Aller aux pages 1 - 2 - 3 - 4 - 5 - 6 - 7 - 8 - 9 - 10 - 11 - 12 - 13 - 14 - 15 - 16 - 17 - 18 - 19 - 20 - 21 - 22 - 23 - 24 - 25 - 26 - 27 - 28 29 30 31 32 3334




Question posée Le mardi 25 Novembre 2008.

cher Monsieur Contrucci,
ceci n'est pas une question mais simplement quelques mots pour vous dire que j'ai découvert vos oeuvres bien tardivement, mais quelle joie de retrouver ce jeune reporter et son tonton, votre style me remplit
d'allégresse moi qui suis une admiratrice inconditionnelle de Mrs P.MAGNAN et Cl.Courchay. Merci pour ces personnages.....ont-ils existé?

VIGNERON-ZURINI Brune
brune.vigneron@orange.fr

Non, ces personnages sont de pures créations, mais le fait que vous me posiez la question me dit que si vous y avez cru, c'est que j'ai su les rendre crédibles. Pour un romancier, c'est le but poursuivi. Merci de votre fidélité


Question posée Le lundi 24 Novembre 2008.

je suis une jeune enseignante et je souhaite monter un travail avec mes élèves sur votre ouvrage Parle-moi de Marseille, malheureusement, il semblerait qu'il ne soit plus disponible qu'en bibliothèque. Une réédition est-elle prévue ? Serait-il éventuellement possible de se le procurer auprès de l'éditeur ?
Merci beaucoup

Céline Falavel
celine.falavel@wanadoo.fr

Je ne pense pas qu'une réédition soit prévue pour l'instant. Cependant, l'éditeur Autres Temps ne m'a jamais signalé que le livre fût épuisé.Il doit donc en avoir encore des exemplaires en stock. Ce doit être une question de
(mauvaise)distribution.Je vous conseille donc de prendre contact avec M. Gérard Blua, Editions Autres Temps, Parc d'activités de la Plaine de Jouques - 13420 Gémenos - tel 04 42 32 75 42. Soyez assez aimable pour me tenir informé de la réponse qui vous sera faite. Merci


Question posée Le lundi 17 Novembre 2008.

Bonjour Mestre,
Que de monde samedi au Centre Bourse, mais j'ai pu faire dédicacé mon livre ! Merci monsieur CONTRUCCI, cordialement Marie-Dominique BACCI

BACCI
dominiquebacci@hotmail.fr

J'en suis ravi. Mais une prochaine fois manifestez-vous de façon plus voyante. Je n'ai pas pu repérer tous ceux qui ont bien voulu me faire l'honneur d'une visite. C'est vrai il y en avait beaucoup. Mais ne croyez pas que ça laisse indifférent quelqu'un qui, pendant des mois, travaille tout seul dans son coin en se demandant chaque jour pour qui il écrit. Eh, bien c'est pour des gens comme vous! Merci de m'offrir votre sourire à la sortie du tunnel. Cordialement.


Question posée Le mardi 28 Octobre 2008.

Mestre,
le 20 septembre, je suis restée à l'agachon (5 minutes !)à la FNAC, dés l'ouverture j'ai pu aganter votre livre, le magasin avait consacré tout un rayon. Le guet apens de Piscatoris est magnifique, quel plaisir de retrouver Raoul, cécile, les enfants sans oublier tonton. Merci monsieur CONTRUCCI, l'insatiable que je suis en redemande, faite nous rêver. J'attends le 8ème. Cordialement. Marie-Dominique BACCI

BACCI
dominiquebacci@hotmail.fr

Moi aussi, chère Dominique, j'attends le tome 8 (et Lattès, également) mais je ne puis guère aller plus vite. Et à quoi bon entre nous? Vous savez que c'est difficile - quand on se lance dans une série - ne ne pas refaire chaque fois le même livre? Je crois y être parvenu, jusqu'ici. Mais ça prend forcément un peu plus de temps. Cela dit j'ai bien avancé, si ça peut vous rassurer.
Amitié


Question posée Le jeudi 23 Octobre 2008.

dans votre réponse à Gaelle vous mentionnes Claudette COlbert comme partenaire de Chaplin dans Les temps modernes. Aurait-elle doublé Paulette GOddard? Amitiés
perple

Renée Bonneau
reneebonneau@free.fr

Ben, oui, ça se sont des choses qui arrivent quand on persiste à se fier à une mémoire infaillible que l'âge venant on croit encore avoir et qu'on n'a plus. Par bonheur on a des lecteurs attentifs et prévenants qui vous remettent un peu la cervelle à l'endroit. Bien fait pour moi! Et sans rancune, bien sûr!


Question posée Le jeudi 23 Octobre 2008.

Bonjour,
Je viens de recommander votre présence sur le festival de Neuilly-Plaisance parce que na d'abord j'aime beaucoup ce que vous faites. mais je n'ai pas de coordonnées personnelles pour vous joindre, je serais donc ravie que vous me contactiez personnellement.
Merci d'avance.

Delphine Cingal
delphinecingal@orange.fr

En voilà une initiative qu'elle est gentille!
J'obtempère illico (comme on dit dans les romans où on écrit bien).
A tout de suite


Question posée Le jeudi 23 Octobre 2008.

ce n'est pas une question, mais seulement l'expression du plaisir que j'ai eu à découvrir vos romans. Beaucoup trop tard, je l'avoue, car je pouvais craindre qu'il s'agisse de romans régionaux comme il en sévit notamment chez un éditeur breton: intrigues mal ficelées ou imporobables, style absent, la recette étant de glisser des noms de rues et quelques sites pour que le lecteur ( breton) se sente chez lui. Quelle différence avec les vôtres! Marseille n'est pas une toile de fond convenue pour cartes postales, c'est un véritable personnage, dont vous rendez le passé présent sans pour autant tomber dans le folklore. Vos héros sont si vivants, si attachants, de livre en livre prenant de l'épaisseur, qu''une fois le livre fermé le lecteur se dit: vite, la suite!!!

renee bonneau
reneebonneau@free.fr

Arrêtez, vous allez me faire rougir. Mais ce n'est pas à proprement parler désagréable, après tout. Pour tout dire, à mon âge, recevoir des compliments d'une femme, ça devient inespéré.


Question posée Le lundi 20 Octobre 2008.

Cher Monsieur,je suis un marseillais de l'étrangé. Je réside à Genève, dans les brumes helvétiques. Quand j'ouvre un de vos livres, je me retrouve à la maison, je sens sur mon visage la chaleur de notre soleil. J'entend les bruits de notre belle ville.
Merci beaucoup pour ces moments de grands bonheurs !

Jean-Marie Teillier
teillier@bluewin.ch

Je suis très heureux d'apprendre sous votre plume que je fais souffler l'air du pays sur les rives du Léman. Merci de votre sympathie.


Question posée Le vendredi 17 Octobre 2008.

Bonsoir monsieur Contrucci.
Je viens de terminer d'une traite "L'enigme de la Blancarde". Un petit joyeu de drôlerie, de locutions marseillaises...au travers d'une enquête, certes, pas piquée des hannetons ! (et si la police scientifique avait existé, le sang sur Louis aurait il pu changer le cours des choses ?) - J'ai hâte de commencé "Le guet-apens de Piscatoris" acheté aujourd"hui...
Puis je vous envoyer (par courrier) les docs retrouvés concernant l'assassinat de la mère de mon arr. grd tante en 1913 rue Longue des Capucins comme prévu ? Merci pour les bons moments de lecture. Cordialement.
Franck Deleyrolle

Franck Deleyrolle
franckdeleyrolle@hotmail.fr

Bonjour,
Bien sûr je serai très heureux d'apprendre des détails sur les circonstances navrantes qui ont amené la mère de feu votre arrière-grand-tante à défunter prématurément en 1913. Qui sait? Peut-être cela m'inspirera-t-il un point de départ pour un futur roman de la série.
En tous cas, vous avez raison, si la police scientifique avait existé, doté des moyens qui sont les siens aujourd'hui, il n'y aurait pas eu d'affaire Louis Coulon. Ni beaucoup d'autres depuis, à commencer par les affaires Dominici ou Vuillemin. C'est à se demander comment on peut encore écrire un roman policier se passant à l'époque actuelle. Je mesure ma chance de pouvoir inventer des crimes mystérieux se déroulant à une époque où on ne pouvait pas connaître la date de la Première Communion de la victime rien qu'en examinant un de ses cheveux!...
Cordialement


Question posée Le lundi 30 Juin 2008.

Monsieur CONTRUCCI,faisant un petit tour à la FNAC, je voulais acheter "Emma CALVE" après des recherches ce livre est en fin de parution et ne sera pas édité à nouveau. Je vais chercher dans d'autres librairies peut être avec un peu de chance ... A très bientôt de vous lire et encore merci, monsieur
Dominique BACCI

BACCI Marie-Dominique
dominiquebacci@hotmail.fr

Je doute que la recherche en librairie classique soit fructueuse. A moins de tomber sur un libraire qui a des stocks à rotation lente, c'est à dire un espèce en voie de disparition. Ou bien encore sur un bouquiniste qui aurait un rayon art lyrique. Vous auriez plus de chance avec internet (Alapage, ou Chapitre.com pour ne pas les nommer). Ils devraient avoir des exemplaires d'occasion ne stock. Bonne pêche!


Question posée Le samedi 28 Juin 2008.

Bonjour Jean ! J'espère que vous vous souvenez de moi car nous avons tous deux fréquenté Marseille Magazine et Le Provençal. Betty Krestinsly, ça vous dit quelque chose ? Alors voilà : maintenant que je suis une vieille dame, un peu indigne mais pas complètement, j'ai commis un petit roman, qui, paraît-il mérite d'être édité. Après avoir écumé quelques grosses pointures de l'édition (pourquoi pas après tout, d'ailleurs j'attends encore quelques réponses), j'ai apporté "la chose" à L'Ecailler. Qu'en pensez-vous ? Je tiens bien entendu mon roman à votre disposition si vous souhaitez le lire, mais vous n'êtes pas obligé. Je vous embrasse bien amicalement, en souvenir d'un passé relativement récent. Betty.

Betty Krestinsky
krestinsky@orange.fr

Bien sûr, je garde un excellent souvenir de notre (déjà) lointaine cohabitation.
Je pense que l'Ecailler est une maison sympathique, animée par des gens qui aiment ce qu'ils font et donnent à des auteurs estimables une chance d'être édités qu'ils n'auraient pas dans une "grande" maison.
Si vous aviez un peu pitié de moi, vous me feriez parvenir votre roman une fois édité, seulement. J'ai déjà tant de peine à lire ce qui est publié que j'évite autant que possible d'y ajouter les manuscrits, c'est une question de temps qui me manque pour le faire.
Je vous souhaite de connaître le bonheur de voir son manuscrit devenir un vrai livre avec une couverture portant votre nom comme un vulgaire Victor Hugo.
Courage. Avec mon meilleur souvenir.


Question posée Le jeudi 12 Juin 2008.

Monsieur CONTRUCCI, je viens d'apprendre qu'il faudra attendre jusqu'au 20 septembre 2008, mais c'est terrible !!!! je viens de finir le volume 6 des nouveaux mystères de Marseille (enfin presque). Monsieur, qu'il est agréable de vous lire, que de bons moments je passe. J'ai dévoré vos livres, aux futurs lecteurs : dés que vous commencez une histoire, vous ne pouvez plus vous arrêter. Monsieur CONTRUCCI, à très bientôt de vous lire. BRAVO !!!!!!!!!!

BACCI Marie-Dominique
dominiquebacci@hotmail.fr

Ces propos et jugements sont fort aimables. Merci. Mais vous êtes insatiable... Le tome six est paru fin novembre 2007, le tome sept paraît fin septembre 2008. Deux volumes en dix mois. Serait-il raisonnable d'augmenter la fréquence? Je craindrais l'overdose. Et puis, un peu d'attente ne fait pas de mal. Elle entretient l'envie. Le vieux Corneille savait déjà ça qui écrivait " Et le désir s'accroît quand l'effet se recule" (on ne me lèvera pas de l'idée qu'il y avait dans cet alexandrin une polissonnerie cachée) Entretenons donc le désir en ne précipitant pas les parutions. Mille baci.


Question posée Le samedi 7 Juin 2008.

Cher Jean : j'ai été absolument ravie de recevoir votre réponse si rapide. Pour continuer avec les aventures de Raoul (depuis que je vous ai découvert je m'astreint à lire une par mois) je suis plongée corps et âme dans "Le spectre de la rue Saint Jacques" et je dois dire que je m'amuse énormément avec les histoires des spirites. Merci encore de vos histoires car elles sont ce qui me permet de survivre dans ce monde de brutes !
Bien à vous
Marie Claude

marie claude démard
demard@tele2.fr

N'allez pas trop vite, chère Marie-Claude, je ne vais pas pouvoir fournir, à ce rythme. Par bonheur, le prochain sort le 20 septembre 2008. Son titre? "Le guet-apens de Piscatoris". Je ne me souviens plus de ce qui s'y passe, mais ça devrait vous plaire...
Amitié


Question posée Le mercredi 28 Mai 2008.

Bonsoir Monsieur Contrucci,
j'ai feuilleté "le Secret du Docteur Danglars" à la recherche de ce fameux avocat / jeu de mot et j'en ai trouvé un à qui il faudrait visiblement "mettre deux baffes et au lit" !! Je ne sais pas si je suis la première à le trouver mais cela m'a amusé de chercher. J'avais bien ri déjà au jeu de mots sur Maitre Delaud (dans son vin) mais j'avais raté celui-là, moins évident il faut le dire !
Je vais prendre encore un plaisir nouveau à vous lire si je cherche à la fois ces clins d'oeil et la résolution des enquêtes.

Merci d'avoir répondu à mon précédent message, Cordialement

Gaële
gaelevaillard@tele2.fr

Bravo Gaële! Vous êtes en effet la première à avoir trouvé (avec un peu d'aide) le lamentable jeu de mots qui m'a servi à composer le nom de l'avocat Me De Baffeoli. Je veux dire que personne avant vous me l'a signalé sans être sollicité. Si on veut être complet, il se prénomme Etienne (et tiens! deux baffes et au lit!). Dans le "Spectre de la rue Saint-Jacques", le phénoménal succès du livre de Dan Brown: "Da Vinci code" (publié par le même éditeur que moi, mais pas avec les mêmes tirages...) m'avait inspiré le nom du carrier italien Danbrone, que j'avais prénommé Leonardo, bien sûr. Je vois que ces bêtises n'amusent pas que moi, je m'en réjouis. Amitié.


Question posée Le mardi 27 Mai 2008.

Bonjour monsieur Contrucci.

Je viens donc de mettre sur mon site les coupures de journaux faisant état de l'assassinat rue Longue des Capucins.Cela vous donnera le déroulement des faits.
Voir le site http://franckdeleyrollgenea.free.fr
la page consacrée à Léon
Ferdinand DELEYROLLE

Cordialement

FD
franckdeleyrolle@hotmail.fr

Vous avez été plus rapide que moi. Il est vrai que vous aviez des raisons personnelles de vous préoccuper de cette affaire. En tous cas merci de m'avoir tenu au courant et bravo pour votre obstination.
Cordialement


Question posée Le vendredi 23 Mai 2008.

Bonjour monsieur Contrucci,

J'ai enfin pu mettre la main sur des articles traitant du fait divers en question (assassinat 68 rue Longue des Capucins en 1913)à la bbibliotheque de l'Alcazar. Plusieurs originaux m'ont été donné par mon père ....il ya seulement quelques semaines. Si cela vous interesse. Cordialement.

Franck Deleyrolle
O637716048

FD
franckdeleyrolle@hotmail.fr

Bien sûr, que cela m'intéresse! A double titre de romancier et de concitoyen.
Très cordialement.


Question posée Le jeudi 22 Mai 2008.

cher Jean (puis-je vous appeler ainsi? depuis que je vous lis j'ai l'impression de vous connaître personnellement) : comme tous les auteurs je ne pense pas que vous sachiez comment les lecteurs arrivent à vous. Je voudrais vous conter que votre nom m'est apparu un jour que je faisait des mots croisés qui s'appellent "chasé-croise" et qui consistent à trouver une phrase d'un livre à partir de définitions dont la première lettre donne le nom de l'auteur et le titre de l'ouvrage. Votre nom m'est resté dans un coin de la tête jusqu'au jour où, me promenant dans les rayons de ma bibliothèque de quartier (le 14ème à Paris, cher à Fred Vargas) j'ai vu plusieurs de vos livres et j'ai pioché au hasard après avoir jeté un coup d'oeil à la 1ère page qui m'a enchanté comme tout le reste du bouquin que j'ai dévoré en 2 jours (je lis beaucoup et très vite). Depuis j'ai lus presque tous les Mystères de Marseille, il m'en manque que 2 (dont celui qui vient de sortir).
Comme m'a dit un jour de Salon du Livre Pierre Magnan "les auteurs sont comme des armateurs qui lancent un navire - leur livre - d'un port et ils ne savent pas les aventures que vivra celui-ci auprès de ses lecteurs" alors ... les chemins des lecteurs sont impénétrables.
Bon ma question est sur le Mystère de la Blancarde : je meurs d'envie de savoir la vraie histoire dont vous vous êts inspiré (Mouttet je crois) mais Internet ne me donne que des renseignements sur un certain Moutet (avec un seul t) qui a l'air d'être un politicien et non pas un gibier de potence !
Je vous remercie de votre écriture. Votre maman avait raison !

marie claude démard
demard@tele2.fr

Chère Marie-Claude (je ne veux pas être en reste) votre message est de ceux qui réchauffent le coeur solitaire du romancier qui ne sait jamais où le navire qu'il a lancé (pour reprendre la comparaison de Pierre Magnan) accostera. Je constate que le mien est arrivé à bon port et dans de bonnes mains. Ce que vous me dites sur mes petites productions me touche. Elles n'ont d'autre prétention que de faire passer un bon moment à celui ou celle qui me fait assez confiance pour ne pas s'en tenir à la vitrine et entre dans la boutique. Apparemment vous y avez trouvé ce que vous cherchiez.
Pour en venir à votre question sur L'énigme de La Blancarde, c'est bien l'affaire Mouttet/Cauvin qui a été à la base de ce roman. J'avoue même que de toute la série des "Nouveaux Mystères de Marseille" c'est celui qui est le plus près de la réalité. Pour la restituer il m'a fallu inventer tous les personnages qui allaient devenir les héros récurrents de la série et d'imaginer une explication plausible à ce mystère qui - à la façon des affaires Dominici ou Villemin - ne fut jamais élucidé (et surtout pas par la Justice!). Mais la trame du livre suit pas à pas cette affaire qui divisa l'opinion. Bien sûr je pourrais vous renvoyer à la presse de l'époque mais les divers procès se sont étalés sur près de dix années et il serait bien difficile de retrouver tous les articles. La meilleure synthèse est celle que rédigea à l'époque le journaliste et chroniqueur judiciaire Albert Bataille, dans ses volumes consacrés aux "Causes criminelles et mondaines" classés par années. Puisque vous avez le privilège de vivre en la capitale vous pouvez les consulter à la Bibliothèque Nationale, ou bien, par le site Gallica les télécharger chez vous, ce qui est encore plus pratique. Merci encore de votre sympathie et si cela vous dit, rendez-vous en septembre 2008 pour la sortie du tome 7!


Question posée Le jeudi 15 Mai 2008.

Bonjour Monsieur Contrucci,
je viens de me régaler en dévorant le Spectre de la rue saint Jacques, après m'être délectée des autres aventures de Raoul Signoret et une question me turlupine depuis : pourquoi l'ancienne domestique des Castellain s'appelle-t-elle du vrai nom de la comédienne Arletty, Léonie Bathiat ? Après le Docteur Danglars qui m'évoquait furieusement l'un des ennemis d'Edmond Dantes, voici le deuxième nom de vos personnages qui m'interpelle !

En tout cas, bravo pour vos formidables textes... Je vais bientôt entamer les Diaboliques de Maldormé !

Cordialement.

Gaële
gaelevaillard@tele2.fr

Pourquoi l'ancienne domestique porte-t-elle le nom d'Arletty? Parce que je sème ainsi dans mes romans des petits clins d'oeils à l'intention des lecteurs "pointus" dont vous êtes. Vous avez débusqué Léonie Bathiat, mais vous aviez aussi dans "Le secret du docteur Danglars", (dont le nom lui-même est un hommage à Dumas, comme le titre de la série( Les nouveaux mystères de Marseille l'est à Zola) une certaine Lili Chauchoin qui était le vrai nom de l'actrice Claudette Colbert, qui fut la partenaire de Chaplin dans le film "Les temps modernes". C'est une façon de s'amuser en cours de route. Ça ne dérange pas le fond de l'histoire et ceux qui le remarquent s'en amusent avec moi. Il y en a quantité d'autres dans les six volumes parus. Dans "Le spectre de la Rue Saint-Jacques", justement, il y a un certain carrier italien, Leonardo Danbrone qui doit beaucoup à l'auteur du "Da Vinci code" qui paraissait au moment où je rédigeais mon roman. Tenez, voici une nouveau jeu: dans "Le secret du docteur Danglars", toujours, il y a un certain avocat dont le patronyme est fait d'un jeu de mots. Personne ne l'a relevé. Soyez donc le premier. Bien amicalement


Question posée Le dimanche 11 Mai 2008.

Oups!

J'allais commettre un imper en oubliant de vous parler de "Marseille de la Belle Epoque" !! 2 ouvrages que j'ai lu avec beaucoup d'intérêt et de plaisir. A suivre: "Les Diaboliques de Maldormé"...

f.d

franck Deleyrolle
franckdeleyrolle@hotmail.fr

Merci de votre fidélité. Elle m'honore


Question posée Le dimanche 11 Mai 2008.

Bonjour M. Contrucci

Je me suis permis de vous contacter il ya quelques semaines au sujet d'un assassinat survenu au n°68 rue Longue de Capucins en décembre 1913 et qui a touché de près ma famille.

Au plaisir de rediscuter avec vous sur ce fait divers marseillais.

Cordialement

Franck DELEYROLLE
06.37.71.69.48

Franck Deleyrolle
franckdeleyrolle@hotmail.fr

Bonjour, je dois avouer à ma courte honte, que je n'ai pas trouvé encore trace de l'affaire dont vous me parlez, dans les journaux du temps. Ce qui ne veut pas dire qu'elle n'y soit pas. Mais à l'époque, le titre à sensation n'existait pas et les faits divers étaient réduits à l'essentiel (on prenait les lecteurs pour des gens sérieux à qui il fallait fournir une information en fonction de son importance politique ou sociale, et non pas chercher le sensationnel à tout prix) Tout cela pour vous dire que j'ai bien pu passer à côté dans des colonnes serrées, écrites en caractères minuscules et pas toujours aisée à déchiffrer. Mais je vous promets de continuer et si j'ai la moindre information, je ne manquerai pas de vous la communiquer.
Cordialement
J.C.





Aller aux pages 1 - 2 - 3 - 4 - 5 - 6 - 7 - 8 - 9 - 10 - 11 - 12 - 13 - 14 - 15 - 16 - 17 - 18 - 19 - 20 - 21 - 22 - 23 - 24 - 25 - 26 - 27 - 28 29 30 31 32 3334