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Question posée Le samedi 22 Octobre 2011.

Un article sur" télé z"(semaine du 29 10 au 4 11) signale une probable fin des aventures de Raoul Signoret(ce qui serait extrêmement dommage),car je pense que de nombreux lecteurs de feuilletons(de l'époque,la belle) comme moi adorent se replonger dans une période qu'ils n'ont pas connue,pour une découverte ou une redécouverte du Marseille d'autrefois,avec l'envie sur les traces des héros de parcourir ces sites disparus ou le plan à la main les retrouver.Merci pour ces moments d'évasion,au plaisir de vous lire...

Le Magourou
arol4476@wanadoo.fr

En dix ans, sans relever la tête, j'ai enchaîné dix épisodes des Nouveaux Mystères de Marseille, ce qui représente 4000 pages publiées. J'éprouve le besoin de prendre un peu de recul en faisant une pause. Je ne dis pas que je n'écrirai plus jamais d'épisode nouveau, mais pour l'instant je voudrais "recharger les accus" afin que vous ne me disiez pas un jour que "c'était mieux avant".
En tous cas, merci de m'avoir accompagné avec fidélité. Il est possible qu'on se retrouve avec un autre projet et d'autres héros. À un jour prochain, donc.


Question posée Le jeudi 20 Octobre 2011.

Cher monsieur , j'ai pris comme d'habitude un vif plaisir à lire votre dernier " Mystère de Marseille " .Toutefois , pour continuer à mériter mon étiquette de " pinailleur du tramway " je vous indique que le village d'Allauch a été atteint par le tram électrique n°11 à partir de la Croix-Rouge (page 153 ). Bien à vous .

albert-jean morazzani
ajsmorazzani@netcourrier.com

Cher "pinailleur du tramway" (c'est vous qui le dites) je vous suggère d'adresser une véhémente protestation au rédacteur en chef du Petit Provençal de juin 1908 qui laisse écrire n'importe quoi dans son journal où j'ai pêché l'information. Pour le contact, passez par une table tournante (on en trouve d'occasion sur internet). Le mode d'emploi est détaillé dans le tome 5 des "Nouveaux Mystères de Marseille" (Le spectre de la rue Saint-Jacques". Très amicalement.


Question posée Le dimanche 2 Octobre 2011.

Cher Monsieur Contrucci,

Merci de votre réponse rapide.

Je pense que vos lecteurs d'un certain âge (comme moi), peu doués pour les maths (comme vous et moi), pourront y retrouver quelques souvenirs de leur scolarité primaire, quand leurs maîtres d'école essayaient de leur inculquer les bases de la géométrie...

Question : avez-vous commencé à travailler sur l'épisode suivant des Mystères ?

Cordialement,

PdP

Pierre de Pastor
PdP47@AOL.com

Non, pour la première fois depuis dix ans, je n'ai pas commencé à travailler sur un hypothétique épisode suivant. Je m'accorde une pause après 4000 pages publiées "en continu". J'espère que vous me l'accorderez aussi. J'ai le respect des lecteurs qui, comme vous sont des fidèles et je ne voudrais pas, sous prétexte de maintenir une cadence que personne n'exige, marquer une "baisse de forme" préjudiciable à la qualité de la série. J'éprouve le besoin de souffler un peu car je ne voudrais pas que vous me fassiez savoir un jour que "ça n'est plus ça", ou "que c'était mieux avant". Cela dit, la fin de La somnambule de la Villa aux Loups demeure suffisamment "ouverte" pour qu'il y ait une possible suite. La porte n'est pas fermée.
En vous remerciant de votre attention et de votre fidélité.


Question posée Le vendredi 30 Septembre 2011.

Bonjour, Monsieur Contrucci,

Je vais terminer comme chaque fois, avec un plaisir encore renouvelé, la lecture du dernier ouvrage de votre série sur les mystères de Marseille.

Etes-vous bien sûr de la validité absolue de la démonstration présentée à la page 372 de "La somnambule..." ?
La formule πr2 (2 en exposant) est celle de la superficie du cercle (du ballon) alors que celle de la circonférence est 2πr...

Exemple :
. Pierre en connaît un rayon = 5
. son savoir ~~ 78 (πr2)
. son "interface d'ignorance" ~~ 31 (2πr)

. Jean est beaucoup plus savant : son rayon = 10
. son savoir ~~ 314 (πr2)
. son "interface d'ignorance" ~~ 63 (2πr)

L'argumentation présentée dans le livre reste cependant tout à fait convaincante !

Bien cordialement,

Pierre de Pastor



Pierre de Pastor
PdP47@AOL.com

Si l'argumentation est convainquante, ça reste pour moi l'essentiel. (J'ai toujours été fâché avec tout ce qui peut ressembler à une démonstration mathématique). Si la superficie du cercle est plus grande, sa circonférence l'est aussi, donc le nombre de points de contact avec l'inconnu également. C'est seulement ce que je voulais dire et vous m'apportez la preuve que je me suis fait comprendre. Merci de votre aide. Cordialement

Ps: Je me demande ce que peuvent déduire de cet échange mystérieux ceux qui n'ont pas encore lu le livre!...


Question posée Le jeudi 29 Septembre 2011.

si tu ne viens pas à Contrucci ..
Annecdote, mon ex épouse , fort économe m'offree en soldes un ouvrage France loisirs, le refroisssement de nos relations ne m'autorise pas un neuf de chez Lattes.
Ca s'apelle " l'énigme de la brancarde " , je lis " nouveaux mystères de Marseille " Or, " les mystères de Marseille " c'est zola !! mon idole de toujours .
Un nouveau Zola ?? voyons ce que ce péquin a dans le ventre .
C'est charmant, c'est frais , bien écrit, vocabulaire riche, sympathique mais là , patatras , page 262...... je passe à la suivante, c'est encore la 262 , puis la suivante, toujours la même .
Ce Contrucci serait-il farceur ou en mal d'inspiration ?? et non ... défaut de brochage , problème d'imprimerie.
Je fonce dans cette célèbre librairie de Chatelet qui commence par F et se termine par NAC et j'achète " la Blancarde " en livre de poche .
Depuis Signoret ne me quitte plus , je lis tous ses opus, j'adore sont tonton Baruteau ..
En un mot je suis fan, comme quoi le désamour peut mener à tout !!!!

JULIEN CHAL
julienchal2@yahoo.fr

Voilà qui me rassure. À l'heure de la retraite Raoul Signoret va pouvoir se reconvertir en conseiller conjugal ou en consolateur de coeurs esseulés.


Question posée Le lundi 26 Septembre 2011.

Cher Monsieur,

Ma femme (née à Marseille mais exilée à Paris depuis plus de trente-cinq ans) et moi-même (originaire des brumes du Nord, mais un peu provençal de coeur) venons de terminer votre dernier livre, que nous avons lu goulûment, comme toujours, et avec infiniment de plaisir. Puis-je vous soumettre toutefois trois observations :
1) p. 91, vous insistez sur le fait que Raoul Signoret n'a connaissance de la lettre d'Henri que par le truchement d'une copie. Dans ces conditions, comment peut-il faire une expertise de ce qu'on appelle les "caractères externes" du document (écriture, nature du support), accessibles seulement à travers l'original ou un fac-similé ? Cette copie serait-elle une phototypie ? Vous évoquez ce procédé de duplication beaucoup plus loin dans le livre, mais pas à propos de l'exemplaire laissé entre les mains de Mme Champsaur. Quand votre livre paraîtra dans un nouveau tirage ou en format de poche, pourrez-vous aplanir cette difficulté ?
2)Il y a une curieuse rupture chronologique quand on passe du chapitre 16 (les héros à Paris)au chapitre 17 (Raoul à Barbentane). Ce n'est que plus loin (chapitre 19, p. 339) que l'on apprend que nos trois amis sont bien revenus de la capitale. Faut-il penser que vous avez hésité, en composant le livre, sur la place à donner au chapitre 17 ?
3)p. 308, avant dernière ligne: j'ai l'impression qu'il faut lire Paul Chabert et non Henri Chabert.

J'espère que vous voudrez bien considérer ces petites remarques sans entrer dans une colère digne d'Eugène Baruteau. Nous n'attendons qu'une chose, c'est de pouvoir nous régaler d'une prochaine aventure de Raoul Signoret, même si cette lecture laisse mon épouse avec un mal du pays carabiné (et contagieux !) que j'ai bien du mal à soigner.
Merci encore. Au plaisir de vous lire !
Laurent

Laurent Morelle
morelle.laurent@wanadoo.fr

Cher Monsieur, Non seulement vos remarques ne m'offusquent pas, mais au contraire, je dirai qu'elle m'honorent dans la mesure où elles révèlent une lecture très attentive d'un texte dont vous faites une analyse subtile comme s'il s'agissait de l'oeuvre d'un écrivain considérable. Je me contente d'être un auteur qui prend du plaisir à raconter des histoires et tente de le faire partager à ses lecteurs.
Il est bien entendu que la lettre dont Raoul Signoret prend connaissance ne peut être qu'une phototypie, (j'aurais dû, sans doute, être plus explicite) procédé alors largement répandu à l'époque. La police y recourrait pour communiquer des documents manuscrits à la Justice ou aux journalistes. Mais à ce stade de l'enquête, ce sont moins ce que vous appelez les "caractères externes" de la lettre (dont il n'est pas expert) que son contenu qui compte au yeux de Raoul Signoret.
Quant à ce que vous appelez une "rupture chronologique" entre le voyage à Paris et celui à Barbentane, comme je prends en général mon lecteur pour quelqu'un d'intelligent, je me suis dit qu'il déduirait tout seul que nos héros ne se sont pas installés définitivement à Paris - il est bien précisé qu'il s'agit d'une brève escapade à l'occasion de la décoration d'Eugène Baruteau par la direction de la police nationale - et qu'ils en étaient revenus. Comme j'avais largement décrit le voyage Marseille-Paris à bord du PLM, je ne me suis pas cru obligé de raconter celui du retour qui aurait inutilement rallongé le texte sans apporter de nouveautés par rapports aux explications données par le Docteur Fourcade à l'aller.
Enfin, tout à fait d'accord avec vous pour la confusion de prénom, nous rectifierons.
Quant à votre épouse, pour soulager son mal du pays, rappelez-lui le mot de Pagnol dans la préface de Marius:" l'absence souvent nous révèle nos amours".
Très cordialement,


Question posée Le vendredi 23 Septembre 2011.

Monsieur,
Je viens d'apprendre que vous ne serez peut-être pas présent aux terrasses du polard à Septèmes les Vallons dimanche 25 septembre. Pouvez-vous m'indiquer à quel endroit j'aurai le plaisir de me faire dédicader votre dernier livre.
Merci d'avance.

Joëlle
gonzalesjoelle@hotmail.fr

Bonjour Joëlle,
Les prochaines dates sont celles des Littorales - qui se tiennent sur le Cours d'Estienne d'Orves à Marseille les 15 et 16 octobre 2011 (je serai présent l'après-midi seulement); ainsi que le Carré des Écrivains, qui se tient au Centre-Bourse de Marseille le 19 novembre 2011 après-midi. Cordialement.


Question posée Le vendredi 23 Septembre 2011.

Cher Monsieur Contrucci,
La démarche que j'entreprends auprès de vous n'est pas une question, mais des remerciements personnels. Mon beau frère, Patrick Browne, m' transmis le document que vous avez rédigé à la mémoire de sa tante "Eliane Browne Bartroli ep. Plewmann". Grâce à vos recherches, cette "femme de l'ombre" revient dans "la lumière du souvenir".
Faisant partie de l'Union Nationale des Parachutistes, section Isère, et membre de la Comission Départementale des Anciens Combattants et de la Mémoire de la Nation, je suis étonné que la plaque déposée à la mémoire de "cette héroine" n'est pas fait l'objet d'une cérémonie à laquelle les membres de sa famille n'aient pas été conviés. Cela leur aurait permis de vivre et partager ces moments intenses que l'on ressent lors des cérémonies commémoratives.
Ce serait pour moi un grand plaisir de vous contacter ou de vous rencontrer pour réparer l'oubli qui a été fait à la mémoire d'Eliane Browne Bartroli.
Très cordialement.

Gilles DALLAPORTA
gilldalla@aol.com

répondu par courriel


Question posée Le mardi 20 Septembre 2011.

Bonjour,
Dans votre livre "Le spectre de la rue st Jacques",
vous mentionnez un petit village espagnol au sud de Tarragone "Ametla del Mare".
Serait ce un pur hasard ou vous connaissez bien ce petit port que je fréquente régulièrement ?
Merci et bonne journée.
Cordialement,

Daniel frèmery
d&aniel.fremery@libertysurf.fr

Bonjour, non il ne s'agit pas d'un hasard. Au moment où je rédigeais ce roman, je revenais d'un séjour dans la région de Tarragona et un déjeuner fort agréable auprès du port à l'Ametlla de Mar, m'a donné l'idée d'y "exiler" discrètement un des personnages du Spectre de la rue Saint-Jacques. Vous voyez qu'il n'y a pas de mystère ou de hasard à ce choix, mais seulement l'utilisation d'une péripétie personnelle dans une fiction.
Très cordialement


Question posée Le dimanche 11 Septembre 2011.

bonjour,né en 1958 a st marcel passionné par l'histoire de nos colines et agréablement surpris par votre livre,pourriez vous me dire s'il existe des ouvrages qui puissent me renseigner sur les jas et la vie pastorale de notre village? Merci d'avance.

yves giordanino
yves.giordanino@orange.fr

Il existe un ouvrage assez complet sur la question, intitulé, si ma mémoire ne me fait pas défaut: "Saint-Marcel mon village", écrit par un ancien président du CIQ, aujourd'hui décédé. Je l'ai prêté, et je ne me souviens plus du nom de l'auteur, mais je pense que vous pouvez vous renseigner utilement en vous adressant à la Maison de la Presse du quartier ou au siège du Comité d'Intérêts de Quartier.


Question posée Le dimanche 11 Septembre 2011.

Nous nous sommes rencontrés à Fuveau où mon épouse, écrivaine, dédicaceait également.
Je vous avais évoqué le salon de Saint-Maximin-La-Sainte-Baume les 22 et 23 octobre prochains et vous m'aviez indiqué que vous pourriez envisager de vous joindre à nous (nous en sommes les organisateurs avec une petite équipe, la municipalité et le Conseil général).
Vous m'aviez donné une adresse internet pour vous joindre. Je l'ai égarée.
Pourriez vous me contacter rapidement pour me la redonner ? Mon mail est : gp.plaissan@hotmail.fr
C'est assez urgent, notamment pour la presse.
Avec mes remerciements,
Robert Pilate

Robert Pilate
gp.plaissan@hotmail.fr

Répondu par courriel


Question posée Le vendredi 9 Septembre 2011.

Bonjour,

Je suis journaliste pour M6 et je prépare actuellement un reportage sur Marseille. Je cherche un éclairage historique et j'aurais aimé vous poser quelques questions. Me serait-il possible de vous joindre par téléphone? Vous pouvez m'envoyer vos coordonnées à cette adresse : sarahreport@gmail.com
Merci beaucoup et j'espère à bientôt!

Sarah Lecoq
sarahreport@gmail.com

Répondu


Question posée Le mardi 6 Septembre 2011.

Bonjour, désolée de ne pas avoir été au rendez-vous de Fuveau. Effrayée par une météo alarmiste, j'ai préféré la prudence et je le regrette amèrement! J'irai acheter votre dernier opus banalement dans une librairie. Je sais que je vais me régaler en le lisant. A bientôt . Amicalement.

Brigitte Parente
brigitte.parente@orange.fr

Répondu par courriel


Question posée Le vendredi 26 Aout 2011.

La Commune de Drap (06) organise les 3, 4 et 5 février 2012 le cinquième salon de la littérature noire et policière "Polar à Drap".
Nous serions vraiment ravis de vous compter parmi nous.
Je me tiens à votre disposition pour vous donner toutes les informations sur notre salon.
Bien cordialement,

Karin Fricero
culture.drap@wanadoo.fr

Répondu par courriel


Question posée Le lundi 22 Aout 2011.

Je voulais simplement vous féliciter ; je viens de commencer (dans le désordre) vos histoires marseillaises et je dois vous avouer que je me régale.
C'est truculent, très bien écrit et c'est un vrai moment de bonheur et de détente.
Merci.

Olivier HUBERT
hubernegroponte@free.fr

Dans ce cas, je ne puis que vous donner un conseil: continuez!
Amicalement


Question posée Le jeudi 11 Aout 2011.

bonjour,
nous avons l'intention de réaliser une animation autour du roman policier en janvier et nous aimerions vous acceuillir pour une rencontre avec nos lecteurs qui seraient ravis de converser avec vous.
Nous savons que les emplois de temps des écrivains sont très chargés, mais nous espérons que notre invitation retienne votre attention
Salutations sincères
nizou charlette
responsable de la médiathèque

mediatheque orgon
mediatheque.orgon@wanadoo.fr

Répondu par courriel


Question posée Le lundi 8 Aout 2011.

bonjour
je suis une passionnée de vos romans. Vous m'avez d'ailleurs dédicacé le dernier à Fuveau. Je fais partie d'un association loi 1901 dans laquelle nous organisons des petites ballades pour découvrir des quartiers de Marseille en sortant des sentiers battus et en évoquant le passé de la ville. j'aimerais pouvoir faire un sortie qui aura pour cadre un de vos romans comme par exemple DOUBLE CRIME DANS LA RUE BLEUE. L'idée serait de parcourir le quartier en évoquant la vie des femmes qui travaillainet dans la manufacture de cigarettes et la vie du quartier. Si vous donnez l'autorisation il serait possible de lire des passages de votre livre et éventuellement de faire un ballade théatralisée avec Raoul Sigonret, Cécile et l'oncle BARUTEAU en costume d'époque bien sûr. Je n'ose vous demander si cela serait envisageable que vous présentiez vos livres ce jour là ou un autre jour avant la ballade avec séance de dédicace. Bien entendu cette association est composée de bénévoles et cette ballade n'aura aucun but lucratif pour les organisateurs. Mon but est juste de partager avec d'autres personnes le plaisir de lire vos romans comme nous le faisons régulièrment pour les romans de Marcel Pagnol dans les collines du Garlaban. En vous remerciant d'avoir pris le temps de lire cette demande
cordialemnt et au plaisir de lire le prochain mystères de Marseille
Sylvie Amourette

Amourette sylvie
sylvie.amourette@free.fr

Répondu par courriel


Question posée Le lundi 25 Juillet 2011.

Maître ,je suis en train de terminer (a mon grand regret) L'inconnu du GRAND HOTEL ..c'est un régal comme tous les aûtres d'ailleurs ,je languis le mois de septembre ,pour me délecter me régaler ,m'effrayer ,de ce nouvel épisode des mystéres de Marseille ;merci vraiment merci ,vous me tenez toujours aussi fort en haleine

Daniele Teisseire
danytt@orange.fr

C'est pour bientôt! Courage! Juste le temps de prendre vos vacances pluvieuses ou ventées selon l'endroit...
Très cordialement


Question posée Le vendredi 8 Juillet 2011.

Bravo pour vos romans trés divertissants et instructifs. Je serais heureuse si un jour vous décidez de situer l'action dans le quartier Menpenti où je suis née et habite celà me permettrait d'en savoir plus sur son histoire. Il y a une ancienne demeure trés particulière avec des "yeux de boeuf" qui apparemment était celle des seigneurs du lieu. Elle est maintenant cachée derrière la caisse d'épargne (avenue de Toulon) mais on peut y accéder par une impasse. J'aurais aimé en savoir plus sur celle-ci mais je ne sais comment organiser des recherches. Merci de faire revivre le Marseille du passé, celui que l'on aime tant. Cordialement.

Karine
karine.amoros@cg13.fr

Si nous parlons de la même chose, il s'agirait d'une bastide du XVIIIè siècle appelée jadis "La Belle Bastide" ou le "Château Menpenti", ayant appartenu à la famille Rostan d'Ancézune. Entre 1830 et 1840 elle a abrité un pensionnat religieux dirigé par trois prêtres: Honoré Vidal, Louis Pascal Blanc et Polydore Jonjon. Hélas pour eux, la foi de ces saints hommes était plus solide que leur sens de l'économie. L'établissement dut fermer après dix ans d'activité. La direction était installée dans la bastide même, les classes dans des bâtiments annexes alignés sur le Grand Chemin de Toulon, aujourd'hui démolis. On raconte que l'abbé Jonjon avait fait installer un cadran solaire portant l'inscription "M'enpenti pas, marchi toujou" (Je ne m'en repentis pas, je marche toujours). Faisait-il allusion aux difficultés financières de son pensionnat? Toujours est-il que certains pensent que le quartier de Menpenti lui devrait son nom.


Question posée Le samedi 18 Juin 2011.

Bonjour Mr Contrucci
Je suis un grand grand admirateur de vos livres, je les dévore!! Ils mériteraient d'être adaptés à la télévision! Première question, lors de quelles manifestations (fête du polar, du livre , ect...) serez vous présent et à quelles dates?
Comptez vous un jour adapter vos histoires à la télévision ou au cinéma?
Continuez à nous faire du bien!!!

Mardaga sébastien
babas84@live.fr

Bonjour et merci de vous préoccuper de mon sort et de celui de mes romans.Les prochaines manifestations publiques devraient se dérouler à la rentrée 2011: fête du plateau à Marseille, en septembre, Carré des Écrivains, en novembre et d'autres sans doute dont les dates ne sont pas encore fixées.
Pour ce qui touche à d'éventuelles adaptations télévisées ou autres, cela ne dépend pratiquement jamais de l'auteur (sauf s'il a des relations bien placées, ce qui n'est pas mon cas). C'est une question de gros sous (surtout avec des romans se déroulant à la Belle Époque, avec ce que cela sous-entend de frais en costumes et décors). Donc, si vous me trouvez un producteur plein aux as, je suis partant!
Amicalement





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