Pris au piège : Revue de presse

“ Il fallait un journaliste bien au fait des petits et grands drames quotidiens pour bâtir une histoire aussi fouillée psychologiquement. Il fallait aussi un habile ouvrier de la langue française pour s’exprimer avec cette aisance et cette distinction qui ne sont pas les moindres charmes de ce roman policier ”

Francis J.P. Chamant (Revue MARSEILLE)

“ Deux-cents pages de poisse, de malaise. Une chute libre avec pour filet la mort. Un filet dont les mailles vont transformer l ’innocent Georges Chevrier en tueur de flics. (…) Le talent d’un vieux routier du polar. ”

Philippe Gastine (L’Affiche)

“ Dans un style qui coule comme une rasade de vin frais, avec cette précision méthodique du récit qui, possédant toutes les apparences de la vérité, accroche le lecteur, l’intrigue ménage le suspense en utilisant un mécanisme rigoureux qui permet de rebondir de page en page. ”

Henri Bourdet-Guillerault (Les Nouvelles Affiches)

“ C’est beaucoup plus qu’un polar. Avec son style vif, imagé, des personnages terriblement vrais, ses petites touches de psychologie, ce livre met en fait beaucoup de choses en cause. Il pose avant tout un problème de société et pas des moindres : celui de la justice. ”

(La Vie Mutualiste)

“ Impossible de ne pas être pris aux tripes et encore plus au cœur par cette tragédie policière. ”

Edmée Santy (Le Soir)

“  Jean Contrucci sait créer l’atmosphère, rendre sensible la singularité de milieux qu’il connaît bien, comme ceux de la presse. Autant d’éléments qui retiendront l’intérêt du lecteur ”

Jean-Max Tixier (Objectif-Sud)

“  Jean Contrucci, parce qu’il retourne les rouages de la justice et de l’enquête pour montrer les erreurs qui sont impardonnables parce qu’irréversibles, nous remue, nous bouleverse, nous met en cause, car c’est en notre nom que la justice est rendue… ”

Joël Schmidt (Réforme)

“ Ce qui est réussi au-delà d’un exceptionnel scénario juridico-policier transformant en coupable, pire en victime, un innocent, c’est la remarquable évocation d’une fatale condition humaine ”

J.P.C. (Le Provençal)

“ Ce livre n’est pas exclusivement une intrigue policière, il est aussi une interrogation plus vaste et le constat d’une faillite, sur la police et la justice. ”

(Le Quotidien du Médecin)

“ C’était un sujet difficile à traiter. Le triste mélodrame guettait Jean Contrucci à chaque fin de phrase. Il a évité le traquenard pour nous donner un livre attachant et prenant. ”

Henri Ceccaldi (Var-Matin)

“  Qualité à laquelle je suis particulièrement sensible : ce roman jette dans la foulée de l’histoire, une suite de flashes sur Marseille, débarrassées de son folklore fallacieux, une Marseille aux couleurs de nuit, mal dans ses rues, mal dans sa peau ”

André Remacle (La Marseillaise)

“ L’analyse de cette descente aux enfers vers le désespoir qui transforme un être humain en épave, fait un livre qui se hisse au-dessus du simple polar. ”

M.-T.B. (Télé7 Jours)

“ Un polar ? Mieux, un roman au goût de violence et d’amour. Une tranche de vie. Une fenêtre sur cour (d’assises) et sur rotatives. Encre et sang.

Edmée Santy (Le Provençal)

“  Jean Contrucci parvient à saisir la palpitation même du désarroi de son héros érigé en victime expiatoire - qui peut tout aussi bien être vous, lui ou moi - avec une justesse de ton remarquable ”

Gabriel Chakra (Le Méridional)

“ La lecture de ce livre à suspense, passionnant d’un bout à l’autre, ne manquera pas de réformer le jugement de ceux qui penseraient qu’un tel sujet a été souvent traité. ”

M. Servant (La Gazette provençale)

 “Si vous avez vu le film, vous pouvez lire le livre car la fin est complètement différente et en fait un roman "noir de chez noir" comme on dit. Une fin qui prend aux tripes et qui restera longtemps dans les mémoires. Très différent des "Nouveaux Mystères de Marseille" ce roman montre l'étendue du talent de Jean Contrucci.”

René Barone (http:// membres.lycos.fr/polar/)

“Un homme sort de prison, ayant purgé une longue peine pour un crime dont il est innocent. Estimant que la société lui “doit un crime”, il va, en quelques heures, faire sa justice, accomplir sa vengeance, réaliser son destin. Admirablement construit, des retours en arrière ponctuant le trajet du justicier, le roman adopte une construction dramatique ascendante, jusqu’à une fin cruellement ironique. Ce livre remarquable, oeuvre d’un journaliste marseillais, fut sélectionné pour le Grand prix de littérature policière 1982.”

Michel Lebrun (Almanach du Crime 1982)

 

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