic au passé trouble, au grand coeur et affranchi de sa hiérarchie n'aurait pas aimé comme ministre de l’intérieur un « Sarkozy » ou un « Hortefeux » amis de monsieur Roubaud !

L'univers d'Izzo ce n'est pas le monde de monsieur Roubaud c'est même tout le contraire !

La Marseille d'Izzo n'est pas non plus celle d'un Jean-Claude Gaudin un autre ami de Roubaud.

L'humanisme d'Izzo est à des années lumières de l'idéologie de l'UMP.

On sait bien qu'à l'UMP on s'est fait une spécialité dans la tentative de récupération politique (Jaurès, Guy Moquet...) maintenant on récupère aussi les écrivains ?

Enfin quant au « repas typiquement marseillais avec Fabio Montale » on espère qu'il ne sera pas un dîner mondain.

Cette initiative renvoie directement à la publication du roman « Goût Tomate » que nous avons publié sur notre blog et qui se voulait un hommage à Jean-Claude Izzo et au polar méditerranéen.

On encourage les prochains visiteurs du festival du polar de Villeneuve à le lire avant d'aller célébrer l'hommage à Marseille et à Izzo !


consultez le blog de la section:
http://vdr.pcf30.over-blog.com/

yvonretourner
yvonretourner@gmail.fr

Ce que j'en pense? Que je suis le parrain des auteurs présents au 5è festival du polar de Villeneuve-lès-Avignon et non pas celui de M. Jean-Marc Roubaud dont je ne connaissais ni le nom ni l'existence avant la conférence de presse. Le titre dont on m'affuble est purement honorifique, ne rapporte rien et revêt un caractère tout à fait éphémère. Je ne me sens récupéré par personne, sinon par les quelque cinquante auteurs qui vont être mes "filleuls" d'un jour.
Je pense également que lorsqu'on est invité chez les gens, on a le devoir d'observer une certaine réserve et ne pas se mêler de ce qui ne vous regarde pas. Quoiqu'on en pense personnellement. C'est une question d'éducation.
Cela dit, j'ai eu la chance de mériter l'amitié et l'estime confraternelle de Jean-Claude Izzo bien avant qu'il devienne une icône et je suis ravi que son ombre bienveillante plane sur la manifestation.


Question posée Le samedi 19 Septembre 2009.

Comme prévu j'ai déjà fini le dernier épisode que j'ai adoré évidemment. Vivement l'année prochaine pour suivre les nouvelles aventures de nos sympathiques héros auxquels nous sommes tous très attachés ! à bientôt

Brigitte Parente
brigitte.parente@orange.fr

Ce sont moins mes romans qui doivent être adorés, que des lectrices telles qui vous qui êtes adorables de leur être aussi fidèles. Rendez-vous donc à l'année prochaine dans une tout autre ambiance, vous verrez...
Très amicalement
J.C.


Question posée Le lundi 14 Septembre 2009.

Je viens d'apprendre la sortie de votre prochain tome des aventures de Raoul Signoret. Cela signifie également pour moi, la sortie de l'avant dernier en livre de poche (que je peux ainsi relire avec grand plaisir car ce format permet d'emporter et de lire partout, cette passionnante série policière. J'aimerais savoir, si le livret illustré "le Marseille de Raoul Signoret" joint à ce dernier épisode sera disponible à la vente. Grâce à votre héros je découvre ou re-découvre le Marseille de l'époque et je vous en remercie.

Koutcheriavenko Nadine
nadine.venko@orange.fr

Chère Nadine,
Il est prévu en effet une prochaine sortie en poche du "Guet-apens de Piscatoris". Ça ne devrait pas tarder.
Livret qui accompagne la sortie du "Vampire de la rue des Pistoles" n'est, hélas pour vous, disponible qu'avec le roman, puisqu'il est offert avec lui. Il n'est donc pas question de vente. La présentation est faite sous blister contenant à la fois le roman et le supplément illustré, les deux étant indissociables. C'est un cadeau fait aux "accros" de la série et, comme vous le savez, un cadeau n'a pas de prix (!).
Merci de votre fidélité.
J.C.


Question posée Le samedi 5 Septembre 2009.

MOI JE SUIS UNE FILLE DU NORD (DEUX SEVRES), AMOUREUSE DE RAOUL SIGNORET ET DE SON ONCLE EUGENE BARUTEAU, J'AI L'IMPRESSION DE VIVRE DANS LE MARSEILLE AVEC SES FILLES DE JOIE, SES MAQUEREAUX ET LA HAINE DES GENS BIEN PENSANT ENVERS LA GUEUSE.
A VRAI DIRE NOUS SOMMES ENCORE DANS CE MONDE DE FIN DU 19EME. MERCI POUR CE ROULETABILLE PLUS ENTRAINANT, AVEC UNE VRAI CONSCIENCE POLITIQUE.
DONNEZ NOUS ENCORE DU PLAISIR

FOUILLET Véronique
fouillet.veroniqueetthierry@orange.fr

Vous réclamez la suite avec tant de gentillesse et d'enthousiasme, chère Véronique (et Thierry?) que je serais bien malpoli de vous la refuser. En tous cas, je suis particulièrement touché de savoir que mes petites créatures de papier s'exportent si bien vers les gens du Nord (comme vous dites). Pour répondre à votre voeu, savez si vous ne le savez pas encore, sachez que le cru 2009 est paru et qu'il attend des lecteurs de votre qualité. Et si vous êtes bien sages, il y aura encore de belles histoires pour vous. Très cordialement.


Question posée Le samedi 5 Septembre 2009.

Bonjour,
Secrétaire Général du Comité du Vieux-Marseille que vous connaissez bien, nous aimerions avoir votre collaboration lors du centenaire du Comité en 2011. Vous pourriez nous écrire un texte, une nouvelle, ou inclure un passage nous concernant dans un de vos prochains ouvrages (nous sommes au 21 Bd Longchamp). Ce serait un texte de fiction (policier, énigme, etc.)comme vous faites
dans vos Mystères de Marseille.
Le Président Georges Aillaud et nos membres seraient heureux de vous avoir comme partenaire
pour les manifestations de ce centenaire.
Qu'en pensez-vous ? Etes-vous d'accord et à quelles conditions ?
Avec mes cordiales salutations.

Claude LANET
claude.lanet@wanadoo.fr

Répondu par courriel


Question posée Le jeudi 3 Septembre 2009.

bonjour,
je dois être probablement le seul de vos lecteur, également amateur de bandes déssinées (nous avons un festival chaque année à Ajaccio)à oser établir un petit parallèle avec un autre duo célèbre composé d'un reporter courageux et d'un grand personnage colérique, bourru, et sensible...
merci pour les grands moments d'évasion que procurent vos ouvrages

Alain Le Dantec
alain.le-dantec@wanadoo.fr

Il y a en effet un certain cousinage avec ces amis communs à qui vous faites allusion et qui ont aussi bercé ma jeunesse. Mais vous savez, le principe du "couple" ou du duo est vieux comme le spectacle ou le conte lui même. Je suis à peu près certain qu'au paléolithique déjà, sous les plafonds peints des grottes une grosse brute colérique et un petit dégourdi malin distrayaient leurs congénères en mimant leurs aventures devant un feu de bois. L'un met l'autre en valeur et l'un ne va pas sans l'autre. C'est vrai au cirque pour le clown blanc et l'auguste, pour certain reporter et certain capitaine auquel vous faites allusion, pour d'Artagnan et Planchet, pour Juve et Fantomas,pour Holmes et Watson, pour Laurel et Hardy, tous fonctionnent selon le même système et le lecteur-spectateur ne les sépare plus. On pourrait multiplier les exemples.
Merci de votre sympathie


Question posée Le samedi 15 Aout 2009.

je viens de lire 3 de vos livres un grand merci pendant mes vacances vous m'avez permis de me reconcilier avec ma prope ville que j'ai quitté il y a 26 ans des lundi j'irai chez le libraire pour lire la suite combien de livres sur l'oncle policier et son neuveu journaliste raoul Signoret merci encore

Patricia Barbier
barbier72@neuf.fr

Je suis heureux d'avoir participé à la réussite de vos vacances. Si vous en avez lu trois, il vous en reste cinq à découvrir, le tome 8 ( Le vampire de la rue des Pistoles) paraissant début septembre 2009.
Amicalement


Question posée Le lundi 10 Aout 2009.

Bonjour,
j'aurais voulu savoir si, au cours de vos multiples recherches et expériences, vous avez croisé le nom mon arrière-grand-père, Eugène Lainé, commerçant ayant créé la grande chemiserie située à l'époque (début 1900) place Sadi Carnot.
Je fais des recherches sur cet homme étonnant et suis à la recherche de toutes les pistes et tous les renseignements que je pourrai trouver.
D'avance je vous remercie de votre réponse.
Bonne fin de journée
Isabelle Armand-Carcelli

ARMAND CARCELLI
izabl_muz@yahoo.fr

Bien sûr, en tant que Marseillais pur sucre je n'ignore pas le nom de Lainé et dans ma jeunesse j'ai porté des chemises à sa griffe, car c'était l'un des commerçants parmi les plus connus de Marseille. Je n'ai pas de documents particuliers sur votre aïeul, mais vous pourriez consulter l'ouvrage qu'Adrien Blès a consacré à La Canebière (Ed. Laffitte). Il y a un encadré amusant au sujet d'Eugène Lainé, qui avait un sens très moderne de la publicité. Profitant de la venue à Marseille d'une escadre russe (c'était dans le cadre de l'alliance contre l'Allemagne,donc avant la Grande Guerre), Eugène Lainé avait fait distribuer des fanions-réclame que les braves marins prirent pour un emblème officiel français et qu'ils fixèrent aussitôt à leurs fusils. Si bien que la marine du Tsar défila dans les rues de Marseille avec un calicot disant à peu-près " achetez vos chemises chez Lainé"! Il y a une photo pour célébrer l'événement.
Bien à vous.
J.C.


Question posée Le mercredi 1 Juillet 2009.

Cher Monsieur. Je fais partie des 11 personnes au monde s'appelant Morançon. Nous avons été étonnés de voir le "héros" de l'un de vos livres porter notre nom. J'ai été personnellement flattée de lire "Monsieur Morançon votre fille est exceptionnellement douée" !!! (malheureusement si le cousin de mon père Guy Morançon est un excellent musicien, ce n'est pas mon cas)
Par simple curiosité, nous aimerions tous, savoir comment vous avez choisi ce nom.
A part ça au risque de perturber votre ego, sachez que c'est toujours un plaisir de vous lire. Une anecdote pour vous qui aimez Marseille : le grand-père de ma grand-mère (Brun épouse Morançon) M. Grosson a été le dernier gardien de la prison du chateau d'if. Ensuite,il l'a fait visiter, et nous avons toujours entendu dire qu'il était ventriloque et faisait parler l'abbé Faria ou le comte de Monte-Cristo. Un article du New York Times de 1894 annoce sa mort et raconte cette histoire ainsi que sa rencontre avec Alexandre Dumas.
Bien amicalement.

Monique Morançon
morancon@orange.fr

Chère Madame,
Je suis surpris d'apprendre que vous êtes si peu nombreux à porter ce nom que je croyais très répandu. C'est pour cette raison (entre autres) que je l'avais choisi. Il "sonne" bien et il est facile à retenir. Le choix de l'identité des personnages est souvent un mystère, y compris pour l'auteur. Pourquoi Morançon, plus qu'un autre, ce jour-là? Je ne saurais le dire. À moins qu'inconciemment me soit revenu le patronyme de Guy Morançon (votre cousin, donc) que j'ai entendu plusieurs fois jouer de l'orgue en l'église des Réformés de Marseille. Il est beaucoup question de musique dans le roman en question. Ou peut-être parce que nom me semblait correspondre à ce que je savais du personnage. À moins de rechercher un effet particulier, je choisis des noms qui puissent devenir rapidement familiers au lecteur. Morançon, c'était facile à prononcer et à mémoriser. Souvent, je prends les noms dans l'annuaire... ou sur les monuments aux morts. Mais il n'y a vraiment pas de règle d'usage. Il m'arrive même quelques fois de changer l'identité du personnage en cours d'écriture. Parce qu'ayant pris sa consistance, un nom lui convient mieux qu'un autre.
Voilà. Vous voyez, il n'y a ni recette, ni mystère. J'espère avoir satisfait votre légitime curiosité. Bien cordialement.


Question posée Le lundi 29 Juin 2009.

Cher Monsieur,
sur le point de finir de commettre un roman historique dont une partie se déroule dans notre bonne ville au cours des années 1530 et quelques, je me guide sur des plans et documents d'époque pour faire évoluer mes personnages au sein de la ville et de la Grande Histoire assez riche elle-même en évènements. tenant absolument à me tenir au plus près possible de la réalité historique, j'ai constaté la présence d'un bâtiment nommé "La Loge" (cf. rue de la loge) en lieu ey place de l'actuelle mairie. Je me permets de faire appel à votre grande sagesse pour me dire si et où je pourrais obtenir des informations complémentaires concernant ce bâtiment. Je n'aime pas faire allusion à une chose pour laquelle je ne peux fournir d'explication.
vous remerciant de votre amabilité, croyez, Monsieur, en mes respectueuses salutations.
M. Gallois

Michel Gallois
michel-gallois@voila.fr

Cher Monsieur,
Bienvenue en notre bonne ville, fût-ce par le biais de l'Histoire. La rue de la Loge, qui passe derrière le bâtiment de l'Hôtel de Ville (et même à travers, grâce à un passage surmonté d'une arche qui relie les deux corps de bâtiment de la mairie), doit son nom à la présence au rez-de chaussée de l'ancien hôtel de ville (jusqu'en 1655, année où fut édifié celui que nous avons conservé jusqu'à ce jour) d'une grande salle où se réunissaient marchands et négociants pour leur affaires (et leur prospérité). Le nom vient de l'italien Loggia. Il remonte au temps où Marseille, appartenait à la maison d'Anjou (Charles 1er, comte de Provence était roi des Deux-Siciles, dont Naples faisait partie). Les marchands marseillais installés à Naples avaient reçu de Charles d'Anjou un bâtiment avec un terrain pour se réunir. A Naples,, on le désignait comme La Loggia. Elle était placée sous l'autorité d'un consul nommé chaque année par le conseil municipal de Marseille. C'était en quelque sorte une ambassade commerciale officieuse de la ville. Quand la maison d'Anjou perdit son royaume italien au profit de celle d'Aragon, les marchands installés à Naples se replièrent sur Marseille et s'installèrent après 1460 dans la salle du rez-de-chaussée de l'ancien Hôtel de ville. Quand le nouveau fut construit, ils y demeurèrent.La salle reprit le nom de la Loge, qui fut ensuite donné en 1673 à la rue qui y conduisait.Voilà pourquoi vous en avez trouvé mention


Question posée Le vendredi 19 Juin 2009.

Bonjour,

Ma tante m'a conseillé vos livres, c'est ainsi que j'ai eu l'immense plaisir de lire " Le secret du Docteur Danglars ", mais je vois que j'ai du retard à rattraper avec la sortie, bientôt, du tome 8. Je précise que la médiathèque de ma ville n'avait que le tome 3 en magasin.
Toutefois, étant chroniqueuse sur une webradio IS75, je consacrerai une de mes émissions littéraires " Du côté de chez SAM " sur le fameux tome 3 qui sera diffusée le mercredi 24 à 8h15, 11h15 et 23h30, le vendredi 26 à 8h45, le samedi 27 à 10h15 et 17h50 et le dimanche 28 juin 2009 à 19h45 sur IS75.
http://is75-radio.little-lily.fr/

A réécouter en podcast ici :
http://is75-radio.little-lily.fr/modules/pages/index.php?pagenum=20

Merci à vous et bonne continuation,

SAM

SAM
sam2505@sfr.fr

Bonjour, Sam
Madame votre tante est d'excellent conseil. Vous devriez toujours vous fier à elle. C'est très aimable à vous de causer dans le poste à mon sujet. Je vais écouter ça selon vos conseils sur radio http://is75-radio.little-lily, car je suppose qu'on ne peut pas la capter en direct depuis mes latitudes. Je ne sais pas où vous nichez. Est-ce que le 75 de is75 est une indication? Je ne sais pas non plus s'il faut vous dire cher SAM(uel) ou chère SAM(antha)ou tout autre prénom dont ces trois lettres sont le diminutif. En tous cas, vous êtes bien sympathique et là, l'adjectif s'accorde à tous les genres. Merci pour tout et bonnes lectures futures.


Question posée Le samedi 13 Juin 2009.

Je vous retrouve sur votre site et suis heureux d'avoir la possibilité de vous rencontrer.
Je suis Jean-Jacques Simon, j'ai été le président de l'Office Central des Bibliothèques OCB durant 2 fois 3 ans : de 1994 à 2000.
Acceptez-vous une reprise de contact ?

Jean-Jacques SIMON
j.simon@live.fr

Bien sûr! Je vous communiquerai des moyens moins publics de le faire


Question posée Le vendredi 12 Juin 2009.

L'affaire décrite dans "La fAUTE de L'abbé RICHAUD" est-elle inspirée d'un fait divers réel ? ... et en particulier le fameux "le miracle" ?
Si oui, j'aimerais en savoir plus, (sources par ex.)
Merci pour vos livres qui nous balladent dans Marseille et ses époques.
Joël DECHAUME

Joël DECHAUME - 13008
joel.dechaume@neuf.fr

Il m'arrive (ce n'est pas systématique) de m'inspirer de personnages réels pour inventer mes intrigues. Dans "La faute de l'abbé Richaud", je pourrais répondre pour parodier un illustre écrivain "tout est vrai, puisque je l'ai inventé". Inventé? L'histoire, les péripéties, des lieux et les personnages. Mais le sulfureux abbé Richaud doit une partie de sa personnalité à l'abbé Bruneau, qui finit sur la guillotine pour avoir assassiné son curé qui l'avait surpris en train de voler de l'argent dans un coffre de la paroisse pour éponger des dettes de jeu et puis aussi sans doute sa maîtresse, une fleuriste, pour les mêmes raisons. Ce parcours atypique pour un prêtre catholique en exercice m'a inspiré pour mon histoire, mais les péripéties relèvent du domaine purement romanesque.
Quant à l'affaire du miracle, c'est après avoir appris que la sangsue secrétait une substance qui empêche le sang de coaguler que j'ai eu l'idée de "faire saigner " un tableau "miraculeux" par le procédé qui est décrit dans le roman. *Amicalement


Question posée Le dimanche 7 Juin 2009.

Cher monsieur,
pour faire suite à votre aimable réponse à ma question de 17/04/2009 dont je réponds avec un peu de retard.

J'ai acheté votre ouvrage sur un site de vente aux enchères bien célèbre et pour la l'article qui concerne la serrure de Marseille.
Je regrette que l'on ne trouve pas des nouveaux renseignements et parfois contient des erreurs qui sont le faits de recopies de données erronées.
Pour avoir une réalité de ce fameux concours qui s'est déroulé dans cette ville, je vous conseille de lire l'article de Mr Laurent Bastard paru dans le Livre " Fragments d'histoire du Compagnonnage" N° 9, pages 31 à 74, paru en 2007.
Mes salutations distinguées


+++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++
Cher monsieur
Si mes souvenirs sont bons j'avais dû trouver cette histoire dans un livre consacré aux Compagnons du Devoir. Mais il y a bien longtemps de cela. Je ne l'ai plus et je ne saurais vous indiquer l'auteur et l'éditeur. Cependant avec internet vous devriez pouvoir vous y retrouver.
A l'occasion auriez-vous l'obligeance de me dire où vous avez trouvé le tome 4 de mes chroniques? L'éditeur prétend qu'il est épuisé (c'est ce qu'il répond à ceux qui l'appellent) pour ne pas se donner la peine de le vendre, mais j'ai l'impression qu'un "circuit parallèle" continue à écouler mes livres sans que je n'en susse rien. Votre réponse m'obligerait.
Amicalement.

Leroitelet
rc.teulet@laposte.net



Question posée Le samedi 6 Juin 2009.

Roger et Edith m'ont fait part de votre remarque. C'est vrai, je le confasse, mea culpa, mea culpa, mea maxima culpa, j'aurai aimé que vous soyez doté comme G.J Arnaud d'une fonction endocrine supplèmentaire. Le samedi 05/09,j'irai à la librairie de Provence dès l'ouverture bondir sur le vampire de la rue des pistoles. Le weekend est déjà réservé à sa lecture, Jean-Claude lui se plongera dans le livret illustré sur le Marseille de la Belle époque. En attendant, permettez-nous avec quelques heures d'avance, de vous souhaiter un bon anniversaire. A bientôt, peut-être en février au festival du polar de Sorgues.

Marie-Hélène Ortis-Martin
mariehelene.ortis@dbmail.com

Voulez-vous me faire plaisir? Pensez que je mets des mois à l'écrire, alors S.V.P. ne l'avalez pas en un week end. Ou alors, lisez-le plusieurs fois de suite!
Quant au festival du polar de Sorgues, ma présence dépendra avant tout du désir des organisateurs.
En vive sympathie


Question posée Le samedi 6 Juin 2009.

Bonjour, je vois avec plaisir que le prochain tome paraîtra en septembre, plus que 3 mois à patienter. Aurai je à nouveau le plaisir de vous voir à Fuveau ? Ou au salon du livre de la Fête de l'Humanité ? Si oui, je patienterai sinon j'irai dès sa parution l'acheter chez mon libraire préféré.

Brigitte Parente
brigitte.parente@orange.fr

Bonjour,
En effet, si aucun contretemps ne vient gripper la machine, la sortie de "Le vampire de la rue des Pistoles" devrait coïncider avec le salon de Fuveau qui se tient durant le premier week end de septembre. Comme vous dites, plus que trois mois à patienter. Mais telle que je vous connais, dès que vous l'aurez en main, vous allez aussitôt me dire "à quand le prochain?"
Très amicalement





Aller aux pages 1 - 2 - 3 - 4 - 5 - 6 - 7 - 8 - 9 - 10 - 11 - 12 - 13 - 14 - 15 - 16 - 17 - 18 - 19 - 20 - 21 - 22 - 23 - 24 - 25 - 26 27 28 29 30 3132