Revue de presse
“ Les deux visages du Midi, la clarté et les ombres, sont peints avec une grande justesse de ton dans ce roman de facture classique que les Goncourt ont retenu pour leur première sélection. Il y passe l’esprit de la vieille cité, l’air salin, l’odeur des épices, celle des pinèdes rescapées de l’urbanisation, celle du poisson frais rapporté au Vallon des Auffes. Et on se réjouira qu’un rendez-vous décisif dans le livre ait lieu sur l’esplanade Louis Brauquier, le poète de “ Liberté des Mers ”
Jacques Jaubert (Les Echos)
“ La principale interprète de cet ouvrage est avant tout Marseille. Qui ne trouvera dans ces descriptions autant d’illustrations de la fascination qu’exerce cette ville chez celui qui sait la percevoir ? (…) Le cœur du héros palpite à nouveau et le nôtre avec. Qui ne serait tenté par un pèlerinage aux rives bénies de l’adolescence ? ”
Paul Lombard (Le Journal du Dimanche)
“ Une belle réussite, tant sur le plan de l’intrigue, savamment imbriquée, que celui de l’écriture, où se chevauchent plusieurs niveaux narratifs : lettres de la femme aimée, réflexions du quinquagénaire, récit de l’adolescent … et savoureux pastiche du polar à sensation ! Comme, en outre, Contrucci fait se dérouler son récit à Marseille qu’il décrit avec une drôlerie attendrie, on se régale encore plus qu’au Vallon des Auffes, chez Fonfon. ”
M.L. (Actualité du polar)
“ Un suspense très bien conduit ”
(Femme Actuelle)
“ Roman d’amour, roman de la mémoire, “ La cathédrale engloutie ” est tout cela avec, surtout, l’émouvante réhabilitation du sentiment qui rime avec tout ce qu’il y a en nous d’un paradis perdu ”
Françoise Ducout (ELLE)
“La musique, décidément, poursuit Jean Contrucci qui nous avait offert des notes inoubliables dans “ Comme un cheval fourbu ”. Les paris sont pris : il finira par écrire que si la vie n’avait pas fait de lui un journaliste de talent, nul doute qu’il tiendrait la baguette de chef d’orchestre. Tant pis pour la musique. Tant mieux pour la littérature. ”
Jean Kehayan (La Lettre du Club de la Presse Marseille-Provence)
“ Marcel Pagnol aurait dit un jour “ Pour qu’une chose arrive, il faut y penser suffisamment fort et longtemps ”. Il faut croire que Jean Contrucci, inconditionnel de la littérature, de l’écriture, de l’architecture, de la musique, des promenades dans Marseille, est arrivé à destination. ”
Philippe Carpenet (Le monde de l’IPC)
“ Les histoires d’amour deviennent-elles plus intenses et vraies quand la mémoire les vole au réel ? C’est à cette question, banale en apparence mais essentielle dans le ralenti de la fiction que répond Jean Contrucci dans son beau roman La cathédrale engloutie (…)
H.M. (Le Gai Pied)
“ Roman de toutes les folies et de toutes les impasses, cette histoire d’un amour cru perdu à jamais et qui ressuscite semble d’abord des plus banales, des plus “ claires ”, mais elle est constamment troublée par la réalité et surtout par l’espoir – l’illusion ? – d’un retour à ce qui fut. Mais est-il possible de renaître en faisant “ comme si ? ” Comme si la rupture aux raisons inconnues n’avait pas été, comme si tout ce qu’elle a entraîné pouvait être effacé ? Les images de soi-même et de l’autre se heurtent à la fois dans le présent où tout se fait de plus en plus mystérieux, et dans le souvenir qui arrête le temps. Mais l’arrêt est un piège. Jean Contrucci – qui ajoute au dédoublement de ses personnages celui du roman dans le roman – mène avec habileté son lecteur à un autre piège, celui-là bien réel, et posant, à l’histoire d’un amour qui “ surgit de l’abîme du temps ”, un point final que je vous laisse découvrir. ”
Pierre-Robert Leclercq (Le Magazine Littéraire)
“ Faut-il avoir peur, par soumission à quelque nouvelle règle, de rappeler qu’un romancier sachant conter a déjà satisfait à l’une des épreuves majeures auxquelles tout lecteur et le genre le soumettent ? Sinon, créditons Jean Contrucci d’avoir composé “ La cathédrale engloutie ”, qui se commence et ne se quitte plus. Tout le reste est littérature… ”
Georges Gallician ( Le Méridional )
“ Roman d’amour et de mœurs, roman policier et parodique, plein d’humour et de tension, de ferveur, de gravité et de tristesse, le nouveau roman de Jean Contrucci est construit avec une exemplaire rigueur et porté par une intrigue qui ne se dénoue que dans les dernières pages. ”
R.C. Pascal (Les Nouvelles Affiches)
“ Une histoire d’amour entre une jeune fille et un jeune homme, rien de plus banal. Pourtant l’histoire est palpitante comme un livre policier. Le lecteur ne peut s’arracher à ces pages, écrites dans un style vif et incisif. ”
Mady David (Semaine-Provence)
“ Dans ce quatrième roman tout rayonne d’intelligence. D’abord une construction impeccable. Géomètre et horloger J.C. ajuste ses rouages avec une minutie sans faille. Logique suprême, exigence absolue de chaque élément mis à sa place et entraînant un autre engrenage. Seuls rivalisent, dans cette utilisation totale des parties et du tout, les vaudevilles de Feydeau et les romans policiers : le délire du rire et celui de la peur.(…) Préparez-vous à trembler et à admirer ce maître de l’Amour et de la Peur.
Paul Guth (La Voix du Nord)
“ La télé qui cherche toujours de bons “ sujets ” devrait se pencher sur les romans de J.C.. Ses histoires, découpées comme des scripts, sont épatantes, avec ce mélange de suspens dur et de psychologie douce qui rappelle les bouquins de Guimard, de Vautrin ou de Cauvin. ”
Jérome Garcin (L’Evénement du Jeudi)
“ Amour fou, amour mystère et grand livre ”
Alain Laville (Télé7 Jours)
“ Très beau et riche roman. Fort en émotions, couleurs et musique (…) D’une écriture vive, alerte et sensible. L’auteur nous laisse en ultime page rouler sur le tapis vert “ tel un dé lancé d’un cornet que d’autres maniaient à ma place ”. Une grande réussite. ”
José Lenzini (Var-Matin)
“ Ai-je dit que dans ce troisième roman J.C. a acquis une remarquable maîtrise pour tracer des portraits d’une alerte férocité ? Un livre qu’on a envie de ne plus quitter sitôt qu’on l’a ouvert ”
Jean Boissieu (Le Soir)
“J.C. témoigne ici d’une habileté consommée de la construction romanesque avec trois récits enchâssés (…) L’incontestable réussite est de nous faire participer entièrement à une aussi sentimentale aventure sur le fond de deux passions chères à l’auteur : la musique et Marseille.”
André Remacle (La Marseillaise)
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