Suite Provençale
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   Jean Contrucci renoue avec l’art du conte. Il a composé une Suite provençale qui joue sur tous les tons et les couleurs : tendresse et drôlerie, mélancolie et amour, gravité et fantaisie...
     Obstinément ancrées au-dessous du 45° parallèle, ces nouvelles qui se tiennent à distance des galéjades et des “histoires à accent” restituent un authentique morceau de mémoire populaire.
     Voici le peuple de Marseille, de la Provence, romanesque, imaginatif, parfois excentrique, toujours enthousiasmant.

Revue de Presse

“ A la traditionnelle galéjade, Jean Contrucci n’a pas craint d’ajouter le fantastique, de même qu’il marie ici la mémoire populaire à l’absurde, le fait-divers à la parabole politique. ” Après Les Lettres de mon moulin,  voici celle – en recommandé – du Vieux-Port. ”

Jérôme Garcin (L’Express)

 

“ Cette “ Suite provençale ” est un bijou. On la traverse en passant de la drôlerie à l’émotion, de la réalité au surréalisme, avec un plaisir évident. ”

Jean-René Laplayne (La Corse)

“ Pour ensoleiller vos vacances, rien de vaut “ Suite provençale ” L’auteur y met de “ l’assent ” mais sans sombrer dans la galéjade, la caricature. Il a, au contraire, l’humour tendre. Il enjambe les siècles, lance une pointe de fantastique, mais nous tient amicalement la main.

A.J. (Dernières nouvelles d’Alsace)

“ Cette suite provençale ouverte comme une fenêtre sur le Vieux-Port de Marseille est du meilleur Jean Contrucci. Tendresse, nostalgie, fantaisie, drôlerie… rien ne manque à ces onze nouvelles où l’imagination et la verve du conteur font merveille. ”

Jacques Bonnadier (Viva)

“  Des nouvelles excentriques, de bonne humeur, où l’on ridiculise ça et là, des responsables du FN ou certains supporters de l’OM. ”

Maurice Chavardès (Témoignage Chrétien)

“ A la manière du conteur de veillée, Jean Contrucci croque avec tendresse le petit monde marseillais. Bien enracinée dans le quotidien phocéen, celui des miracles, du football et des bistrots, cette suite Provençale se déguste à petites lampées et ne rechigne pas devant une pastorale finale où l’ange Boufarèu se fait tailler un short préhistorique. ”

T.F. (Méditerranée- Magazine)

“  Un style simple et direct : celui auquel devrait s’appliquer tout journaliste. Tel est, pour la forme, le caractère marquant de cette Suite provençale. Quant au fond, tout son intérêt réside dans l’atmosphère d’authenticité régionale que sait créer l’auteur dans ces onze contes ou récits ici regroupés : des textes attachants, tantôt contemporains, tantôt futuristes mais qui ont tous un petit goût d’anis qui donne et conserve une saveur d’intemporalité à la Provence. ”

J.-L.G. (La Montagne)

“  Ne nous y trompons pas, Jean Contrucci fait là œuvre de création littéraire et évite avec intelligence de tomber dans la piège réducteur d’un “ régionalisme pagnolesque ”

M.D. (La Marseillaise)

“  Attention ! Ici, pas de couleur locale ou de caricatures destinées aux Parisiens avides d’exotisme à bon marché. Contrucci ne galvaude pas sur l’autel du populisme à accent la culture et la mémoire de son pays. Il privilégie la vérité des personnages et la fantaisie propre au conteur, à la démagogie facile (…) ”

Christian Authier ( L’indépendant– Toulouse)

“  Ces onze histoires restituent un authentique morceau de la mémoire populaire. ”

(Reflets – Martigues)

“ Les protagonistes de ces tableaux de vie quotidienne ne représentent pas pour autant les dindons d’une farce qu’un Flaubert, par exemple, se plairait à organiser avec soin. Contrucci aime leur simplicité, leur authenticité et leur professe une estime discrète et sincère, en conteur de la mémoire provençale et du temps présent, dans la lignée d’un Pagnol ou d’un Giono. ”

Olivier Cariguel (Le Magazine Littéraire )

“  Sans avoir l’air d’y toucher, Jean Contrucci fait passer des choses essentielles ”

Jean-Max Tixier (Le Comtadin)

“ Avis aux amateurs : ce n’est pas un recueil de contes provençaux. Jean Contrucci a tenu à éviter les cigales, les galéjades, la pétanque, la sieste, le pastis et tout ce qu’il appelle “ le folklore mal digéré ”.

P.D.D. (Le Régional – Salon-de-Provence)

“ L’art du romancier voisine toujours dans ce livre avec le savoir-faire du journaliste. Jean Contrucci sait bâtir un récit bref, partant d’un événement qu’il conduit comme un dramaturge vers la conscience profonde du personnage ”

Bernard Giély (Prouvenço d’Aro)

“  L’art de condenser un récit en peu de mots est l’apanage de quelques-uns. Il est plus difficile de faire passer l’émotion, l’humour et la tendresse dans quelques lignes que de délayer les sentiments. Ce recueil est d’une vivifiante fraîcheur et les histoires qu’il nous délivre n’en sont que plus savoureuses. ”

(TV-SUD)

“  Le dénominateur commun de ces onze histoires est la Provence, avec ses habitants et, surtout, cette atmosphère que, même sans grands effets de style, il  est indispensable de saisir pour garantie l’authenticité ”.

M.T. (Le Méridional)

“  Ce recueil de onze nouvelles est construit avec une adresse de vieux chouan qui touche au cœur en évitant les habituelles façons marseillaises, de qui, of course, n’empêche ni l’humour, ni la tendresse. Fort habile ! ”

Frédéric H. Fajardie (Charlie-Hebdo)

“  Suite provençale est le récit à épisodes d’un écrivain qui sait qu’il est nécessaire d’avoir un “ quelque part ”. C’est l’histoire de l’humanité de passage qui a choisi de transiter ses espoirs et ses craintes par notre région. ”

Anne-Marie Mitchell-Sambroni (La Marseillaise)

“  Ces histoires sont celles d’une terre. Ces accents sont ceux d’un peuple. Elles ont le charme et l’exigence de l’amitié. Elles manquaient à nos ciels bleus. ”

Patrick Lorenzini (Var-Matin)

“ L’imagination exubérante du conteur sert à la fois le sourire et la pamphlet, l’un et l’autre nécessaires. ”

Pierre-Robert Leclercq (Le Monde)

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