Comme un cheval fourbu
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   Agrégé de grammaire, professeur de français dans un lycée de Marseille, Jacques Morançon est respecté par ses élèves, apprécié par ses collègues, estimé par l’Administration.
   Sa vie privée est une réussite. Il s’est marié par amour, sa fille Christine, douce et obéissante prépare son bac avant d’envisager une carrière de pianiste virtuose.
   C’est presque trop beau.
   Et pour cause…
   Insensiblement, tout commence à se dégrader. Les voiles se déchirent, les murs se lézardent.
   Quel est donc cet inconnu dont les miroirs renvoient à Jacques Morançon une autre image  de lui-même?
   Lorsque la crise éclate, le prof’ et père modèle assiste, désemparé, à l’écroulement de ses certitudes. Chahuté, ridiculisé, bafoué par ses élèves,  il est bientôt contesté dans sa propre famille par sa fille qui entend désormais vivre et aimer à sa guise. Pour lui, le lycée et la maison ne feront bientôt qu’un seul et même enfer

“Le roman de Jean Contrucci assène une vérité première. C’est qu’il vaut mieux ne pas être professeur aujourd’hui… L’auteur a du talent. L’on se prend à suivre cette histoire simple avec un intérêt grandissant”

Le Magazine Littéraire

 

 

Revue de Presse

 

“Un vrai roman qui vous emporte du début à la fin. Je l’ai lu très vite : j’avais hâte de connaître la suite. Je me sentais solidaire de ce prof, mais je comprenais aussi ses élèves et surtout sa fille, Marianne. C’est un livre très actuel, très vivant, très émouvant. On y retrouve le conflit des générations, a priori facile, amené ici d’une façon originale. J’ai eu aussi l’impression de voir un film, avec des flash-backs, des rêves, des moments de folie… Un roman très visuel, un très bon scénario !”

(Opinion d’une lectrice-juré du Grand Prix 85 des Lectrices de ELLE à Bordeaux qui avaient élu le roman)

“Le roman de Jean Contrucci assène une vérité première. C’est qu’il vaut mieux ne pas être professeur aujourd’hui… L’auteur a du talent. L’on se prend à suivre cette histoire simple avec un intérêt grandissant”

Le Magazine Littéraire

“ Un moment très fort, un volcan qui tient à la fois de l’analyse de mœurs, de la dissection de processus psychologiques, du roman policier et de mille autres choses qui en font un grand livre. Un livre qui brûle et où l’on ne peut s’arrêter avant de l’avoir achevé ”.

Michel Pezet

“ Mince et fragile intrigue pour un grand livre(…) Des compliments, J.C. en mérite beaucoup, étant à la fois bien conçu, bien construit, bien écrit. (…) Un bel enfant, bien venu et promis à un bel avenir. ”

Anne Gacon (Les Publications Commerciales)

“ Un livre très dur, non sans force, à ne pas mettre entre les mains de ceux qui aiment que les rêves se terminent bien. ”

Jean-François Leroy (La Vie)

“ La descente aux enfers d’un père, la crise d’un quadragénaire racontée sans fioritures mais non sans émotion. ”

(Les Etoiles de Paris-Match)

“ Sur le thème du blanc et du noir qui guettent chaque vie, J.C. se révèle romancier des petites choses du quotidien et de leurs grands effets ”

Pierre-Robert Leclercq (Le Monde)

“ C’est habile comme un roman de Boileau-Narcejac mais on sait que l’intrigue a sa place dans les faits-divers des journaux d’aujourd’hui. ”

Pierre Jotreau (Week End)

“ Un roman remarquable où les jeux de la mémoire occultent la réalité ”

S.R. (Fémina-Lausanne)

“ L’auteur de juge pas, ne tranche pas, ne donne pas de recette. C’est là sa force. “ Comme un cheval fourbu plonge avec acuité au coeur même de cette évidence sociologique qu’est le double malaise des profs avec des élèves. ”

Jean-Pierre Enard (V.S.D.)

“ Même si l’amour paternel choisit – comme l’amour tout court – des subterfuges, une ambiguïté étonnante pour s’exprimer, Jean Contrucci réussit totalement à nous persuader de cette réalité, mais attention : son roman fait mal !

Françoise Ducout (ELLE)

“ Son roman La Poisse, paru voici trois ans, nous avait mis en goût pour son style alerte, vif et concis, pour sa façon de “ dire ” presque envoûtante, pour sa faculté à se pencher sur le “ profond ” de l’humain. Nous le retrouvons là, en plus grand, en plus humain encore ”

Pierre Gallocher (Semaine-Provence)

“ Ce roman semble fait pour vous fournir une passionnante soirée de lecture, sans rupture. C’est une œuvre typique de la littérature moderne. ”

Marjorie A. Fitzpatrick (French Review
de l’université de Santa Barbara- Californie)

“  Parti d’un simple fait-divers, le roman s’enfonce peu à peu dans un labyrinthe kafkaïen, dont Contrucci a dessiné les méandres et les impasses avec un soin démoniaque, terrifiant. Mais la noirceur du propos a trouvé en même temps un écrivain doué, dont on attend avec impatience le prochain coup de couteau – ou de plume, comme vous voudrez.

Jérôme Garcin (L’Evénement du Jeudi)

Ecrit à un rythme endiablé, cet excellent roman pourrait être signé Boileau-Narcejac : il y a a du suspense dans l’air !

Jean-Claude Lamy (France-Soir)

“ Jean Contrucci frappe un grand coup (…) ça cogne dur dans le cœur du lecteur et tant mieux si le fond prime sur la forme : c’est fait à dessein ”

Gabriel Chakra (Le Méridional)

“  L’auteur conduit ce roman d’une auto-confession avec une rare maîtrise et affirme de solides qualités de romancier tant par la façon dont il a bâti son histoire que par la qualité d’un style parfaitement naturel.(…) L’art du roman c’est bien de raconter la vie et Jean Contrucci la raconte de la meilleure manière. ”

André Remacle (La Marseillaise)

“ Il ne me revient pas de déflorer le dénouement qui surprendra le lecteur, mais de dire que ce beau roman sera aussi pour les profanes une véritable expédition dans la vie difficile des enseignants. ”

Henri Bourdet-Guillerault (Les Nouvelles Affiches de Marseille)

“ Plus que des mots, ce sont des cris qui sortent de sa plume. Mieux qu’un roman consciencieusement construit, c’est un appel au secours bouleversant. ”

Gaston-Gérard Denizot ( La cote des Arts)

“ De courts chapitres, voire des paragraphes s’imbriquent les uns dans les autres sans jamais égarer le lecteur qui se trouve en permanence obligé de changer de rythme ou de tempo ”. ”

Christian Harrel-Courtès (Familia)

“ Avec ce roman Contrucci se hisse résolument au rang des grands romanciers actuels ” 

Maryse Schefer (Midi-Mut)

“ Derrière un portrait apparemment banal, c’est tout le malaise de la société qui nous atteint ”

Martine Freneuil (Le Quotidien du Médecin)

“ Vieux thème : l’échec d’une vie. L’auteur le transforme en une réussite littéraire.(…) son métier en fait une narrateur vif, concret, sachant animer la vie réelle ”

F.K.( Pourquoi pas ? Bruxelles)

“ On en a tant parlé du conflit des générations, qu’un roman de plus ne peut que susciter la méfiance. Une méfiance qui se dissipe très vite à la lecture (…) ”

H.-CH.D (Coopération)

“ Ici, pas de dentelles, pas de fioritures ni de faux effets à la ligne. Ce livre “ charrie du sang ”, il parle chair. C’est sa forme, c’est son style. (…) A vous d’ouvrir les portes de l’enfer. Je viens de les refermer après m’y être brûlé ”

André Boretti (Le Soir)

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