Un jour, tu verras

“ Ce roman, le troisième de Jean Contrucci, est d’abord une jolie promenade dans Marseille, une Marseille secrète, sensible, sentimentale, que l’auteur caresse en amoureux. C’est ensuite une belle histoire d’amour, simple et pure, entre deux êtres en sursis que le bonheur, avant de se rattraper semblait avoir oublié. C’est enfin l’histoire d’une vie cassée par la mort d’un enfant dont le sourire assassiné par un médecin sans éthique est comme figé dans une douleur éternelle. Contrucci écrit sans effets, sans fioritures, sans mensonges, avec un souci d’être vrai et juste qui touche au bon endroit : celui du cœur. ”

Jérôme Garcin (L’Evénement du Jeudi)

“ Il fallait un grand art de l’écriture et de la construction romanesque pour réussir le mélange des genres propres à une belle histoire d’amour, qui commence comme une farce et s’achève sur une vendetta dans le meilleur style des séries noires. Jean Contrucci la possède et la maîtrise avec art. ”

André Remacle (La Marseillaise)

“ Un jour tu verras ”, est comme un scénario bien agencé, il ne faut rien en manquer. Ne le manquez surtout pas. Pour demeurer dans la comparaison cinématographique, nous verrions bien Fellini. Fellini-Roma et nous mettrions sans peine Marseille en rivale de Rome (…)

Bernard Giély (Prouvenço d’Aro)

“ Comme le gosse malicieux aux boucles et au regard noir dont on entend le rire en grelot entre les pages du Journal de Pauline et de la confession de Laurent, je l’ai aimé tout de suite, ce livre. ”

Claude Darras ( Le Soir)

“ Le refrain de Mouloudji auquel le romancier emprunte son titre participe au climat d’ironie tragique confondue avec le sourire d’un meilleur destin. Par delà son fonctionnement “à suspense” le roman offre aussi, comme de beaux moments de gratuité et en même temps utiles à la découverte psychologique des personnages, des vues sur Marseille hier et aujourd’hui : ce n’est pas le moindre mérite du livre, la visite de la ville y étant dépouillée de son cortège mythique et folklorique habituel, au profit d’une évocation sobre et moderne où fait merveille l’œil vif, aiguisé par le métier de journaliste de l’auteur. ”

André Ughetto (SUD)

“Jean Contrucci témoigne d’une sûreté remarquable dans la composition progressive des portraits de ses amants ; un homme et une femme que l’on pourrait dire quelconques, s’ils n’avaient l’un et l’autre une droiture peu commune et n’étaient de ce cœurs qu’un scandale bouleverse. (…) L’auteur connaît Marseille comme personne ; la ville d’André Suarès est le troisième grand personnage de cette histoire triste, qui a toutes les séductions d’un talent de bonne foi, dont un style pur n’est pas la moindre. ”

(Spectacle du Monde)

“ J’ai envie d’écrire que, l’on hume dans ce roman l’odeur, les odeurs de Marseille. Il serait plus juste de dire que J.C. a su en restituer la goût, âcre et doux à la fois. ”

Jean-Louis Vissière (revue MARSEILLE)

“ Un jour, tu verras ” est un voyage douloureux, cruel et pourtant sublime. Autour d’un amour éblouissant, l’auteur a tissé une toile patiente qui tient le lecteur au bord du vertige avant de le précipiter dans une folle machination (…) ”

Robert Bouvier (La Cote des Arts)

“ On doit donc lire ce roman comme on devrait aller au cinéma selon le conseil de Pauline : avec candeur. Le scénario de Laurent lui échappe à la fin, mais J.C. ne perd jamais le contrôle de ses manipulations. ”

Jacques Gantié ( Nice-Matin)

“ Mêlant les genres sans céder aux tics, Contrucci nous offre là un bon livre  “ dégraissé ”. Entendez par là que l’auteur se refuse à “ faire de la littérature ” et à se laisser aller au roman soporifique. On y sent son goût pour le style policer et cette attention portée à rythmer son histoire grâce à un ressort dramatique constant. ”

José Lenzini (Var-Matin)

“ Attachants personnages modelés avec tendresse et qui racontent tout à tour le miracle de l’amour et le destin tragique de ceux qui aiment à en mourir. Grave sujet que Contrucci a su traiter avec délicatesse et brio à la fois, sur un ton et dans un style constamment justes et efficaces ”

Olga Bibiloni ( Viva)

“ J’en arrive au principal : l’extrême simplicité d’écriture de l’auteur. Ici, aucune recherche de style. J.C. a démontré magistralement qu’un écrivain peut concevoir un roman en s’y logeant lui-même, témoin attentif et fidèle, à qui n’échappe ni sentiments, ni couleurs, ni bruits, ni détails. Le fait s’avère suffisamment exceptionnel pour qu’il soit souligné. ”

Gaston-Gérard Denizot ( La Cote des Arts)

“ Un très beau roman qu’il faut préférer lire d’une traite pour ne pas en rompre le rythme. ”

Anne Gacon (Les Publications commerciales)

“ L’intensité du récit est sous-tendue par les ressorts psychologiques et l’épilogue, tragique que l’on devine. Mais arrêtons-là : ce serait gâcher le plaisir et l’intérêt de la lecture. D’autant que J.C. empoigne le lecteur à la première page et ne le lâche qu’à la dernière. ”

Gabriel Chakra (Le Méridional)

“ J.C. nous donne là le plus achevé de ses romans. Il y a ici un savant découpage, mi-cinématographique, mi-journal intime et l’écriture incisive donne une force et une rapidité d’action peu commune à l’intrigue ”.

André Boretti (Le Soir)

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