Le secret du docteur Danglars
couv-docteur Danglars

Marseille, 1899. La France est en proie aux attentats anarchistes, et Raoul Signoret, le sémillant chroniqueur judiciaire du Petit Provençal, doit rendre compte d’une exécution capitale, alors qu’il milite contre la peine de mort ! Mais un procès autrement plus étrange l’attend : celui du docteur Hyppolite Danglars, un médecin dévoué à ses patients de condition modeste, accusé d’avortement clandestin par une jeune femme mourante...
Malgré les avertissements de son oncle Eugène, et ceux de Cécile, pourtant toujours prête à seconder son Raoul, ce dernier se lance dans une enquête périlleuse qui le mènera au coeur du milieu anarchiste, dans les fumeries d’opium, et même dans les bras d’une belle cantatrice... Secondé par Bouillot, ouvrier typographe, et par le Tonkinois, un étrange ancien combattant devenu clochard, le jeune journaliste aborde un monde de trafic et de vices qui va éclabouser jusqu’à la bonne société marseillaise.
 

Après l’Enigme de la Blancarde et La Faute de l’abbé Richaud, Jean Contrucci, critique littéraire à la Provence, nous conte un nouveau mystère de Marseille qui met à l’épreuve le tandem Signoret-Baruteau, plus dynamique et plus infernal que jamais.

“Par son humour, sa vivacité, par sa relation avec le paysage marseillais et avec le parler local, par l’exactitude de ses enquêtes, Jean Contrucci est de toute évidence dans la lignée des meilleurs”.
                                                                                             Edmonde Charles-Roux

 

Revue de Presse

“Après la parution du troisième volet des Nouveaux Mystères de Marseille, on n’aura plus à se demander si Marseille tient, en la personne de Jean Contrucci, un feuilletoniste d’une exceptionnelle qualité : aucun doute là-dessus (…) Je m’en voudrais de vous priver de surprises et de rebondissements en tous genres. Sans doute, comme moi, une fois le livre terminé, aurez-vous l’envie d’écrire à l’auteur une lettre lui disant “ Continuez ! Et vivement la suite !”

Edmonde Charles-Roux (La Provence)

“Après L’énigme de La Blancarde et La faute de l’abbé Richaud, voici donc les nouvelles aventures de Raoul Signoret et il y a fort à parier que d’autres suivront. Au moment où Marseille tente de (re)devenir Hollywood-sur-Méditerranée, accumulant les tournages télévisés et cinématographiques, voici des scénarios qui raviront les amateurs de polars, d’humour et de soleil. En attendant, lisez Le secret du docteur Danglars, il nous conte avec clarté et talent de belles histoires du temps jadis se déroulant au coeur de ce qui demeure – en toute objectivité – la plus belle ville de monde”

   Patrick Cauvin (Le Nouvel Observateur)

“Jean Contrucci, entre suspense et humour, entre reconstitution “à la Zola” et une investigation journalistique de style policier, construit le scénario de son roman avec tant d’efficacité et de raison qu’on reste pantois devant un art du récit qu’une telle science (…) C’est diabolique dans la perfection et divin dans le plaisir de lecture. Jean Contrucci est au roman ce que Feydeau est au théâtre, un maître ès rouages de la surprise ( ..) et le démêleur inspiré de situations en apparence indémaillables.”

Joël Schmidt (Réforme)

 “Le secret du docteur Danglars se lit comme on respire. Tranquillement et avec plaisir. Au point de se sentir très proches des deux héros, comme si nous les avions toujours  connus ( …) Jean Contrucci sait mieux que personne construire des images avec des mots. Ce qui rend son livre à la fois vivant et visuel. Le réalisateur qui en tirerait un scénario ne ferait pas une mauvaise affaire. Il y a là la recette toutes trouvée pour réussir un bon film populaire. Ce qui est de plus en plus rare”

Jean-René Laplayne ( La Corse – votre hebdo)

“Outre les ingrédients chers aux auteurs des romans policiers des années 30, l’exotisme, les méchants asiates, les étranges manoeuvres dans la nuit du port de Marseille, l’héroïne (la drogue) l’héroïne (la chanteuse populaire), les anarchistes, Jean Contrucci nous délivre un pamphlet contre la condition misérable du petit peuple (…) Le tout écrit avec élégance et sans forcer le trait (…)”

Paul Maugendre (La tête en noir, http://www.mauvaisgenres.com)

“Il y a dans Le secret du docteur Danglars du plaisir à courir l’aventure du feuilleton, aux côtés d’un héros sympathique et de surprendre Marseille à l’aube du XXème siècle dans ses charmes et dans ses vices au parfum d’opium. Au-delà, le bon sentiment, social et généreux, qu'on ne confondra pas avec le beau sentiment, n'y est jamais alourdi d'empois, ni frappé de ridicule (…) Le sourire et le rire ne nuisent pas à l’émotion”

Dominique Mondoloni (Nice-Matin)

“La reconstitution quasi-historique de l’ambiance du Marseille 1900 et la touche humaine, “ familiale ” et sympathique enveloppant la vie quotidienne des trois héros de la série constituent l’intérêt majeur de cette saga populaire marseillaise. Elle ne demande encore une fois qu’à rebondir”

Pierre Echinard (revue Marseille)

“Au delà de l’intrigue, il y a dans Le secret du docteur Danglars la volonté de l’auteur de renouer avec les origines du roman policier. Et en premier lieu avec la figure mythique de Rouletabille (…) Mais un Rouletabille marseillais qui aurait croisé Montale. En résumé un Rouletabille ne sentant plus la naphtaline. (...) Le secret du docteur Danglars est un peit bijou né de la rare et difficile fusion des diverses formes que revête le roman policier : Whodunit, hard boiled, roman historique, roman d’aventures, polar à tendance sociale, Jean Contrucci mélange le tout avec un immense talent et une toute aussi grande bonne humeur”

Luis Alfredo (http://www.rayonpolar.com)

“Le volume est nettement plus…volumineux que les deux précédents (400 pages) mais le lecteur n’en galope pas moins de chapitre en chapitre, son intérêt, constamment piqué au vif, étant relancé par des chutes qui sont autant d’invites irrésistibles à aller voir plus loin et à connaître la suite.”

Jacques Bonnadier (Radio-Dialogue)

“Après L’Enigme de La Blancarde, nous eûmes La faute de l’abbé Richaud, confirmation pour les fans de Raoul Signoret que l’aventure était belle et bonne (d’ailleurs saluée par deux prix littéraires. Puis, il fallut “se langui ” comme dirait l’excellente épouse du commissaire Baruteau jusqu’à ce Secret du docteur Danglars. Vous le raconter ? Jamais de la vie ! Sachez seulement que l’affaire est, cette fois encore, bien vilaine (…)”

Laurence Michel (Pourtours)

“Grand admirateur d’Eugène Sue et fervent défenseur de la culture locale, l’auteur se révèle en outre fine lame en matière de romans historiques (…) Référence à  Gaboriau, Conan Doyle ou l’étrange Thomas de Quincey, ce roman plaisant, sans temps mort, est aussi bourré d’interjections savoureuses avè l’assent, té !”

Christine Muller (Les affiches d’Alsace et de Lorraine)

“Jean contrucci est un merveilleux conteur. Le lecteur se régale d’une intrigue passionnante. Il découvre les archives peu connues d’une ville haute en couleurs, au carrefour des grandes aventures occultes d’un monde marginal.”

H. Ma. (Le Monde)

“Gouaille du parler populaire, fumet des faubourgs, personnages hauts en couleurs… Ces ingrédients sont devenus rares dans la production littéraire d’aujourd’hui qui semble oublier les maîtres du roman populiste (Sue, Dabit) Jean Contrucci se situe clairement dans cette lignée”

Jean-François Fournel (Le Pèlerin)

“Si on reconnaît un bon roman à la hâte de le retrouver, Le secret du docteur Danglars est assurément un bon roman !”

Serge Scotto (Lou Ravi)

“Sous le romanesque, Jean Contrucci retrace la chronique sociale d’une ville qu’il connaît sur le bout de son histoire. Même le lecteur le plus étranger à Marseille se sent en territoire familier. Ce n’est pas le moindre mérite de cette série ”

Frédérique Brehaut (Le Maine Libre) 

“C’est devenu une habitude, un rendez-vous annuel réjouissant (…) Maîtrise d’un côté, innovation de l’autre, tout cela est de bon augure pour la longévité de cette série habilement baptisée Les Nouveaux Mystères de Marseille en hommage à Emile Zola”

Fred Guilledoux (Marseille- L’Hebdo)

“Délicieux ! Tout simplement délicieux ! Jean Contrucci a trouvé la recette idéale pour nous concocter des romans d’aventures policières. Vous allez vous régaler et vous en redemanderez !”

René Barone (http://membres.lycos.fr/polar)

"Troisième intrigue d'une série cent pour cent marseillaise, ces aventures du chroniqueur du Petit Provençal sont, une fois de plus, jubilatoires. Parfum de la Belle Epoque, saveur du roman policier rétro, humour mêlé d'érudition, le style Contrucci est irrésistible."

(Comité de sélection www.Passion-Suspense.com )

“On retrouve le style des précédents romans de la série (…) on pense à Dumas, Jules Verne, Eugène Sue ou même Zola (…) Mais c’est aussi un roman très moderne, historique certes, mais Contrucci n’hésite pas à dénoncer ce capitalisme naissant que l’on n’appelait pas encore libéralisme, l’exploitation des travailleurs (…) On retrouve aussi tous les ingrédients qui nous avaient fait aimer les deux précédents romans : les convictions humanistes de l’auteur. Cet humour qui permet de faire passer les pires choses.”

Old Seven (Carnet de la Noir’Rôde n° 24)

"Avec ses Nouveaux Mystères de Marseille, Jean Contrucci a pleinement tenu un pari audacieux: toucher, faire rire et émouvoir. La grande leçon des classiques, en somme".

Roger Martin (L’Huma-Hebdo)

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